Choisissez bien vos stages, pas par dépit ou « à la va vite ».
- Keep In Touch
- Le 13 septembre 2012
Fonction actuelle: Pierre FRANCOIS
Diplôme Audencia: Bachelor EAC 2012
Nationalité: Française
Résidence:
Interview Estelle DROSNET
13 septembre 2012
A la sortie du lycée, pourquoi avoir choisi une formation en bac+3 ?
Je savais que je voulais faire une école de commerce mais en 3 ou 5 ans, j’avais un doute. La solution du bachelor me permettait de me poser les bonnes questions au fur et à mesure et de valider un diplôme à l’issue des 3 années.
Pourquoi l’EAC ?
Pour le réseau d’entreprises qui gravite autour d’elle, notamment grâce à son partenariat avec la CCI.
Quelle méthode as-tu utilisé pour identifier ton stage de fin d’études ?
J’ai toujours été attirée par le secteur de l’agroalimentaire. J’ai donc décidé d’orienter mes recherches vers ce milieu. En termes de missions, en entrant à l’EAC, je n’étais pas fixée. Peu à peu, notamment grâce aux cours Calypso, le métier de commercial terrain s’est dessiné. Pour ce dernier stage, j’ai joué la carte de l’audace. J’ai établi un fichier des entreprises de l’agroalimentaire et j’ai passé du temps sur une opération de phoning : appeler le DRH de ces entreprises me semblait être le meilleur moyen de me démarquer ! Et cette méthode a porté ses fruits ! Je suis tombée au bon moment lorsque j’ai appelé Mr Pierre FRANCOIS, de la SAS Alain François. Cette société produisant et commercialisant du foie gras, avait un projet de développement à l’export et en France. Je suis arrivée au bon moment ! C’est ensuite que j’ai découvert que Pierre FRANCOIS était un diplômé de l’EAC lui aussi !
Quelle a été la suite de ton diplôme ?
Grâce à ce stage, j’ai été embauchée dans la société. J’ai commencé mon stage en février et dès mars, Pierre FRANCOIS m’a proposé un CDI pour l’issue de mon stage. Une opportunité que j’ai évidemment saisie ! Tout était en effet réuni : le secteur, la mission et l’international !
Ce choix d’aller directement sur le marché de l’emploi a –t-il été difficile ?
Non, pas du tout ! Je n’ai aucun regret ! Je suis ravie de privilégier le terrain plus que la formation. Et il n’est pas dit que je ne reprendrai pas un master en formation continue, ce que m’a proposé Pierre FRANCOIS pour les années à venir…
Qu’est-ce qui te plaît dans ce poste ?
Avant toute chose, l’autonomie sur les projets. Je travaille sur 2 projets majeurs. Le premier, en France : le développement d’une marque locale en GMS. La société m’a laissé carte blanche sur ce sujet, de la création de la marque à la prospection, en passant par le choix du packaging, etc… Cette polyvalence « commercial/marketing » est passionnante ! Le second, à l’international : il est ici question de diversifier les débouchés. Nous nous rendons compte que la consommation de foie gras, contrairement à la France où elle est très saisonnière, se fait toute l’année, il est donc opportun de se positionner sur le marché mondial.
Pour conclure, quels seraient tes conseils envers les étudiants de 1ère année qui viennent d’intégrer l’EAC ?
Premièrement, Je leur dirais de bien choisir leurs stages, de ne pas les choisir par dépit ou « à la va vite ».
Deuxièmement, dès le premier stage, il est important d’être très impliqué, de se montrer sous son meilleur jour. N’oublions pas que l’on se crée son réseau dès cette première expérience, qu’il est donc important de laisser une bonne impression aux personnes que l’on côtoie dans l’entreprise… le monde est petit !
Enfin, je tiens à dire que le cours Calypso m’a beaucoup appris. Il est essentiel de se poser les bonnes questions, dès l’entrée à l’EAC, afin de construire peu à peu son projet, et de l’adapter à nos propres envies !
En savoir plus sur ...
Dans la même catégorie
-
Avoir l’envie, posséder cette petite flamme qui convainc un recruteur !
Nom: Corinne Grignon-Michaud Fonction actuelle: Gérante de société Diplôme Audencia: EAC IPAC 1983 Nationalité: Française Résidence: Interview Corinne Grignon-Michaud - 1er mars 2012 Quel a été votre parcours depuis que vous êtes diplômée ? J’ai d’abord travaillé 2 ans dans la grande distribution, chez Leclerc, en tant que chef de rayon chaussures et prêt-à-porter. Puis j’ai intégré la CCI en tant qu’assistante de formation, pendant 2 ans. Après cette expérience, j’ai été 15 ans Responsable régionale et formatrice dans le groupe ETAM, précisément pour l’enseigne 123. J’ai eu l’opportunité de participer à la croissance du groupe. Mes fonctions m’ont permis d’être très présente sur le terrain et porte-parole de la direction, missions très enrichissantes ! J’ai ensuite repris une activité de formatrice indépendante auprès de l’EAC, de différentes CCI de la région (Cholet et la Roche sur Yon notamment) et d’autres structures. J’ai animé des modules tels que Merchandising, Techniques de vente, Management du point de vente, entre autres. En parallèle de ces activités de formation, nous avons ouvert successivement, mon mari et moi, plusieurs magasins : Patrice Bréal (Groupe Beaumanoir), Cache-Cache, San Marina. Notamment Cache-Cache/Bonobo sur Savenay, en août 2010, point de vente d’une surface de 360 m². Aujourd’hui je gère nos magasins mais j’ai cessé mes activités de formatrice depuis août 2010. Si c’était à refaire ? Je referais tout de la même façon ! Les choses arrivent comme elles doivent arriver. Je n’ai jamais subi les choses, que ce soit en tant que salariée ou en tant que manager. Bien sûr, on doit souvent se plier à des règles mais je me suis toujours sentie libre de mes actes. J’ai notamment adoré ce que j’ai fait pendant 15 ans chez Etam mais j’ai pris la décision de partir lorsque ma vision sur l’évolution du groupe différait de celle de ma direction. Qu’est-ce qui vous épanouit dans votre fonction de Gérante de sociétés ? Une chose essentielle : faire grandir les gens que je manage, notamment en leur permettant de développer de nouvelles compétences. Cela passe aussi bien sûr par le fait de leur dire quels sont leurs axes de progrès. C’est également partager un but commun qui est la réalisation des objectifs de chiffre d’affaires. Le moyen pour y parvenir : travailler et avancer ensemble. Autre point que j’apprécie : cette gymnastique permanente entre les 4 enseignes que je pilote et les stratégies spécifiques à chacune d’entre elles. Quelles sont les qualités nécessaires pour occuper ce poste ? Cela va paraître évident mais il faut clairement aimer les gens, les comprendre, identifier les moteurs de chacun, être à l’écoute. Mais attention, il est également essentiel de rester dans son rôle de manager, savoir fixer des limites, être empathique sans excès. Je ne suis pas quelqu’un de pouvoir, je me souviens que j’ai été managée avant de manager ! Enfin, pour bien encadrer, il faut impérativement être juste ! Des conseils à donner aux étudiants et jeunes diplômés ? Avant toute chose, avoir l’envie, posséder cette petite flamme qui convainc un recruteur ! Mais aussi mettre de la cohérence dans son parcours et savoir démontrer cette cohérence, ce liant. Quand vous vous présentez devant un recruteur, vous devez lui montrer qui vous êtes, ce qui fait que vous êtes là aujourd’hui, ce qui fait que vous êtes convaincu de la justesse de votre projet. Enfin, tout simplement être acteur de son projet, ne pas subir les choses, les vivre pleinement et en cohérence avec sa personnalité et ses envies !
- Keep In Touch
- Le 1 mars 2012
-
Un jeune humoriste nantais qui monte!
Nom: Romuald MAUFRAS Fonction actuelle: Humoriste Diplôme Audencia: EAC -2005 Nationalité: Française Résidence: Paris Interview Romuald MAUFRAS – Diplômé EAC 2005 - 12 février 2013 Si nous osions, nous dirions que Romuald MAUFRAS mène une double vie... Tout du moins, il a réellement une double compétence atypique dans le réseau des diplômés de l’EAC Découvrez les motivations de ce « drôle de commercial » Comment te présenter ? Commercial ou show-man ? Si on me demande ce que je fais dans la vie, je réponds : « Je vends du matériel médical ». C’est en effet cela qui occupe la majeure partie de mon temps et qui est le plus « visible ». Mais cela dépend du contexte et des personnes que j’ai en face de moi. Parfois, j’ajoute que je suis humoriste. Parce que c’est le cas ! Reprenons dans l’ordre. Peux-tu nous en dire davantage sur ta vie professionnelle ? Je suis délégué hospitalier pour la société Asept Inmed , un distributeur de matériel médical. Mes clients sont donc les cliniques et Hôpitaux. J’occupe ce poste depuis 7 ans ½. J’avais réalisé mon stage de fin d’études dans cette même entreprise, en répondant à une offre parue à l’EAC. J’ai dû parvenir à faire mes preuves puisque j’ai été embauché ! Je me sens bien dans cette entreprise et dans ce poste. Et je dois aussi reconnaître que mon patron me soutient dans mon rôle d’humoriste. Justement, comment t’est venue cette idée de te lancer sur scène, c’est audacieux non ? J’ai commencé par m’inscrire à des cours de café-théâtre à la Compagnie du café-théâtre de Nantes, en octobre ???? En mai ????, j’ai participé au Festival des élèves puis intégré le Groupe tremplin qui nous demande d’écrire un sketch par mois. L’objectif était alors de présenter ces sketchs durant les Scènes ouvertes. Petit à petit, j’ai gravi des marches et je suis parvenu jusqu’à la finale, que j’ai remportée ! J’ai ainsi gagné le droit de présenter un spectacle durant une semaine, à la Compagnie du café-théâtre, en janvier dernier. Très sincèrement, je ne pensais pas aller jusque-là en m’inscrivant tout simplement à des cours de théâtre ! Il me semblerait maintenant décalé de ne pas saisir ces belles opportunités ! Là où d’autres rêveraient de se produire sur scène, je ne me vois pas refuser ces propositions… Quelles sont tes sources d’inspiration sur scène ? Le fil rouge de mon spectacle est ma vie au bureau. Je me sers donc de ce que j’observe dans ma vie de commercial, en décrivant un business man, un gourou de la vente, etc… tout en grossissant leurs traits, bien entendu ! Et se greffent ensuite sur ce thème des scènes que les gens peuvent vivre au quotidien : le cadeau d’anniversaire raté, les vacances à l’UCPA, les relations hommes femmes, etc… A mon sens, ce sont les situations probables, vécues, qui font rire. J’essaye de traiter des sujets certes déjà vus mais en y joignant des arrangements nouveaux. Dans l’autre sens, te sers-tu de tes talents d’acteur dans ton poste de commercial ? Vendre un produit et vendre une blague : même combat ! Je suis persuadé que la mécanique de l’humour est la même que celle d’un processus de vente : des étapes bien précises, une préparation bien ficelée et beaucoup de travail ! Ensuite, les 2 premières minutes sont décisives, dans une situation comme dans l’autre : si la phase découverte se fait mal, pas de vente à l’issue de l’entretien ; si la première blague ne passe pas, pas de rire pendant 1h30… Enfin, on est dans les 2 cas dans une relation de séduction : il faut trouver les clés pour que le prospect ou le spectateur m’accordent un peu de leur temps. « Aller au bout de ses rêves », « Saisir les opportunités de la vie », « Prendre plaisir à travailler ensemble » sont 3 valeurs de l’EAC. Laquelle choisis-tu ? Sans hésiter « Prendre plaisir », c’est la base de tout ! C’est ce à quoi j’aspire dans tout ce que j’entreprends : dans ma vie personnelle, devant mes clients et sur scène ! Une blague pour conclure ? Le mieux est de venir me voir sur scène ! Je serai à la Compagnie du café-théâtre aux dates suivantes : du 7 au 11 mai, du 2 au 6 juillet et du 16 au 20 juillet.
- Keep In Touch
- Le 12 févr. 2013
Autres actualités
-
Avoir l’envie, posséder cette petite flamme qui convainc un recruteur !
Nom: Corinne Grignon-Michaud Fonction actuelle: Gérante de société Diplôme Audencia: EAC IPAC 1983 Nationalité: Française Résidence: Interview Corinne Grignon-Michaud - 1er mars 2012 Quel a été votre parcours depuis que vous êtes diplômée ? J’ai d’abord travaillé 2 ans dans la grande distribution, chez Leclerc, en tant que chef de rayon chaussures et prêt-à-porter. Puis j’ai intégré la CCI en tant qu’assistante de formation, pendant 2 ans. Après cette expérience, j’ai été 15 ans Responsable régionale et formatrice dans le groupe ETAM, précisément pour l’enseigne 123. J’ai eu l’opportunité de participer à la croissance du groupe. Mes fonctions m’ont permis d’être très présente sur le terrain et porte-parole de la direction, missions très enrichissantes ! J’ai ensuite repris une activité de formatrice indépendante auprès de l’EAC, de différentes CCI de la région (Cholet et la Roche sur Yon notamment) et d’autres structures. J’ai animé des modules tels que Merchandising, Techniques de vente, Management du point de vente, entre autres. En parallèle de ces activités de formation, nous avons ouvert successivement, mon mari et moi, plusieurs magasins : Patrice Bréal (Groupe Beaumanoir), Cache-Cache, San Marina. Notamment Cache-Cache/Bonobo sur Savenay, en août 2010, point de vente d’une surface de 360 m². Aujourd’hui je gère nos magasins mais j’ai cessé mes activités de formatrice depuis août 2010. Si c’était à refaire ? Je referais tout de la même façon ! Les choses arrivent comme elles doivent arriver. Je n’ai jamais subi les choses, que ce soit en tant que salariée ou en tant que manager. Bien sûr, on doit souvent se plier à des règles mais je me suis toujours sentie libre de mes actes. J’ai notamment adoré ce que j’ai fait pendant 15 ans chez Etam mais j’ai pris la décision de partir lorsque ma vision sur l’évolution du groupe différait de celle de ma direction. Qu’est-ce qui vous épanouit dans votre fonction de Gérante de sociétés ? Une chose essentielle : faire grandir les gens que je manage, notamment en leur permettant de développer de nouvelles compétences. Cela passe aussi bien sûr par le fait de leur dire quels sont leurs axes de progrès. C’est également partager un but commun qui est la réalisation des objectifs de chiffre d’affaires. Le moyen pour y parvenir : travailler et avancer ensemble. Autre point que j’apprécie : cette gymnastique permanente entre les 4 enseignes que je pilote et les stratégies spécifiques à chacune d’entre elles. Quelles sont les qualités nécessaires pour occuper ce poste ? Cela va paraître évident mais il faut clairement aimer les gens, les comprendre, identifier les moteurs de chacun, être à l’écoute. Mais attention, il est également essentiel de rester dans son rôle de manager, savoir fixer des limites, être empathique sans excès. Je ne suis pas quelqu’un de pouvoir, je me souviens que j’ai été managée avant de manager ! Enfin, pour bien encadrer, il faut impérativement être juste ! Des conseils à donner aux étudiants et jeunes diplômés ? Avant toute chose, avoir l’envie, posséder cette petite flamme qui convainc un recruteur ! Mais aussi mettre de la cohérence dans son parcours et savoir démontrer cette cohérence, ce liant. Quand vous vous présentez devant un recruteur, vous devez lui montrer qui vous êtes, ce qui fait que vous êtes là aujourd’hui, ce qui fait que vous êtes convaincu de la justesse de votre projet. Enfin, tout simplement être acteur de son projet, ne pas subir les choses, les vivre pleinement et en cohérence avec sa personnalité et ses envies !
- Keep In Touch
- Le 1 mars 2012
-
Un jeune humoriste nantais qui monte!
Nom: Romuald MAUFRAS Fonction actuelle: Humoriste Diplôme Audencia: EAC -2005 Nationalité: Française Résidence: Paris Interview Romuald MAUFRAS – Diplômé EAC 2005 - 12 février 2013 Si nous osions, nous dirions que Romuald MAUFRAS mène une double vie... Tout du moins, il a réellement une double compétence atypique dans le réseau des diplômés de l’EAC Découvrez les motivations de ce « drôle de commercial » Comment te présenter ? Commercial ou show-man ? Si on me demande ce que je fais dans la vie, je réponds : « Je vends du matériel médical ». C’est en effet cela qui occupe la majeure partie de mon temps et qui est le plus « visible ». Mais cela dépend du contexte et des personnes que j’ai en face de moi. Parfois, j’ajoute que je suis humoriste. Parce que c’est le cas ! Reprenons dans l’ordre. Peux-tu nous en dire davantage sur ta vie professionnelle ? Je suis délégué hospitalier pour la société Asept Inmed , un distributeur de matériel médical. Mes clients sont donc les cliniques et Hôpitaux. J’occupe ce poste depuis 7 ans ½. J’avais réalisé mon stage de fin d’études dans cette même entreprise, en répondant à une offre parue à l’EAC. J’ai dû parvenir à faire mes preuves puisque j’ai été embauché ! Je me sens bien dans cette entreprise et dans ce poste. Et je dois aussi reconnaître que mon patron me soutient dans mon rôle d’humoriste. Justement, comment t’est venue cette idée de te lancer sur scène, c’est audacieux non ? J’ai commencé par m’inscrire à des cours de café-théâtre à la Compagnie du café-théâtre de Nantes, en octobre ???? En mai ????, j’ai participé au Festival des élèves puis intégré le Groupe tremplin qui nous demande d’écrire un sketch par mois. L’objectif était alors de présenter ces sketchs durant les Scènes ouvertes. Petit à petit, j’ai gravi des marches et je suis parvenu jusqu’à la finale, que j’ai remportée ! J’ai ainsi gagné le droit de présenter un spectacle durant une semaine, à la Compagnie du café-théâtre, en janvier dernier. Très sincèrement, je ne pensais pas aller jusque-là en m’inscrivant tout simplement à des cours de théâtre ! Il me semblerait maintenant décalé de ne pas saisir ces belles opportunités ! Là où d’autres rêveraient de se produire sur scène, je ne me vois pas refuser ces propositions… Quelles sont tes sources d’inspiration sur scène ? Le fil rouge de mon spectacle est ma vie au bureau. Je me sers donc de ce que j’observe dans ma vie de commercial, en décrivant un business man, un gourou de la vente, etc… tout en grossissant leurs traits, bien entendu ! Et se greffent ensuite sur ce thème des scènes que les gens peuvent vivre au quotidien : le cadeau d’anniversaire raté, les vacances à l’UCPA, les relations hommes femmes, etc… A mon sens, ce sont les situations probables, vécues, qui font rire. J’essaye de traiter des sujets certes déjà vus mais en y joignant des arrangements nouveaux. Dans l’autre sens, te sers-tu de tes talents d’acteur dans ton poste de commercial ? Vendre un produit et vendre une blague : même combat ! Je suis persuadé que la mécanique de l’humour est la même que celle d’un processus de vente : des étapes bien précises, une préparation bien ficelée et beaucoup de travail ! Ensuite, les 2 premières minutes sont décisives, dans une situation comme dans l’autre : si la phase découverte se fait mal, pas de vente à l’issue de l’entretien ; si la première blague ne passe pas, pas de rire pendant 1h30… Enfin, on est dans les 2 cas dans une relation de séduction : il faut trouver les clés pour que le prospect ou le spectateur m’accordent un peu de leur temps. « Aller au bout de ses rêves », « Saisir les opportunités de la vie », « Prendre plaisir à travailler ensemble » sont 3 valeurs de l’EAC. Laquelle choisis-tu ? Sans hésiter « Prendre plaisir », c’est la base de tout ! C’est ce à quoi j’aspire dans tout ce que j’entreprends : dans ma vie personnelle, devant mes clients et sur scène ! Une blague pour conclure ? Le mieux est de venir me voir sur scène ! Je serai à la Compagnie du café-théâtre aux dates suivantes : du 7 au 11 mai, du 2 au 6 juillet et du 16 au 20 juillet.
- Keep In Touch
- Le 12 févr. 2013