•   Me connecter
  • FR
    •   Anglais - English
    •   Français - Français
  • Accueil Together
  • Annuaire
  • Communautés
  • Evènements
  • Fondation
  • Galerie de portraits
  • The mag
  • Services aux diplômés
  • Career Center
  • Diffuser une offre
  • Webinars
  • Informations
    • Qui sommes-nous ?
    • Audencia
  • Actualités
  • Keep In Touch
    • Keep In Touch
    • Le 13 septembre 2012

    Choisissez bien vos stages, pas par dépit ou « à la va vite ».

    Nom: Estelle Drosnet Fonction actuelle: Pierre FRANCOIS Diplôme Audencia: Bachelor EAC 2012 Nationalité: Française Résidence:   Interview Estelle DROSNET 13 septembre 2012   A la sortie du lycée, pourquoi avoir choisi une formation en bac+3 ? Je savais que je voulais faire une école de commerce mais en 3 ou 5 ans, j’avais un doute. La solution du bachelor me permettait de me poser les bonnes questions au fur et à mesure et de valider un diplôme à l’issue des 3 années. Pourquoi l’EAC ? Pour le réseau d’entreprises qui gravite autour d’elle, notamment grâce à son partenariat avec la CCI.   Quelle méthode as-tu utilisé pour identifier ton stage de fin d’études ? J’ai toujours été attirée par le secteur de l’agroalimentaire. J’ai donc décidé d’orienter mes recherches vers ce milieu. En termes de missions, en entrant à l’EAC, je n’étais pas fixée. Peu à peu, notamment grâce aux cours Calypso, le métier de commercial terrain s’est dessiné. Pour ce dernier stage, j’ai joué la carte de l’audace. J’ai établi un fichier des entreprises de l’agroalimentaire et j’ai passé du temps sur une opération de phoning : appeler le DRH de ces entreprises me semblait être le meilleur moyen de me démarquer ! Et cette méthode a porté ses fruits ! Je suis tombée au bon moment lorsque j’ai appelé Mr Pierre FRANCOIS, de la SAS Alain François. Cette société produisant et commercialisant du foie gras, avait un projet de développement à l’export et en France. Je suis arrivée au bon moment ! C’est ensuite que j’ai découvert que Pierre FRANCOIS était un diplômé de l’EAC lui aussi !   Quelle a été la suite de ton diplôme ? Grâce à ce stage, j’ai été embauchée dans la société. J’ai commencé mon stage en février et dès mars, Pierre FRANCOIS  m’a proposé un CDI pour l’issue de mon stage. Une opportunité que j’ai évidemment saisie ! Tout était en effet réuni : le secteur, la mission et l’international !   Ce choix d’aller directement sur le marché de l’emploi a –t-il été difficile ? Non, pas du tout ! Je n’ai aucun regret ! Je suis ravie de privilégier le terrain plus que la formation. Et il n’est pas dit que je ne reprendrai pas un master en formation continue, ce que m’a proposé Pierre FRANCOIS pour les années à venir…   Qu’est-ce qui te plaît dans ce poste ? Avant toute chose, l’autonomie sur les projets. Je travaille sur 2 projets majeurs. Le premier, en France : le développement d’une marque locale en GMS. La société m’a laissé carte blanche sur ce sujet, de la création de la marque à la prospection, en passant par le choix du packaging, etc… Cette polyvalence « commercial/marketing » est passionnante ! Le second, à l’international : il est ici question de diversifier les débouchés. Nous nous rendons compte que la consommation de foie gras, contrairement à la France où elle est très saisonnière, se fait toute l’année, il est donc opportun de se positionner sur le marché mondial. Pour conclure, quels seraient tes conseils envers les étudiants de 1ère année qui viennent d’intégrer l’EAC ? Premièrement, Je leur dirais de bien choisir leurs stages, de ne pas les choisir par dépit ou « à la va vite ». Deuxièmement, dès le premier stage, il est important d’être très impliqué, de se montrer sous son meilleur jour. N’oublions pas que l’on se crée son réseau dès cette première expérience, qu’il est donc important de laisser une bonne impression aux personnes que l’on côtoie dans l’entreprise… le monde est petit ! Enfin, je tiens à dire que le cours Calypso m’a beaucoup appris. Il est essentiel de se poser les bonnes questions, dès l’entrée à l’EAC, afin de construire peu à peu son projet, et de l’adapter à nos propres envies !

    • Keep In Touch
    • Le 1 mars 2012

    Avoir l’envie, posséder cette petite flamme qui convainc un recruteur !

    Nom: Corinne Grignon-Michaud Fonction actuelle: Gérante de société Diplôme Audencia: EAC IPAC 1983 Nationalité: Française Résidence:   Interview Corinne Grignon-Michaud - 1er mars 2012   Quel a été votre parcours depuis que vous êtes diplômée ? J’ai d’abord travaillé 2 ans dans la grande distribution, chez Leclerc, en tant que chef de rayon chaussures et prêt-à-porter. Puis j’ai intégré la CCI en tant qu’assistante de formation, pendant 2 ans. Après cette expérience, j’ai été 15 ans Responsable régionale et formatrice dans le groupe ETAM, précisément pour l’enseigne 123. J’ai eu l’opportunité de participer à la croissance du groupe. Mes fonctions m’ont permis d’être très présente sur le terrain et porte-parole de la direction, missions très enrichissantes ! J’ai ensuite repris une activité de formatrice indépendante auprès de l’EAC, de différentes CCI de la région (Cholet et la Roche sur Yon notamment) et d’autres structures. J’ai  animé des modules tels que Merchandising, Techniques de vente, Management du point de vente, entre autres. En parallèle de ces activités de formation, nous avons ouvert successivement, mon mari et moi, plusieurs magasins : Patrice Bréal (Groupe Beaumanoir), Cache-Cache, San Marina. Notamment Cache-Cache/Bonobo sur Savenay, en août 2010, point de vente d’une surface de 360 m². Aujourd’hui je gère nos magasins mais j’ai cessé mes activités de formatrice depuis août 2010.    Si c’était à refaire ? Je referais tout de la même façon ! Les choses arrivent comme elles doivent arriver. Je n’ai jamais subi les choses, que ce soit en tant que salariée ou en tant que manager. Bien sûr, on doit souvent se plier à des règles mais je me suis toujours sentie libre de mes actes. J’ai notamment adoré ce que j’ai fait pendant 15 ans chez Etam mais j’ai pris la décision de partir lorsque ma vision sur l’évolution du groupe différait de celle de ma direction.   Qu’est-ce qui vous épanouit dans votre fonction de Gérante de sociétés ? Une chose essentielle : faire grandir les gens que je manage, notamment en leur permettant de développer de nouvelles  compétences. Cela passe aussi bien sûr par le fait de leur dire quels sont leurs axes de progrès. C’est également partager un but commun qui est la réalisation des objectifs de chiffre d’affaires. Le moyen pour y parvenir : travailler et avancer ensemble. Autre point que j’apprécie : cette gymnastique permanente entre les 4 enseignes que je pilote et les stratégies spécifiques à chacune d’entre elles. Quelles sont les qualités nécessaires pour occuper ce poste ? Cela va paraître évident mais il faut clairement aimer les gens, les comprendre, identifier les moteurs de chacun, être à l’écoute. Mais attention, il est également essentiel de rester dans son rôle de manager, savoir fixer des limites, être empathique sans excès. Je ne suis pas quelqu’un de pouvoir, je me souviens que j’ai été managée avant de manager ! Enfin, pour bien encadrer, il faut impérativement être juste ! Des conseils à donner aux étudiants et jeunes diplômés ? Avant toute chose, avoir l’envie, posséder cette petite flamme qui convainc un recruteur ! Mais aussi mettre de la cohérence dans son parcours et savoir démontrer cette cohérence, ce liant. Quand vous vous présentez devant un recruteur, vous devez lui montrer qui vous êtes, ce qui fait que vous êtes là aujourd’hui, ce qui fait que vous êtes convaincu de la justesse de votre projet. Enfin, tout simplement être acteur de son projet, ne pas subir les choses, les vivre pleinement et en cohérence avec sa personnalité et ses envies !   

    • Keep In Touch
    • Le 1 janvier 2012

    PDG d'un groupe investi dans divers sociétés dans le domaine du divertissement et des technologies

    Nom: Denis Thebaud Fonction actuelle: Président-directeur général d’Innelec Multimédia. Diplôme Audencia: GE 69 Nationalité: Française Résidence:     Denis Thébaud est un homme de fer. Volontaire, ambitieux, organisé, il a construit, en trente ans de carrière, un groupe cohérent et compact, intervenant aux endroits stratégiques de la chaîne de valeur des produits multimédia : logistique, distribution, édition et désormais plate-forme de téléchargement, font de la galaxie Innelec un acteur qui compte et de Denis Thébaud un homme puissant. Mais pas encore arrivé à destination, loin s’en faut. L’homme ne s’embarrasse pas de préambule ni de coup d’oeil trop appuyé dans le rétroviseur. Droit au but, toujours. Cela fait partie de la “doctrine Thébaud”. Un ensemble de 29 règles strictes qui le guident dans le monde des affaires et qu’il a consignées en 2010. On y trouve le respect de la parole donnée – bien sûr –, la vérité, l’obligation de ne rien promettre que l’on ne pourrait tenir ainsi que des maximes qui dénotent une expérience assez sûre dans le domaine de la prise de risque. Ainsi, la quatorzième, qui stipule que “tout ce qui peut aller mal ira mal“. Comprendre qu’il ne faut pas compter sur la chance pour décrocher la timbale mais sur la prévision, la vigilance et l’anticipation. Denis Thébaud est un homme qui dispose d’un sixième sens pour le danger et d’une méthode rodée pour agir. “Je pense qu’il est nécessaire de multiplier les sources d’information et de les recouper. Cela implique de cultiver son réseau d’informateurs, de faire appel à des spécialistes tout en veillant, in fine, à conserver un jugement généraliste.“ Les décisions, on le voit, ne se prennent pas à l’emporte-pièce. Et pourtant ! 1983. Denis Thébaud est directeur de la distribution chez Sprague Electric où il est entré en 1971. Il s’y plaît, mais la visite du salon d’informatique familial ECTS, qui se tient à Londres, va faire voler en éclats cette stabilité apparente. En 24 heures. “Quand je suis entré et que je suis allé sur le premier stand, j’ai vu une jeune fille qui jouait sur des jeux. Je lui ai demandé qui était son patron. Elle m’a répondu ‘le patron, c’est moi’. Elle programmait des jeux – pour le ZX 81 de Sinclair, qu’elle distribuait dans plusieurs pays. Mais pas en France. J’ai pris une nuit pour réfléchir. Et le lendemain, j’y suis retourné avec des propositions concrètes à faire aux éditeurs. Ils ont suivi.“ Lui démissionne dans la foulée. Il a 35 ans. L’aventure Innelec Multimédia vient de commencer. Ses économies sont immédiatement mobilisées pour lancer son offre de vente par correspondance de produits multimédia. Il recrute des agences de publicité, réserve des espaces et... fait face à une grève géante organisée par la Poste. Qu’à cela ne tienne. Il contourne et invente... la vente par téléphone. La première alerte le rend prudent. La deuxième, onze ans plus tard, le met en difficulté. “Un de mes fournisseurs a déposé le bilan et j’ai eu des problèmes de trésorerie. Je trouve un partenaire prêt à remettre de l’argent, qui arrive le jour de la signature en me disant qu’il n’a pas un sou. Tout le montage s’effondre. Je suis alors en cessation de paiement.“ La réponse ne tarde pas. Elle est sans appel : “J’ai décidé de me recentrer sur mes affaires les plus rentables et de me séparer de la moitié de mon personnel. Je suis redevenu profitable en deux mois. J’ai pu poursuivre ma route.“ Les états d’âme n’étant pas dans sa nature, Denis Thébaud reprend à marche forcée sa route vers les sommets. “En 1996, j’ai définitivement apuré cette histoire. En 1998, Innelec Multimédia était cotée en bourse.“ Deux ans avant cet exploit, en 1996 donc, il fonde Focus Home Interactive. Complémentaire d’Innelec, Focus édite ses propres jeux et connaît de beaux succès. Distributeur physique pour les grandes surfaces et les détaillants avec Innelec Multimédia, éditeur avec Focus Home Interactive, il manquait la livraison dématérialisée. Le projet débute en 2010. Allbrary est une late-forme de distribution online pour les livres, les logiciels, les jeux vidéo, la musique... La version bêta sera en test début 2014, elle a les ambitions de son fondateur : “Je souhaite concurrencer Google, Amazon et Apple. C’est un marché de 150 milliards d’euros. Je ne vois pas pourquoi je n’en prendrais pas une part.“ Effectivement.

    • Keep In Touch
    • Le 1 janvier 2012

    Aller au bout de ce que l'on entreprend et être l'artisan de ses succès et de ses échecs

    Nom: Philippe Serzec Fonction actuelle: Directeur associé du cabinet Deloitte Diplôme Audencia: GE 92 Nationalité: Française Résidence: France    Pour comprendre le parcours de Philippe Serzec, il est nécessaire d’intégrer quelques données clés le concernant. D’abord, le refus sans appel d’être en situation, un jour, d’avoir à regretter quoi que ce soit. Ensuite, une tendance franche à s’imposer des challenges pour s’obliger au dépassement. Enfin, la nécessité de changer d’horizon intellectuel tous les deux ans. Un corpus idéologique à vous chahuter une carrière ! La preuve. Étudiant, Philippe Serzec n’aime ni la comptabilité ni la gestion. Ce qui l’attire, c’est le marketing. Il fera donc... de la finance ! “Je connectais bien avec les questions liées au marketing mais je me suis dit, puisque tu es à l’école, puisque la discipline de l’École est en mesure de te faire acquérir des bases solides dans le domaine de la gestion financière, c’est le moment ou jamais. Je savais qu’une fois sorti d’Audencia, je n’aurais jamais la volonté de me remettre sur ces matières-là. Que l’on fasse du commercial ou du marketing, avoir une compréhension des enjeux financiers me paraît nécessaire.“ Cette analyse résume l’homme – c’est sérieux, c’est astucieux et c’est utile – et le conduit à choisir Contrôle de Gestion - Audit en majeure. Puis à s’inscrire au DECF. Il entre chez KPMG à Caen, afin de disposer d’une expérience en audit, si d’aventure un poste de directeur financier lui était offert, et se prépare à partir au service militaire. L’inscription au DECF lui permet de faire son service en VSNE au… Mali. “J’ai débarqué à Bamako sans avoir jamais mis les pieds en Afrique. Découvrir des pays où les ressorts culturels, la structure de la société et donc de pensée vous échappent complètement a toujours attisé ma curiosité.“ Il arrive en tant que directeur financier d’une petite structure dépendante d’un groupe familial bordelais, agent Caterpillar pour le Mali. À 23 ans, en charge d’un service de quatre personnes, il vit le 12 janvier 1994 en direct : “La dévaluation du franc CFA a été une expérience intéressante. Du jour au lendemain, tous nos achats en dollars auprès de Caterpillar valaient deux fois plus cher en contre-valeur franc CFA.“ Expérience intéressante ? Sacré baptême du feu, oui ! Il rentre en France, à Caen, et retrouve son poste chez KPMG, des fourmis dans les jambes. “Je suis monté à Paris chez Ernst & Young grâce à un copain de promo. Je ne voulais pas attendre la fin de la saison d’audit pour y aller et je pensais que KPMG m’aurait remis, à Paris, sur des dossiers de grande distribution pour lesquels je n’avais pas une passion débordante.“ Philippe Serzec, en analyste pointu, comprend vite les limites imposées par un modèle. Et détecte tout aussi rapidement les voies alternatives pour les dépasser. Ernst & Young, donc, puis une demande de départ en échange ; toujours cette curiosité et ce même appétit. Après le Mali, ce sera Singapour. Dix-huit mois sur des missions d’audit, pour des clients français et étrangers et les premières expériences d’audit d’acquisition. De nouvelles compétences. Un objectif identique. “Le moteur a été le même que pour le Mali, découvrir une culture que je ne n’appréhendais pas du tout.“ Grandir au contact de l’altérité, en somme. Il revient en France et rejoint le département Due Diligence. Une ligne de services alors de 25 personnes – qui passera à 120 en moins de trois ans – spécialisée dans l’audit d’acquisition, et Arthur Andersen en ligne de mire. Fusion. “Je voyais cela comme un enrichissement supplémentaire et je me suis exposé, parfois au mauvais moment ou avec les mauvaises personnes...“ La leçon de politique est intégrée et le fait reprogrammer son logiciel de carrière. “J’ai longtemps pensé que le mentoring n’était pas pour moi. Que je devais me faire seul et pouvoir être seul comptable de tous mes actes. C’était une erreur.“ Il quitte Ernst & Young pour rejoindre l’associé, devenu Managing Partner du Département à son arrivée chez Deloitte, qui lui avait fait découvrir le monde des transactions à son retour de Singapour. Ce qui compte avant tout, surtout en conseil, ce sont les hommes et le projet : “Le statut d’associé ne m’a pas attiré parce qu’il pose socialement son homme. Non, ce que je souhaitais, c’était explorer d’autres dimensions.“ Son nouveau statut devrait le combler : désormais en charge de la structuration et du développement du segment small et mid caps – comprendre PME et ETI –, il devra accompagner les fonds de capital-développement et de LBO, les entreprises familiales et patrimoniales, ainsi que les mid caps cotées, en matière de due diligences, autrement dit d’analyses comptables et financières avant cession ou acquisition. Un sacré programme ! De quoi lui permettre, sans doute, de changer d’horizon intellectuel... tous les deux jours ?

    • Keep In Touch
    • Le 1 janvier 2012

    Faire un MBA après un diplôme d'ingénieur pour acquérir une autre compétence dans le management

    Nom: Jerome Pasquet Fonction actuelle: Directeur Général et Co Fondateur 10-Vins Diplôme Audencia: MBA 06 Nationalité: Française Résidence:     Ambition, rencontres, double compétence. Ce tiercé, touché dans l’ordre, vaut aujourd’hui à Jérôme Pasquet d’être directeur général d’une entreprise qu’il a cofondée en décembre 2012, après quinze années passées dans le conseil et le supply chain management. De supply chain, il est encore un peu question aujourd’hui, mais appliqué à un tout autre domaine que ceux qu’il a connus jusqu’ici ! Diplômé en 1997 de l’École d’ingénieurs en génie des systèmes industriels, Jérôme Pasquet a toujours su qu’il acquerrait une autre compétence dans le domaine de la gestion. Histoire d’être armé pour la création d’entreprise ? “Oui, c’était là, très présent. J’ai eu cet exemple. Mon père, profession libérale, a créé son affaire.“ En attendant d’avoir le déclic décisif, Jérôme Pasquet entame une brillante carrière dans le domaine du conseil et de la supply chain – la science de l’organisation et de la planification logistique –, à l’étranger d’abord, puis en France ; logistic manager au Royaume–Uni pour le compte de Schneider Electric, consultant supply chain pour Cap Gemini / Ernst & Young, consultant senior chez PwC… puis IBM. Pour Jérôme Pasquet, c’est le moment. L’intitulé du cursus suivi à Audencia laisse peu de place au doute quant à sa signification future : “MBA Business Development and entrepreneurship“. 2006. Exit IBM, direction Yves Rocher. Il y restera presque cinq ans, le temps de rencontrer ses deux futurs associés. Après un détour de deux ans chez Manitou – cette fois en tant que supply chain planning manager –, il se lance : “J’ai toujours eu envie de m’orienter vers le créneau B to C. Et mon idée était d’allier le numérique et le physique.“ Ce sera 10-vins.com : “Nous faisons de la distribution de vins, c’est entendu, mais notre approche est de passer de la bouteille au verre et du verre à la bouteille ! Nous livrons des coffrets avec des échantillons de vins – l’équivalent d’un verre – à nos abonnés et nous organisons une dégustation ‘en réseau’, via Twitter ou une webcam, avec notre oenologue. Si le vin plaît, il est commandé.“ Concept innovant, marché compliqué ; raison de plus pour se rapprocher de l’incubateur Centrale Audencia Nantes : “Le passage par l’incubateur nous a été bénéfique à deux titres. D’abord, dans le domaine de la vente et du marketing, ensuite dans les facilités offertes par l’École Centrale, car 10-vins.com comporte un volet technique important.“ En effet, le prochain développement de la société passera par la mise au point d’une machine capable de mettre le vin dans des conditions optimales de service – en termes d’aération et de température –, reprenant ainsi le fameux business model Nespresso… mais appliqué au vin. Santé !

    • Keep In Touch
    • Le 1 janvier 2012

    Intermédiaire d’affaire entre le Moyen-Orient et l’Europe

    Nom: Houssam Nasrawin Fonction actuelle: Fondateur Mideast Capital Diplôme Audencia: GE 09  Nationalité:  Résidence:  Houssam Nasrawin (GE09) a fondé Mideast Capital, intermédiaire d’affaire entre le Moyen-Orient et l’Europe en 2012. Il est également à l’origine de Arab Business Leader, un club présent dans 33 pays qui a pour but de promouvoir le monde arabe. Il a aussi récemment lancé GCC Capital société de conseil pour aider les entreprises à s’implanter au Moyen-Orient. Voir l'interview!

    • Keep In Touch
    • Le 1 janvier 2012

    Croire en ses capacités, savoir changer sa vision de dirigeant avec un objectif précis mais évolutif

    Nom: Patrick Iliou Fonction actuelle: Directeur général adjoint de l’Olympique Lyonnais Diplôme Audencia: GE 93 Nationalité: Française Résidence:     La mobilité, selon Patrick Iliou, est une qualité incontournable dans la carrière d’un dirigeant et recouvre plusieurs notions. Au sens premier du terme, elle est bien géographique et permet aux jeunes diplômés, comme aux dirigeants chevronnés, d’acquérir compétences et ouverture d’esprit. Mais pour le DGA de l’Olympique Lyonnais, la mobilité est aussi – et peut-être avant toute autre chose – une vision du rôle de dirigeant qui favorise la prise de hauteur. Et l’assemblage de compétences acquises au travers de rencontres et de différentes fonctions occupées au long d’un parcours professionnel. Patrick Iliou reste un fervent supporter de l’audit. Ne comptez pas sur lui pour céder aux modes et aux tendances factices qui le considèrent, parfois et à tort, comme un choix par défaut. L’audit est un atout maître pour avancer. “À mon époque, dans les années 90, c’était la ‘voie royale’. Nous étions près de 90 % à nous y porter. C’est différent, semble-t-il, aujourd’hui. Pourtant, je demeure persuadé que c’est une excellente discipline pour bâtir les fondations d’une carrière.“ Pourquoi ? “Parce que vous allez pouvoir être en contact et analyser, en peu de temps, le fonctionnement de dizaines d’entreprises, que vous auriez mis plusieurs années à connaître si vous étiez passé par chacune d’elles.“ Parole de spécialiste. Et preuve à l’appui. 1993. Patrick Iliou entre chez KPMG Audit après un stage. Il y reste trois ans et, comme souvent dans l’audit, est embauché par l’un de ses clients. “Les Comptoirs Modernes de Rennes m’ont fait une proposition et je les ai rejoints. La personne qui m’a recruté était un ancien d’Audencia, ce qui prouve l’importance des rencontres et la nécessité d’un réseau fort au sein d’une école.“ Les Comptoirs Modernes de Rennes (magasins STOC) deviennent CHAMPION (Groupe Carrefour) et l’ascension de Patrick Iliou, au sein du groupe de distribution, s’effectue rapidement par le biais de fonctions très diverses. “J’ai quitté l’audit pour les fruits et légumes, pour un parcours initiatique déterminant ! Ensuite, j’ai connu plusieurs postes : directeur d’un supermarché à Rennes, puis directeur financier et directeur des achats et de la logistique.“ Enfin, il prend la direction d’un réseau de supermarchés, d’abord à Bourges, puis à Lyon. Il change d’échelle. “Là, c’était un peu différent, je gérais 2 200 personnes et 600 M€ de chiffre d’affaires en direct !“ Entré dans la grande distribution grâce à une rencontre, c’est également une rencontre qui l’en fera sortir. “Un soir, en 2006, j’ai rencontré le président de l’Olympique Lyonnais, Jean-Michel Aulas. Nous avons discuté et il m’a parlé de ses projets : développer le merchandising du club et le projet de Grand Stade de Lyon. L’homme m’a plu. Comme ses projets.“ Il se jette alors à 120 % dans ce nouveau défi en veillant à conserver l’approche terrain et la remise en cause systématique apprise dans ses précédentes missions. “C’est quelque chose qui est important. Rester concentré sur sa mission et ses objectifs, à plus forte raison quand le milieu dans lequel vous évoluez est assez médiatique.“ Une attitude que ses années Audencia Nantes auront participé à développer : “L’École, au-delà des savoirs académiques qu’elle a pu me fournir, a surtout contribué à me forger une personnalité ouverte et m’a offert les moyens de m’adapter à des situations très diverses.“ Et question adaptation, Patrick Iliou a dû mettre les bouchées doubles pour réussir à passer, sans sas de dépressurisation, de la grande distribution au monde du sport et de l’élite sportive. Le chantier du Grand Stade (405 M€) qui m’a été confié est un dossier passionnant. Les clubs de football sont assez dépendants des droits télé. Or, comme pour toute entreprise, il est important de diversifier ses revenus. La réponse des grands clubs européens, dont nous faisons partie, a été de se porter sur des relais de croissance, en l’espèce, les grands stades. Et les formidables succès, tant en termes d’affluence que de revenus, du Bayern de Munich avec l’Allianz Arena ou d’Arsenal avec l’Emirates Stadium démontrent la pertinence de ce modèle économique.“ Mais ici, le business et la version transversale de l’entreprise ne suffisent plus, il faut intégrer d’autres dimensions, comme l’aménagement du territoire, les projets d’agglomération, la vision “métropole européenne“, la création d’emplois et de valeurs... Bref, savoir faire preuve de mobilité intellectuelle afin d’associer des compétences qui ne vont pas de soi mais dont la complémentarité permet de résoudre des problématiques multiples. 

    • Keep In Touch
    • Le 1 janvier 2012

    Connexing, une start-up qui commercialise des téléphones issus de parcs obsolètes et remis à neuf

    Nom: Yves Le Gohebel Fonction actuelle: Président fondateur de Connexing. Diplôme Audencia: EMBA 08 Nationalité: Française Résidence: France    La manière utilisée par Yves Le Goehebel pour devenir entrepreneur ne manque pas de sel. Trivialement parlant, on pourrait même dire que c’est assez gonflé. Souhaitant, depuis son premier diplôme – un DUT obtenu il y a 22 ans –, monter une entreprise, et attendant une idée de génie qui tardait à venir, il a franchi le Rubicon en quadra décidé, et fait de son ancien employeur son premier sous-traitant. Ne jamais rien lâcher. C’est, en somme, la leçon administrée de main de maître par Yves Le Gohebel. Retour en arrière. Nous sommes en 1987. Le jeune homme termine son DUT Techniques de commercialisation avec une idée fixe : devenir entrepreneur. Qui se heurte à une idée reçue : “Il me faut une idée de génie.“ Toutes ces idées qui se percutent grippent la machine à entreprendre. C’est la panne sèche. Yves Le Gohebel entre en salariat comme on loupe une finale sur blessure, décu, mais nullement résigné. Mars 2003. Yves Le Gohebel débarque chez Itancia, une entreprise du Maine-et-Loire qui a commencé son activité, en 1991, en commercialisant des matériels de téléphonie éco-recyclés, avant de se diversifier et de grandir. Yves Le Gohebel en devient bientôt le directeur général opérationnel et suit, toujours en poste, un cursus d’Executive MBA chez Audencia Nantes. L’accès aux responsabilités ? Le déclic à l’approche de la quarantaine ? La cause importe peu. Yves Le Gohebel, au culot, décide d’aller voir son PDG pour lui parler de son projet : créer une entreprise qui commercialisera des téléphones fixes issus de parcs obsolètes et remis à neuf... par Itancia. Bingo. Le patron suit, séduit par cette idée d’essaimage. À peine sorti de son MBA, Yves Le Gohebel est incubé. Il restera quatre mois. Quatre mois seulement ? “L’endroit est vite devenu trop petit pour nous. Je devais accueillir de nouveaux collaborateurs. Pour autant, je continuais à jouir de mon statut d’incubé malgré mon départ et les conseils dont j’ai pu bénéficier ont été cruciaux.“ Mars 2009. Connexing – c’est son nom – est lancé. “À chaque téléphone vendu, nous plantons un arbre, nous en avons planté 12 000 l’année dernière, nous en planterons 8 000 de plus cette année.“ Recyclage, dynamisme, responsabilité sociale et environnementale – une trajectoire furieusement Audencia – et un succès qui enfle. 2013, Connexing s’appuie sur un staff de 25 collaborateurs, compte 2 500 clients en portefefeuille – plutôt des grands comptes – et réalise 7 millions d’euros de chiffre d’affaires pour 10 prévus l’année prochaine ! Yves Le Gohebel n’a peut-être pas eu l’idée de génie qu’il souhaitait avoir quand il était plus jeune – qu’est-ce que ça aurait été ! – mais il a démontré, de toute évidence, tout l’intérêt de ne pas abandonner ses rêves.

    • Keep In Touch
    • Le 1 janvier 2012

    Directeur général Marques du groupe chargé du développement de la stratégie monde

    Nom: Yann Hinsinger  Fonction actuelle: Directeur général Marques du Groupe ERAM Diplôme Audencia: GE 91 Nationalité: Française  Residence: France   Le produit. Peu importe son origine, pourvu qu’il soit de qualité. Peu importe qu’il soit alimentaire, en bois, grand, petit, qu’il soit en laine d’Écosse ou en jersey, pourvu qu’il faille le distribuer… Le produit est – et a toujours été – la passion de Yann Hinsinger. Pas de plan de carrière – des rencontres. Pas de plans tirés sur la comète, mais une ambition : distribuer des produits avec brio. 1991. Alors que certains de ses camarades de promotion fondent sur les grands groupes publics qui s’ouvrent sur l’extérieur – France Télécom/Wanadoo, la Poste… –, alors que d’autres, empruntant la voie royale commerciale, investissent des maisons comme Danone ou Suchard, Yann Hinsinger, seul ou presque, monte au front, direction : la grande distribution. Un choix étrange pour ses contemporains, évident pour lui : “Je partais du principe que le secteur d’activité n’avait finalement que peu d’importance. Ce qui m’intéressait, c’était le marketing produit. J’étais attiré par le produit.“ Et pour y accéder, le mieux est encore de passer par le terrain. Ce que fait Yann Hinsinger. Groupe Mulliez. Auchan. Chef de rayon. Lequel ? “Quand vous entrez chez Auchan, vous ignorez quel rayon vous sera attribué. J’aimais l’alimentaire. J’ai eu le textile homme.“ À 22 ans, il hérite en fait d’une véritable petite PME – “À cette époque-là, chaque rayon était indépendant, vous aviez vos comptes d’exploitation, la responsabilité de votre résultat, vous deviez surveiller et gérer vos achats...“ Les 18 personnes qu’il a sous sa responsabilité l’obligent, par ailleurs, à une formation accélérée et in vivo du management en zone de turbulences. “Les rythmes étaient fous – 13 heures par jour, 6 jours sur 7 ! – mais quelle ambiance…“ Yann Hinsinger aime être au coeur du réacteur. Ça ne lui réussit pas trop mal : il devient référent national pour les acheteurs qui s’apprêtent à partir en Asie, à la centrale d’achat de Villeneuve- d’Ascq. Centrale qui lui fait un appel du pied pour qu’il la rejoigne. Ce n’est pas du goût de son directeur de magasin, qui lui refuse cette mobilité. Mauvaise méthode. Yann Hinsinger n’est pas quelqu’un que l’on retient par la contrainte. “J’ai quitté Auchan et rejoint Pimkie. Acheteur, chef de produit, chef de groupe – un petit d’abord, un gros ensuite – puis directeur des achats.“ Le produit, toujours, qui le propulse vers les hautes sphères. Des questions sur la stratégie, un peu de lassitude aussi, et voilà Yann Hinsinger qui vole vers de nouveaux horizons, après douze ans de bons et loyaux services chezPimkie. Il répond à une annonce parue dans Le Journal du textile et candidate pour le poste de directeur général du groupe ERAM. La marque aux slogans cultes a besoin de se repenser et de faire peau neuve pour renouer avec les bénéfices. Elle prend le taureau par les cornes et charge Yann Hinsinger de restructurer l’entreprise. Les équipes, séduites par cette volonté de modernisation et la pugnacité du nouveau DG, adhèrent immédiatement. “Il y avait une mentalité d’entreprise de production, il fallait entrer dans une logique de distributeurs.“ Les résultats suivent. Le chiffre d’affaires repart. Les bénéfices suivent bientôt. Mais Yann Hinsinger est déjà ailleurs, toujours dans le groupe détenu par la famille Biotteau, mais ailleurs. Tati, colosse aux pieds d’argile – 600 millions d’euros de chiffre d’affaires mais des marges faibles ou inexistantes –, a besoin d’un coup de fouet. Yann Hinsinger applique la même méthode mais en l’adaptant au monde du hard discount. On restructure les équipes afin de former une direction générale de combat capable de voler de ses propres ailes et on rationalise. C’est chose faite en trois ans. Désormais directeur général Marques du groupe, chargé du développement de la stratégie monde et des acquisitions de marques. Yann Hinsinger – tout en gardant un pied dans l’opérationnel, mais comment pourrait- il en être autrement ? – ajoute donc un axe stratégique à sa carrière. En s’appuyant naturellement sur son expérience du terrain. “C’est très intéressant de savoir profiter de son expérience passée pouraller de l’avant.“ Au regard de celle qu’il accumule désormais, la suite risque d’être passionnante ! 

    • Keep In Touch
    • Le 1 janvier 2012

    Entrepreneur passionné qui accompagne les gens pour développer leurs propres projets numériques

    Nom: Vincent Roux Fonction actuelle: Codirecteur d’Intuiti Diplôme Audencia: GE 04 Nationalité: Française Résidence: France    Vincent Roux est fondamentalement un entrepreneur et un entrepreneur fondamentalement humain. Son cursus à Audencia a dû être aménagé pour lui permettre de concilier cours et activités entrepreneuriales ; son sens de l’écoute et sa capacité à travailler en réseau lui auront par la suite offert de belles réussites et autant de rencontres. Il y a quelque chose d’admirable chez cet homme. Ce n’est pas tant sa réussite qui séduit – l’agence conseil Intuiti, référencement et webmarketing, est pourtant bel et bien une success story – que sa profonde humanité. À dire vrai, il n’est pas impossible que sa réussite, Vincent Roux la doive autant à ses talents d’entrepreneur qu’à sa générosité. Il a érigé l’intérêt manifeste qu’il porte à ses contemporains en business model et fait de la relation clients une zone si confortable que l’expression de besoins tourne à l’évidence. Vincent Roux et ses associés ont créé au sein de leur agence – 23 salariés, 2,5 M€ de chiffre d’affaires – un laboratoire d’écoute. Drôle de concept ? Pas tant que ça. “On est parti d’un postulat simple : chacun de nous est victime de ses idées reçues. Dans le domaine du web, il y a beaucoup de proclamations d’expertise. La question était de savoir qui allait être juge de paix.“ Leur réponse est unanime : “C’est l’utilisateur. Il fallait donc que nous l’écoutions. Notre métier, au fond, est d’accompagner le client à structurer sa propre réflexion, jusqu’à en faire un projet opérationnel qu’il aura lui-même contribué à créer.“ Ne jamais aller contre l’humain, faire avec ce qu’il est, en toutes circonstances. La réussite de l’agence tient sans doute à cela. Et aussi au fait que les associés – ils sont trois – ont compris très tôt que leur rôle ne serait pas d’avoir une expertise globale – “nous avons des experts pour chacun de nos métiers“ – mais bien de donner un cadre dans lequel les salariés pourraient s’épanouir. “L’une de mes plus belles rencontres, c’est à mon premier salarié que je la dois. J’avais 24 ans, il en avait quasiment 30, et on a commencé face à face dans un petit bureau, une salle d’exposition de carrelage ! Notre collaboration a duré presque huit ans.“ L’humanité et l’amitié comme fils rouges. Et Audencia Nantes, comme fil conducteur. “L’École a été importante pour beaucoup de choses dans mon existence. Les rencontres que j’y ai faites, les contacts provoqués lors de mon incubation.“ Une période faste pour lui, comme pour l’École, puisque c’est à travers son accompagnement – par son professeur d’entrepreneuriat – que sera prototypé le mode de fonctionnement de l’incubateur. La rencontre avec Arnaud Chaigneaux, l’un de ses associés, qui sort lui aussi d’Audencia Nantes, comptera également énormément. “J’ai aussi appris à Audencia une vertu essentielle : savoir se remettre en question.“ Nul doute qu’il y soit parvenu. Et de quelle manière !

    • Keep In Touch
    • Le 1 janvier 2012

    Développer Timberland France, Espagne et Portugal à travers des réseaux de distribution variés

    Nom: Anthony Bunn Fonction actuelle: Directeur général de Timberland - France / Espagne / Portugal Diplôme Audencia: GE 94 Nationalité: Française Résidence: France    Des miles. Beaucoup, beaucoup de miles. Et une collection de passeportsqui doit prendre de la place sur les étagères ! Passionné par la mode et l’Europe de l’Est, maître ès dynamiques commerciales, Anthony Bunn sillonne le monde depuis toujours. Et en business class depuis vingt ans. Son trajet domicile/travail du moment ? Paris - Madrid - Lisbonne - Barcelone - Paris. Son moteur ? L’empathie, les rencontres, l’amour du travail d’équipe et de la vente. La Terre est ronde, nous allons vous donner les moyens de la faire tourner.” Sans ce slogan, qui vantait l’École au mitan des années 90, la vie d’Anthony Bunn eut été sans doute très différente. “Quand j’ai lu cette phrase, j’ai tout de suite voulu faire Audencia. Ça me parlait.” Il faut dire que le jeune homme d’alors est un habitué des aéroports et du jetlag. Anthony Bunn, enfant “long courrier”, vit dans le sillage de parents dont la maison s’établit sur plusieurs fuseaux horaires. Alors, forcément, fatalement... “L’aspect international de l’École a été déterminant. J’ai adoré ces trois années. Audencia vous permet de comprendre et d’appréhender ‘the Big Picture’, en même temps qu’elle vous offre une vraie proximité avec des étudiants très différents de vous. J’y ai appris le travail d’équipe, et j’ai pu assouvir ma passion pour l’Europe de l’Est : Roumanie, dans le cadre d’un voyage humanitaire et Pologne, pour réaliser une étude de marché.” L’autre grande fibre d’Anthony Bunn, c’est la vente, le marketing, le développement produit et la communication. “Mon premier emploi correspondait à cette dimension commerciale. Je suis entré chez Timberland pour développer les ventes dans le Grand Ouest. Je couvrais alors trente départements.” Départements ? Oui, départements, et pour formateur – et prometteur – qu’ait été ce premier poste, Anthony Bunn se cogne sur un horizon trop bas pour lui. Il se rêve en voyageur des grands espaces. Ferrero lui offre son ticket pour l’Est : “Ils m’ont recruté pour développer le marché Europe centrale/Europe de l’Est. J’étais basé au Luxembourg et je passais mon temps à voyager.” Oui, mais s’il a pu renouer avec les aéroports, quelque chose lui manque encore pour être pleinement satisfait. “Je me suis aperçu que la mode m’attirait plus que l’agroalimentaire.” Sa nouvelle destination devra donc être un mix mode/ export. Il décroche la “timbale” en 1998 : “Je suis entré chez le lunetier L’Amy en tant que chef de zone export en Europe centrale. Ce poste m’offrait l’aspect mode qui m’avait plu chez Timberland et l’aspect international de Ferrero. J’étais aux anges.” D’autant plus qu’à l’Europe de l’Est viennent bientôt s’ajouter des destinations aussi exotiques que l’Afrique du Sud, le Chili ou l’Argentine, sans compter le Portugal ou la Grèce. Il acquiert également une autre compétence : la gestion d’entreprises. “Je gérais de petites business units. J’avais un bureau à Anvers, un autre à Rotterdam.” Le globe-trotter est bientôt chassé par Quicksilver, qui lui propose un poste qu’il ne peut refuser : directeur commercial Europe pour la division technique, soit les montres, les lunettes, le néoprène – comprendre tout ce qui touche aux combinaisons marines – et le snowboard. Il y reste six ans, restructure les filiales française et espagnole, triple le chiffre d’affaires. “J’ai aussi développé l’export et accru mon expérience en allant travailler à Dubaï, en Égypte.” Et en Russie, où sa connaissance de la toundra locale lui permet d’implanter la marque. Le cap du million de kilomètres franchi depuis longtemps, Anthony Bunn renoue avec ses premières amours. Timberland. “J’avais envie de changer et mon ancien boss m’a rappelé. J’avais comme perspective la direction de Timberland France. À très court terme.” C’est chose faite en 2011. Très vite, cependant, la marque est rachetée par le groupe VF Corp – 10 milliards de chiffre d’affaires, un portefeuille de marques impressionnant : Eastpak, North Face, Kipling... – et pour Anthony Bunn, deux nouveaux pays à gérer ; l’Espagne et le Portugal. De peur qu’il s’ennuie ? “Le contexte dans ces deux pays, historiques pour Timberland, n’est pas exceptionnel en ce moment. J’ai donc dû restructurer toute l’équipe ibérique, réaffirmer l’orientation outdoor lifestyle qui est désormais au coeur de notre positionnement. L’organisation au Portugal est différente, mais c’est notre pays ‘Triple A’ où la consommation de produits Timberland par habitant est la plus importante au monde.” Nouveau challenge, des miles qui s’empilent. Et un appétit intact. 

    • Keep In Touch
    • Le 1 janvier 2012

    Le double diplôme, un avantage dans la vie professionnelle

    Nom: Sébastien Bouillet Fonction actuelle: President Fondateur Gamoniac Diplôme Audencia: GE 10 Nationalité: Française Résidence:     "La double formation Audencia, c'est appréhender un service, un produit dans une entreprise pour savoir le vendre en mettant en avant à la fois les aspects techniques et l'aspect utilisation... faire rêver les gens !" son interview en video : Sébastien Bouillet

    • Keep In Touch
    • Le 1 janvier 2012

    Etre à l'écoute du client

    Nom: Alain Mitaux Fonction actuelle: Fondateur d’Alinéa Diplôme Audencia: GE 69  Nationalité: Française Résidence:    Vauvenargues, le moraliste, avait pour chaque état une citation et pour toute situation un bon mot. Ce qui est étrange, c’est que la plupart d’entre eux s’appliquent à merveille au parcours d’Alain Mitaux. “Un homme sans passion est un roi sans sujet” ? L’essence même de la trajectoire du créateur d’Alinéa. “Il est bon d’être ferme par tempérament, et flexible par réflexion” ? Sa définition même du manager ! Furieuse coïncidence ! Voilà un homme à qui l’on ne fera pas dire que la grande distribution est un monde sans âme et que rien de ce qui s’y fait n’est intéressant. Il a pour ces métiers une passion intacte et tout son parcours, depuis son entrée chez Auchan en 1975, porte la marque d’un intérêt qui ne s’est jamais démenti : “Je dirais que la grande distribution est extrêmement simple dans son principe, mais extrêmement compliquée dans sa réalisation. C’est un monde passionnant, plein d’opportunités, de technicité, qui proposede très nombreuses passerelles entre les fonctions, entre les enseignes, et entre la France et l’international.“ Alain Mitaux sait de quoi il parle, pour avoir éprouvé, vite et sans heurt, la plupart des fonctions opérationnelles d’un grand magasin. “Je suis entré chez Auchan pour quitter l’industrie, qui ne me correspondait pas et parce que la situation géographique du poste que l’on me proposait m’intéressait. J’ai débuté comme responsable de rayon.“ Un poste qu’il quittera vite au profit de celui de responsable de département, puis de directeur adjoint. Six ans après son arrivée, Alain Mitaux est directeur de l’hypermarché d’Aubagne, 10 000 m2 et 600 personnes, mais une idée, désormais, le taraude : la création d’entreprise. “J’avais antérieurement créé un magasin de brocante avec mon épouse. Après mon divorce, j’ai eu l’envie de créer à nouveau. Je ne souhaitais pas aller vers les services centraux ; j’aime trop le terrain.“ Comme souvent – toujours ? – dans les grandes histoires, la collision entre plusieurs facteurs détermine la suite des événements, leur imprimant vitesse et mouvement. Alain Mitaux se met au travail et planche sur un projet de création d’un magasin de centre-ville consacré à la décoration et aux meubles anciens. Au même moment, une initiative vient percuter sa réflexion : “Gérard Mulliez, patron du groupe Auchan, émet l’idée, lors d’un meeting d’encadrement, d’offrir la possibilité à tous les dirigeants de la société de créer une affaire tout en restant les patrons de leur propre unité. En cas de succès du projet, on y mettrait des gens et des ressources pour le faire avancer et, éventuellement, le jour où tout cela prendrait corps, nous y serions associés.“ Une telle aubaine, à ce moment-là, ne se refuse pas. Alain Mitaux se précipite. L’idée de Gérard Mulliez pour diversifier son groupe est brillante. Mais trop en avance, sans doute, pour l’époque ; les managers n’adhèrent pas. Sauf quelques-uns. Dont, bien sûr, Alain Mitaux. “Ma décision est prise, et j’en fais part à ma hiérarchie. Je propose le développement d’une chaîne de magasins dans le domaine du mobilier et de la décoration – secteur inexistant dans le groupe –, et plus précisément, dans le domaine du jeune habitat. J’en perçois tout le potentiel avec le développement d’enseignes telles que Ikea, Habitat ou Fly. J’aurai à convaincre le groupe – en premier lieu un comité stratégique créé à cette occasion – du bien-fondé de mon projet. Le processus sera long : il débute en 1985 et j’obtiendrai le feu vert au cours de l’année 1988. Mais je suis déterminé… Lorsque Gérard Mulliez – que je rencontre pour obtenir l’aval définitif – me dit au final que je vais devoir démissionner pour me consacrer pleinement à mon projet (contrairement à l’idée initiale), je décide – et curieusement personne n’y verra rien à redire – de créer un premier magasin de 3 000 m2 au lieu des 1 000 m2 qui avait donné lieu à d’âpres négociations. “ Après une année d’apprentissage de ce nouveau métier, et la mise au point du concept, le succès est au rendez-vous, et les ouvertures s’enchaînent. “En 2006, quand j’ai quitté la direction générale, Alinéa s’appuyait sur un réseau de 13 magasins de 3 000 à 10 000 m2, réalisait un chiffre d’affaires de l’ordre de 260 M€, et comptait 1 700 salariés.“ Alain Mitaux reste au conseil d’administration jusqu’en 2009, avant de tourner définitivement la page. “Je laisse un groupe en ordre de marche qui est appelé à créer deux ou trois magasins par an.“ En 2013, l’enseigne compte 23 magasins et poursuit son développement. “La nature a donné aux grands hommes de faire, et aux autres de juger.“ Furieuse coïncidence, décidément.

    • Keep In Touch
    • Le 1 janvier 2012

    C’est une année d’expatriation en Australie qui m’a véritablement poussé à me lancer !

    Nom: Julien Tourme Fonction actuelle : Monsieur Lucien Diplôme Audencia: Bachelor EAC 2008 - Bac+5 Sciences Com filière communication 2010 Nationalité: Française Résidence: Paris  « C’est avec un double bagage en commerce et communication d’Audencia Group, Bachelor à l’Ecole Atlantique de Commerce (2008) et Cycle master à SciencesCom (2010), que j’ai décidé de créer mon entreprise en 2014 : Monsieur Lucien. Fraîchement diplômé du Cycle master de SciencesCom, j’ai commencé mon parcours professionnel chez l’annonceur en tant que chargé de communication et community manager pour travailler ensuite en agence en tant que chargé de clientèle et chef de projet. C’est une année d’expatriation en Australie qui m’a véritablement poussé à me lancer : découvrir de nouvelles façons de fonctionner et l’envie de créer devint alors un réel besoin. J’ai envisagé plusieurs idées d’entreprises et choisi de capitaliser sur le savoir-faire acquis au cours des dernières années en me lançant dans une activité que je maîtrisais et dans un secteur à fort potentiel : le commerce de proximité et les petites entreprises. C’est ainsi que j’ai créé Monsieur Lucien. » Monsieur Lucien, une agence de proximité « Aujourd’hui, Monsieur Lucien est le conseiller en communication qui aide les commerces de proximité, les artisans, professions libérales, TPE et PME à développer leur activité en améliorant leur visibilité et notoriété sur Internet. Que ce soit un coiffeur, un boulanger, un architecte, un poissonnier, un restaurant, une agence immobilière, une TPE ou encore une PMA… Ils répondent tous à un besoin que recherchent les consommateurs : la proximité ! Ils se situent à 100m, à un pâté de maison, voire dans la rue parallèle… et pourtant nous ne les voyons plus. Il faut renouer le lien entre les consommateurs et le commerce de proximité. Ce que je recherche avant tout, c’est une activité utile et nécessaire pour apporter un service de conseil à la fois stratégique et opérationnel. L’idée est que ces entreprises aient une communication web pertinente et adaptée à leur budget. Ce n’est pas parce que l’on est « petit » que l’on n’a pas le droit à une communication web. » Mes souvenirs de SciencesCom : des moments forts ! « Les ®micros-agences : de nombreuses heures passées à travailler en groupe sur des problématiques totalement différentes. Un moyen efficace de se confronter à la réalité de la vie professionnelle. Des soirées, (voire des nuits) à bosser pour présenter des soutenances le lendemain matin. De la « bonne » fatigue ! Le séminaire européen : évidemment une très bonne ambiance de promo mais aussi de nombreuses rencontres professionnelles, des façons de fonctionner différentes. C’est ce qui a confirmé mon envie de m’expatrier un an en Australie. La disponibilité des intervenants : SciencesCom, sans tomber dans le cliché de la famille, c’est beaucoup plus que des intervenants. Il y a un véritable suivi, une écoute. Ce n’est pas compliqué d’entrer dans le bureau d’Olivier Pohardy ou de Florence Touzé, toujours disponibles et d’échanger. »

    • Keep In Touch
    • Le 1 janvier 2012

    Un stage à l’étranger est très formateur, permet de mieux se connaître et de dépasser ses limites.

    Nom: Léna Pailler Fonction actuelle:  Diplôme Audencia: Bac+3 Scom  Nationalité: Française Résidence:   J’ai effectué mon stage de trois mois en Afrique du Sud, à Cape Town où Je travaillais pour Inverdoorn, une compagnie qui organise des safaris. En tant qu’assistante marketing, j’étais en charge de la communication digitale. Ma mission principale était d’améliorer le référencement du site internet à travers la création de plusieurs sites web en anglais, français et espagnol. Je gérais également la mise en page du site, son contenu et de la création d’un logo. J’ai beaucoup appris pendant ce stage et je pense que les compétences web que j’ai acquises sont aujourd’hui indispensables. Grâce à cette expérience j’ai également pu découvrir une nouvelle culture, améliorer mon anglais et visiter un pays que je ne connaissais pas. Je suis convaincue qu’effectuer un stage à l’étranger est très formateur, permet de mieux se connaître et de dépasser ses limites.

    • Keep In Touch
    • Le 1 janvier 2012

    Learning French is vital if you want to work in France

    Name: Iuliana Megelea Current position: Performance Management Consultant at PwC in Paris Degree earned at Audencia: IMM 10 Other degrees: BSc in Mathematics and Informatics in Applied Engineering, University Politehnica of Bucharest Nationality: Romanian Residence: Paris, France  Professional path As Performance Management Consultant in the finance department at PwC, Iuliana enjoys her responsibilities from both a technical and human perspective: “I get to work with a lot of companies and see how they are organised, how they work. I learn a lot every day because each company is different, and every person is unique. It is important to adapt your speech, methods, etc. to the individual.” She keeps all of this in mind in order to provide clients with the best solutions to their current budgetary challenges. Of course there’s a lot of research involved, but Iuliana says “it’s very rewarding at the end of a project when you see how the client’s work has improved.” In a previous position as a first-time project manager at 2B Consulting, she helped to implement software from IBM to improve the soft coding and budgeting for the owner of a large chain of supermarkets. “It worked in the same way as a consulting company. We implemented the software for all the smaller chains, while also keeping the larger corporation and how they manage their projects in mind, translating their problems into technical terms. And at the human level, I experienced managing the team and budget, in addition to the other challenges of the clients.” She loves her current job, but one day she hopes to start her own company in either consulting or analytics and work internationally, traveling across the globe – and visiting some of her closest friends from the IMM class of 2010. Passions Iuliana Megelea is passionate about a lot of things – from international travel and outdoor sports, to consulting and analytics, to quality time with friends and family – but everything she does, she does mindfully. “I try to always be correct, to treat others with respect and in the way I would want to be treated. This applies to my personal and professional life,” she says. And because of this, Iuliana seems to thrive in areas where both accuracy and consideration matter, whether it’s speeding down the slopes, reaching for her next hold while rock climbing, or finding the best solution to the complex budgetary challenges her clients at PricewaterhouseCoopers face on a daily basis. In fact, it’s Iuliana’s passion for internationalisation and tailoring client experiences to their specific needs that is part of her motivation to become an entrepreneur. Most memorable experience in France Iuliana’s passions for international travel and business are what brought her to the International Master in Management programme at Audencia Nantes in 2009, which had a long-lasting effect on her personal and professional life. “It was a whole new world for me, with such a broad range of subjects. And in my class, we were 26 nationalities out of 30 students – a great experience.” But what she treasures most is the lifelong connections she made. “The moments spent with my friends in the IMM programme are priceless, because I have best friends from all over the world now.” Iuliana talks with her IMM friends weekly, and each year, they pick a destination to meet. “Last year we met in France, and this year we plan to meet somewhere in Asia!” Advice to international students looking to work in France Iuliana has one very important piece of advice: learn French! And know that the more languages you speak, the more international your work is likely to be. Iuliana speaks Romanian, French and English fluently and has a limited working proficiency in Spanish. “I didn’t really speak much French when I came to study at Audencia, but I learned a lot as I communicated more and more with peers and colleagues.” Staying in touch with Audencia Alumni In addition to keeping in touch with the close friends she made in the programme, Iuliana is also getting involved in the Audencia Alumni network this year: “It’s important to keep in touch with the network – especially when I had such an amazing experience.” Iuliana goes to Audencia Alumni networking events when she can and plans to attend an Entrepreneur’s event later this year.

    • Keep In Touch
    • Le 1 janvier 2012

    Le stage est un réel tremplin pour appréhender un domaine particulier

    Nom: Isabelle Perrot Fonction actuelle:  Diplôme Audencia:  Nationalité: Française Résidence:   J’ai eu l’opportunité de réaliser mon stage de Cycle Bachelor au sein du département Développement numérique d’ARTE France. Je m’intéresse aux nouveaux médias ainsi qu’aux productions web qui ne cessent d’être innovantes. Ce stage fut donc un réel tremplin pour appréhender ce domaine. Pendant trois mois, j’ai accompagné le pôle web en tant qu’assitante d’édition et de production web sur les différentes plateformes existantes (ARTE Future, ARTE Creative et ARTE Cinema) et sur des projets transversaux (création de jeux vidéos, courts métrages en 360° et en réalité virtuelle). J’y ai découvert un univers : la production web et bi-média. Ce stage confirme mon choix de projet professionnel : travailler dans le domaine de la production web et des nouveaux médias. J'envisage d'effectuer mon stage de 1ère année de Cycle master dans une société de production spécialisée dans le digital.

    • Keep In Touch
    • Le 1 janvier 2012

    L'apprentissage, un réel atout !

    Nom: Marie Leclercq Fonction actuelle: Consultante Social Media Junior, WE ARE SOCIAL Diplôme Audencia: Bac +5 Scom 15 Nationalité: Française Résidence:   Depuis janvier, j’ai intégré l’agence We Are Social, où je réalise mon apprentissage en tant que Consultante Social Media Junior. Dans ce cadre, j’effectue des missions variées comme la participation à l’élaboration de la stratégie digitale de différentes marques, des missions de community management avec la création des calendriers de publication, l’administration et la modération de pages et de la création de contenu avec la rédaction de blogs post en interne et externe. L’apprentissage « Manager en stratégie digitale » proposé par SciencesCom représente pour moi une véritable opportunité. En effet, ce format d’enseignement permet à la fois de bénéficier de notions académiques, directement applicables au sein d’une organisation et d’être intégré dans la stratégie à moyen terme de l’organisation à travers des missions à responsabilités. Le rythme de l’apprentissage est de 4 jours en entreprise, 1 jour à l’école. Ce rythme, parfois dense, me permet d’être au coeur des projets et de m’impliquer véritablement. Une expérience enrichissante et professionnalisante !

    • Keep In Touch
    • Le 1 janvier 2012

    Faire ses 1ers pas dans un groupe mondial, dynamique, leader de son secteur est une belle expérience

    Nom: Johanne Belzit Fonction actuelle: assistante Communication Corporate au pôle digital du groupe L’Oréal Diplôme Audencia: Bac +5 Scom 2014 Nationalité: Française Résidence:   Je suis actuellement assistante Communication Corporate au pôle digital du groupe L’Oréal pour mon stage de fin d’études. Après un CV déposé sur le site du groupe et deux entretiens, le responsable RH m’a proposé un poste dans le digital, compétence désormais indispensable sur un CV. Le grand atout de ce stage est la diversité des missions. Dans une équipe de 4 personnes, je travaille sur trois projets différents qui me permettent d’acquérir une vision très complète du secteur. Je participe notamment à la définition et à la mise en oeuvre de la stratégie de communication globale des pages Facebook et Instagram «Beauty For All by L’Oréal ». Je suis également en charge de la communication autour du lancement international du premier portail Intranet global du groupe. Un gros projet interne qui me permet d’être quotidiennement en relation avec différents pays. Enfin, je gère en complète autonomie une plateforme réservée aux « top managers ». Horaires denses, collaborateurs brillants, secteur en mutation…faire ses premiers pas au sein d’un groupe mondial, dynamique et leader dans son secteur, est une très belle expérience qui me donnera, j’espère, la chance d’exercer plus tard à l’international.

    • Keep In Touch
    • Le 1 janvier 2012

    La communication digitale en pleine expansion dans le secteur de la banque et des assurances

    Nom: Simon Sallandre Fonction actuelle: BNP PARIBAS CARDIF Diplôme Audencia: Bac +5 Scom 15 Nationalité: Française Résidence:   J’ai effectué mon stage de 1ère année de Cycle master chez BNP Paribas Cardif en tant que Chargé de missions au Planning Stratégique. Ce qui m'a conquis dans cette offre de stage était la richesse du poste et des missions qui m’étaient confiées. Dès mon arrivée, j'ai été très rapidement intégré par mon équipe qui me considérait comme un collaborateur à part entière. Cela s’est traduit par des missions et responsabilités à forte valeur ajoutée, mais également un travail important pour me familiariser avec le monde de l'assurance et de la banque. Mes missions répondaient à mes attentes et allaient même au-delà. La dimension du planning stratégique de cette entreprise permet de travailler l'identité et la valeur de marque aussi bien en externe qu'en interne. Enfin, j'ai pu constater au cours de ce stage que la communication digitale était en pleine expansion dans le secteur de la banque et des assurances, qui communiquait très peu auparavant sur les supports digitaux (réseaux sociaux, applications...). Un secteur d'avenir donc pour les communicants en stratégie digitale !

  • «
  • ‹
  • 17
  • 18
  • 19
  • 20
  • ›
  • »
Qui sommes-nous ?
Nous contacter
Mentions légales

Nous suivre

Accréditations

Partenaire de

Logo instagram Logo linkedin Logo tiktok Logo youtube Logo facebook Logo twitter
Logo Equis Logo AACSB Logo AMBA
Logo BSIS Logo CEFDG Logo CDEFM

Logo Alliance Centrale Audencia ENSA
Logo Conférence des grandes écoles
Logo CCI Nantes St-Nazaire
Logo WWF/Audencia

Logo Audencia © 2023 AUDENCIA - TOUS DROITS RÉSERVÉS Etablissement d’Enseignement Supérieur Technique Privé