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    • Le 22 janvier 2018

    Together - Lancement de la géolocalisation

    Chers diplômés, chers étudiants,    Vous avez suivi sur les réseaux sociaux le tour du monde de nos Alumni déguisés en Où est Charlie? L’heure de tout vous dire a sonné ! Nous avons le grand plaisir de vous annoncer le lancement de la fonctionnalité de géolocalisation Close to Me, désormais accessible sur Together. Avec Close to Me, vous pouvez savoir où se trouvent les diplômés, étudiants et membres du personnel d’Audencia, partout dans le monde. Plus qu’une longue explication, écoutez ce qu’en disent quelques diplômés et étudiants qui ont pu tester Close to Me en avant-première. Ils vous livrent leurs 1ères impressions en vidéo :   Avec Close to Me, 2018 commence en fanfare. Espérons que cette nouvelle fonctionnalité vous permette toujours plus d’échanges, de rencontres et de réussites professionnelles ou personnelles !

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    • Le 8 janvier 2018

    Happy new year !

    Chers diplômés, Nous vous souhaitons une belle et heureuse année 2018. L’engagement des diplômés dans la vie de l’école et du réseau comme les succès individuels contribuent pleinement au rayonnement d’Audencia Business School et à la fierté collective. Comment en effet, ne pas être fiers tous ensemble des plus belles réussites personnelles, professionnelles ou entrepreneuriales de nos diplômés, à l’image de VELCO et de ses 3 fondateurs audenciens, primés au #CES de Las Vegas ? La continuité et l’intimité de la relation entre les diplômés et l’école doit se construire sur une base «gagnant - gagnant». Pour cela, Audencia maintient depuis plusieurs années, un niveau d’engagement élevé pour développer Audencia Alumni, votre réseau des diplômés. En 2017, l’Etudiant a d’ailleurs classé Audencia 1ère (ex-aequo avec HEC) sur le critère de satisfaction des diplômés : nous nous en félicitons. Audencia Alumni est une communauté forte de plus de 24000 personnes, en France et dans le monde. Une communauté riche de la diversité des parcours et expériences de chacun, des succès entrepreneuriaux, des engagements responsables. En 2017, Audencia Alumni, ce sont plus de 200 événements dédiés aux diplômés, 50 clubs et communautés, 800 interventions de diplômés à l’école. Et depuis mars 2017, toute la richesse de ce réseau est accessible en quelques clics grâce à Together, le nouveau site web collaboratif des diplômés. En 2018, nous allons poursuivre le développement d’Audencia Alumni et intensifier : L’accompagnement des étudiants et des diplômés en renouvelant l’offre de services et en renforçant la dynamique d’animation des clubs, tant sur les métiers que les secteurs d’activité, avec un engagement fort de l’association des diplômés sur ce sujet. La valorisation de la richesse des parcours individuels pour renforcer le sentiment d’appartenance et la fierté ; La transmission intergénérationnelle en développant la participation des diplômés à la vie de l’école, du réseau et de la Fondation Audencia. Permettez-nous de vous dire notre reconnaissance à toutes celles et ceux qui s’engagent au sein du réseau et de l’école. Nous remercions enfin ceux qui, chaque année plus nombreux, soutiennent les actions portées par la Fondation Audencia. Très bonne année à tous !   Emeric Peyredieu Du Charlat Directeur Général Audencia Business School Eric Dodin Président  Association Audencia Alumni

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    • Le 5 janvier 2018

    Retour sur la WELCOME BACK #6

    Encore un énorme succès pour la Welcome Back, l'évènement annuel incontournable dédié à tous les diplômés de l'EGC, de l'IPAC, de l'EAC et d'Audencia Bachelor! Retour en images sur cette 6ème édition : découvrez les photos.  Rendez-vous l'année prochaine pour la Welcome Back #7, le dernier vendredi de Novembre. A vos agendas !  

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    • Le 23 décembre 2017

    Gilles MULLER (GE 09), Edélices

      - 23 DECEMBRE - Gilles MULLER (GE 09) Fondateur d'Edélices Offrez-vous des produits gastronomiques en cliquant ici   Passionné et exigeant, Gilles est toujours à l’affût des meilleurs produits depuis la création de son épicerie fine en ligne. Il nous partage son aventure gastronomique…   Comment êtes-vous venu à créer Edélices ? Mon associé, qui se trouve être mon meilleur ami depuis maintenant plus de 20 ans, et moi-même souhaitions créer notre entreprise. De par nos formations respectives, Ingénieur et Ecole de Commerce, le E-Commerce nous est apparu comme une évidence. Le secteur dans lequel nous avons créé nous est lui aussi venu assez naturellement puisque nous avons tous les deux une appétence forte pour les bons produits mais surtout parce que je suis issu d’une famille de cuisinier qui ont pu m’orienter vers de bons fournisseurs au début.   Que vous apporte l’entrepreneuriat ? A froid, je dirais que la première chose qui me vient à l’esprit, c’est la liberté que cela peut procurer. Viennent ensuite les soucis parce que l’entrepreneuriat est rarement un long fleuve tranquille. Le salarié rentre chez lui et vit sa vie là où l’entrepreneur vit souvent sa boîte. Je ne regrette néanmoins pas mon choix puisque je m’épanouis professionnellement. En effet, qui, à mon âge, pourrait se voir confier les responsabilités qui sont les miennes ?   Quels sont les pièges à éviter ? J’entends trop souvent des entrepreneurs qui ne pensent qu’à lever des fonds. Bien entendu, il est parfois indispensable de lever des fonds pour mettre ses projets en œuvre mais j’ai l’impression que la levée de fonds est devenue une finalité en soi. Il ne faut pas oublier qu’une entreprise est conçue pour gagner de l’argent, pas pour lever des fonds. Un autre écueil très souvent rencontré est que de nombreux entrepreneurs (encore plus dans le milieu des start-ups) ne mettent pas leur prévisionnel à jour. En effet, j’ai déjà observé des entrepreneurs qui alors même qu’ils n’avaient pas atteint leurs objectifs continuaient dans la même direction sans prendre d’actions correctrices. C’est bien de se fixer un plan et de s’y tenir mais avancer avec des œillères mène souvent à la perte pure et simple de l’entreprise. Le dirigeant se doit de réagir en fonction des résultats / événements sinon, à quoi bon avoir un dirigeant.   Si on vous dit « épicerie fine », à quoi cela vous fait penser ? Je pense  tout de suite au goût. En effet, je ne mange pas juste pour alimenter mon corps en énergie mais pour le plaisir que cela me procure. L’épicerie fine, c’est exactement ça, on en consomme pour se faire plaisir plus que pour des considérations purement physiologiques et c’est en cela que nous rejoignons nos clients.   Que peut-on vous souhaiter pour 2018 ? Après de nombreux déménagements, nous venons d’emménager dans de nouveaux locaux pour suivre la croissance de nos différentes activités (l’épicerie fine Edélices, la box par abonnement Gourmibox et la plateforme logistique E-commerce Giraphes Services). Vous pouvez nous souhaiter de la croissance mais pas trop, afin qu’on puisse se poser quelques temps dans notre nouvel entrepôt, les déménagements à répétition sont trop épuisants…         <<  (re)découvrez l'ensemble de votre CALENDRIER DE L'AVENT ici  >>     Découvrez les entreprises des entrepreneurs ici...  

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    • Le 22 décembre 2017

    Gatien LETARTRE (GE 12), TrainMe

      - 22 DECEMBRE - Gatien LETARTRE (GE 12) Co-fondateur de TrainMe Offrez-vous du sport à domicile en cliquant ici   La passion et l’entrepreneuriat de Gatien   « Une passion dominante éteint les autres dans notre âme, comme le soleil fait disparaître les astres dans l'éclat de ses rayons ». Chateaubriand définissait ainsi la passion. Cette dernière est le fil rouge de mon expérience entrepreneuriale et aussi, je l’espère, de TrainMe.   La passion du sport : Le sport a toujours été central dans ma vie. Cette passion s’exprime par sa pratique, par les émotions transmises par les athlètes de haut niveau et maintenant par son économie. Le sport par ses valeurs, comme le dépassement de soi, m’a toujours fasciné. L’impression d’accomplissement d’un objectif sportif est, je pense, le moyen le plus abordable d’avoir le sentiment de devoir accompli. En effet, dans d’autres domaines, la notion « d’atteindre un objectif » est, me semble-t-il plus compliqué à définir.   La passion d’entreprendre : Cette passion est venue plus tard, mais s’est propagée très rapidement et de manière importante. Cette dernière est plus complexe et plus difficile à définir. Déjà, il faut définir l’entrepreneuriat... Je ne me risquerais pas à une définition précise et complète. Je le vois, à mon échelle, comme l’élaboration d’un projet basé sur une croyance et des opportunités. Ensuite, cette passion entrepreneuriale se traduit assez simplement, pour moi au quotidien :   - Cultiver le projet   - Satisfaire les clients   - Faire grandir et grandir avec mon équipe Ce dernier, est peut-être, selon moi, le plus important. Cependant, il est très corrélé aux deux premiers. Il me procure les plus grandes joies et les plus grandes motivations.   La rencontre de ces deux passions : En créant ma société dans le sport, j’ai réuni ces deux passions. Ce qui m’a permis, assez facilement, de mettre la passion au cœur du projet. Ça été le moteur de départ. Cependant, ce qui est le plus fort dans ce processus, c’est que de nouvelles missions liées à notre activité, me passionnent encore plus que  les premières. En avançant sur notre solution et en rencontrant nos clients et nos prestataires, j’ai découvert des nouvelles missions pour TrainMe. En effet, nous permettons à des gens de se mettre ou remettre aux sports, nous diminuons les risques d’accidents du travail et nous nous inscrivons dans la politique globale du « Sport pour Tous ». Ce qui est le plus déroutant, c’est que ces missions sont, a priori, très éloignées de ma passion initiale du sport. En effet, cette dernière est plus poussée par les exploits des sportifs de haut-niveau et d’une pratique « classique » du sport. Au final, c’est ce qu’il y a de plus intéressant (et le plus dur…) dans l’entrepreneuriat. Au départ, nous partons sur un projet qui s’appuie sur du vécu, des croyances et, bien sûr, des passions. Et progressivement, au fur et à mesure que le projet s’affine, on élargit nos champs d’actions afin d’avoir le service ou le produit qui apporte le plus à nos clients. La passion est donc au début, au cœur du projet, et je l’espère durant toute l’histoire du projet.       <<  (re)découvrez l'ensemble de votre CALENDRIER DE L'AVENT ici  >>     Découvrez les entreprises des entrepreneurs ici...  

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    • Le 21 décembre 2017

    Bonnes vacances à tous !

    RDV en 2018 avec une jolie surprise pour bien démarrer l'année... 

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    • Le 21 décembre 2017

    Johnny SMITH (GE 17), VELCO

      - 21 DECEMBRE - Johnny SMITH (GE 17) Co-fondateur de VELCO  avec Romain SAVOURE (GE 16) et Pierre REGNIER (GE 16)    Offrez-vous des guidons connectés en cliquant ici   Parmi les 3 fondateurs audenciens, Johnny revient, pour nous, sur ses débuts et son parcours... Dès son entrée à Audencia, il cherche à entreprendre et commence par présider le Bureau Des Arts (BDA) - l’objectif de l’association étant d’apporter une ouverture culturelle au sein de l’établissement. Suite à plusieurs expériences professionnelles en Marketing et Développement commercial, Johnny intègre la majeur Entrepreneuriat avec la volonté de s’investir pleinement sur un projet qui lui tient à cœur.   >> Si je vous dis Audencia, vous me dites… Entrepreneuriat ! En passant par la majeure, puis l’incubateur Centrale-Audencia-ENSA, nous avions nos premières cartes en main pour réussir. Tout d’abord une spécialisation qui me permit de cocher toutes les cases nécessaires au lancement de projet. Puis l’incubateur qui a constitué nos premiers bureaux. Dans les deux cas, nous avons bénéficié d’un accompagnement de qualité pour une phase de création réussie. Johnny rencontre alors Pierre Regnier et Romain Savouré avec qui il établit un premier business plan sur un concept de vélo connecté. Les trois porteurs de projets postulent alors à plusieurs concours, qu’ils remportent. Notamment le concours national I-Lab Pépite Créer leur permettant d’obtenir une dotation de 10 000€.   >> Quand la fibre entrepreneuriale vous a-t-elle prise ? La fibre entrepreneuriale, je crois que je l’ai toujours eu ! Quand je fais quelque chose, je le fais à fond. Je souhaitais être maitre de mon destin et n’avoir pour limite que mon imagination. Déjà en classe préparatoire d’école de commerce, je savais que pour moi, ma carrière commencerait par une création.   Suite à cela Johnny, décide de créer son entreprise et entre alors dans la catégorie des entrepreneurs étudiants. Effectivement, l’entreprise a été créée alors que les trois associés étaient encore étudiants.   >> Quelles compétences faut-il avoir selon vous pour devenir entrepreneur ? Enthousiasme et persévérance.   Un an et demi plus tard, Velco, c’est une équipe de 12 personnes qui conçoivent et commercialisent des solutions pour une mobilité plus intelligente et personnalisée. Leur première solution, le guidon connecté remporte notamment le premier prix du Concours Lépine 2017 et le prix de la meilleure aide à la navigation à l’occasion du Trophée des objets connectés 2017.   >> Une journée avec Johnny, cela ressemble à quoi ? Tout d’abord un réveil très matinal, un réveil musculaire, puis une virée en vélo jusqu’au boulot. Première partie de journée tonique avec l’équipe marketing que je manage, et qui est constituée de 4 personnes. Un midi sur la route pour aller à la rencontre de notre prochain client. Et des soirées tardives mais joyeuses au bureau en compagnie de mes deux associés !     Début 2018 Johnny s’envolera avec son équipe pour Las Vegas à l’occasion du Consumer Electronic Show. Ils recevront là-bas un nouveau prix dans la catégorie Smart City, le Saint Graal pour les passionnés de produits Tech !   >> Qu’est-ce qu’on peut vous souhaiter pour 2018 ? Du bonheur, de l’amour et de la réussite.     [dans l'ordre : Johnny, Romain, Pierre]   <<  (re)découvrez l'ensemble de votre CALENDRIER DE L'AVENT ici  >>   Découvrez les entreprises des entrepreneurs ici...  

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    • Le 20 décembre 2017

    Claire PIGNY (GE 13), Zeeloft

      - 20 DECEMBRE - Claire PIGNY (GE 13) Co-fondatrice de ZEELOFT Offrez-vous des bons plans design en cliquant ici     Salut les Audenciens ! Il y a 2 ans, avec mon conjoint Thibault, nous avons lancé Zeeloft, le site des bons plans design. Notre idée ? Nous dénichons toute l’année pour vous des promotions jusqu’à -70% sur les marques les plus prestigieuses comme Ligne Roset, Cinna, Knoll, Kartell ou Vitra. Notre mission ? Vous rendre plus accessibles de belles pièces signées et de qualité afin que vous puissiez offrir à votre intérieur la crème du design contemporain. Pour ce calendrier de l’avent, j’ai pensé que notre appartement pourrait bien illustrer notre aventure entrepreneuriale qui mêle à la fois vie pro et passions perso. Bonne visite !   Tout commence avec la super majeure Culture d’Audencia. C’est là que j’ai réalisé que je voulais vraiment travailler au service de sujets qui me passionnent. Après mes passages dans une maison d’édition, au Louvre puis à la Fondation du patrimoine, j’ai acquis en plus des beaux livres la conviction qu’il me fallait continuer à travailler dans un domaine créatif. Certains meubles ou luminaires design sont pour moi de véritables œuvres d’art, même quand ils sont produits en séries. Ils revêtent une dimension supplémentaire aux œuvres des musées : ils sont directement et concrètement UTILES ! On peut y manger, s’y reposer, y travailler, y dormir… génial non ?       Thibault avait déjà monté une startup et connaît bien l’écosystème du digital et de l’entrepreneuriat. C’est le voir travailler avec tant d’énergie et de courage sur son ancienne entreprise qui m’a donné envie de sortir de mon CDI tranquille et de vivre à mon tour cette aventure. Lors de notre rencontre, nous avons découvert notre passion commune pour le design. Nous sommes tous les deux incollables sur les modèles iconiques et sur les marques trendy. Nos soirées « posées » se passent devant les replay de la Maison France 5. Sur nos tables de nuit : ELLE Déco et IDEAT. (sur cette photo, un tabouret Pols Potten sur lequel j’avais flashé au Salon Maison et Objet 2016. Miracle : un jour un partenaire nous le confie à 80€ au lieu de 225€ ! Il nécessite 90 jours de travail artisanal car 12 couches de laque sont posées, séchées puis polies à la main).   L’idée Zeeloft nous est venue comme bien souvent d’une frustration. A force de voir tous ces meubles sublimes dans les magazines de déco et émission TV, nous avions forcément envie de nous procurer du mobilier de qualité. Sauf qu’à 27 ans, pas facile d’avoir le budget pour s’acheter ces merveilles au prix fort. Donc lorsque nous repérions une pièce ou une marque qui nous plaisait, nous nous mettions des alertes sur Le Bon Coin. Après des semaines de recherches, l’étagère Kann Design de nos rêves tombe : un modèle d’exposition proposé dans le sud. Génial. Mais quelle galère pour le paiement, organiser une livraison seule, s’assurer qu’il ne s’agit pas d’une copie etc… C’est là que nous avons eu l’idée de Zeeloft ! Quant à l’étagère, pour mettre en valeur sa structure de métal blanc, nous avons peint notre mur en bleu canard, une couleur scandinave très tendance cette année...   Ça, c’est la suspension Cinna de mes rêves. Elle se nomme « Parachute ». Mes collègues de la Fondation du patrimoine se sont cotisés dans toute la France pour me l’offrir quand j’ai quitté la Fondation pour Zeeloft. J’étais très émue. Nous avons choisi notre nouvel appartement exprès afin d’avoir la hauteur sous plafond suffisante pour l’accrocher ! Elle symbolise vraiment mon changement de vie et le début de notre aventure. Deux ans plus tard, Cinna est une référence que l’on met souvent en avant sur notre site car les créations de cette marque française et les promotions que nous offrons sur ces produits valent vraiment le coup. Je suis toujours aussi fan.   Mon auto-cadeau de Noël de l’année dernière : un centre de table en métal de notre tout premier partenaire : Matière Grise. Ils fabriquent tout à Lyon à la main et collaborent avec de jeunes designers français, comme Constance Guisset (l’auteur de la célèbre suspension Vertigo, qui part en 5min dès qu’elle arrive sur notre site…). J’adore particulièrement leur originalité et la palette de couleur immense qui est proposée pour chaque création. Derrière le centre de table, un chandelier et une coupe Kubus de By Lassen, une marque danoise que j’affectionne aussi beaucoup. Cette année, je crois que mon prochain auto-cadeau de Noël sera de jolies créations en céramique signées Petite Friture (l’éditeur frenchie dans le vent actuellement). Elles me font de l’œil depuis un moment… Nos tables basses Wind sont également signées Matière Grise. Je les avais repérées au salon Maison & Objet 2015. Quand on a commencé à travailler avec eux, j’ai littéralement sauté sur ces tables. Ce sont les prototypes qui meublaient le salon de la designer, Victoria Wilmotte !  Encore deux auto-cadeaux de nous à nous pour fêter deux étapes importantes du développement de Zeeloft. Le célèbre fauteuil Diamond de Harry Bertoia réédité par Knoll et le tapis Anémone de La Chance. Ces deux-là, on en rêvait bien avant Zeeloft alors quand nous les avons dénichés à moitié prix, on a craqué. Le tapis, en laine, semble onduler sur le sol. Il est aussi beau que doux. Je l’adore ! Là aussi, une réédition iconique : la célèbre Panton Chair de Vitra (ici dénichée à moitié prix). Nous l’avons associée à une lampe Birdie de Foscarini du même coloris. C’est une marque italienne de luminaires qui cartonne avec ses créations originales et innovantes.    Un dernier coup de cœur : l’applique Sorcier de La Chance. Elle s’inspire d’un masque vaudou. L’effet de la lumière diffusée vers le haut et vers le bas et qui filtre au travers des petits trous de métal nous plait beaucoup. La Chance est une jeune marque française canon que nous avons été très fiers d’ajouter à nos bons plans cette année. Pour jouer à fond avec le style tropical de l’applique, nous lui avons offert un bananier. Quand je l’ai acheté au printemps dernier, il faisait 50cm. Maintenant il va bientôt toucher le plafond et je me retrouve un peu débordée par cette folle croissance !    Je suis plutôt fière de ma couronne de Noël « DIY » cette année ! Les branches m’ont coûté 2€ au vendeur de sapins du marché St Quentin et je les ai fixées autour d’un porte manteau en métal auquel j’ai donné une forme ronde. Les astuces, les bons plans et la créativité font depuis toujours partie de ma vie. Un côté débrouille que l’on retrouve, il me semble, dans le quotidien de tous les entrepreneurs ! Joyeux Noël à tous !       <<  (re)découvrez l'ensemble de votre CALENDRIER DE L'AVENT ici  >>   Découvrez les entreprises des entrepreneurs ici...

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    • Le 19 décembre 2017

    Jonathan TREVIER (GE 13), ROBOBOX

      - 19 DECEMBRE - Jonathan TREVIER (GE 13) Fondateur de ROBOBOX Construisez vos robots en cliquant ici   "L’apprentissage de la robotique et de la programmation est une aventure passionnante qui permet de se rendre compte que le fonctionnement de toutes ces machines n’est pas si compliqué."   Passionné de robotique, Jonathan enchaîne les cours en ligne d’informatique et robotique en passant par le machine learning avant de lancer l’idée d’une box dédiée à la robotique, accessible dès les années collège avec son approche ludique et éducative.  Ce passionné nous en dit plus...   J’ai tout d’abord voulu créer une entreprise car j’avais le sentiment – quel que soit mon job - de ne jamais réaliser pleinement mon potentiel. J’étais aussi conscient que nous étions en plein dans la vague de l’entrepreneuriat permise par les évolutions technologiques, et que le moment était opportun pour prendre un risque. J’avais appris quelques rudiments de programmation, et je voulais m’intéresser au potentiel de l’intelligence artificielle. Je suis donc allé dans l’espace de coworking du Numa pendant un mois, à la recherche d’une idée de business. L’idée de Robobox m’est venue alors que j’aidais des personnes rencontrées au Numa à monter un projet de domotique. Je les conseillais sur le type de technologie à adopter (Arduino) et me suis alors dis qu’une initiation progressive à la programmation d’objets serait pas mal. J’ai aussi pensé qu’il serait intéressant de mettre en contact les capteurs et les moteurs en les glissant à l’intérieur de robots. L’impression 3D est alors apparu comme une évidence. Aujourd’hui, ce sont une quinzaine d’imprimantes 3D qui tournent jours et nuits au sein d’une usine connectée que nous avons conçue. Je me suis directement mis hors de ma zone de confort en lançant un projet sur une idée originale, dans un domaine auquel je ne connaissais rien. J’ai alors dû apprendre sur le tas la programmation d’objets connectés, la modélisation 3D, l’impression 3D, la conception de circuits imprimés, la programmation web, le commerce avec la Chine, etc. Après presque deux ans, Robobox a plusieurs milliers de clients et vend ses kits de programmation à travers le monde.       <<  (re)découvrez l'ensemble de votre CALENDRIER DE L'AVENT ici  >>     Découvrez les entreprises des entrepreneurs ici...  

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    • Le 18 décembre 2017

    Ramzi SAIDANI (GE 98), Sonic Solveig

      - 18 DECEMBRE - Ramzi SAIDANI (GE 98) Co-fondateur de Sonic Solveig Offrez-vous un air musical en cliquant ici   Ramzi est un passionné de la voix. Il suit des études de chant lyrique au conservatoire de Bobigny et de Tourcoing pour tenter de devenir chanteur professionnel. Tout cela en parallèle de sa vie professionnelle : près de 15 ans dans plusieurs sociétés de conseil à Paris et à l’étranger en tant que consultant en stratégie, marketing digital et innovation.   Ramzi ne sera pas chanteur mais la passion pour l’art lyrique est toujours là ! Un peu geek et féru de nouvelles technologies et d’innovation, j’ai eu envie de créer un blog dédié à l’impact des nouvelles technologies et du numérique sur la musique classique. Je ne chantais pas autant que je voulais mais au moins je pouvais assouvir ma passion pour la musique classique. Ramzi se lance alors un défi : remettre au goût du jour la musique classique ! Toute cette musique que j’aimais tant avait une image veillotte et élitiste et que pourtant le numérique pouvait offrir une vraie cure de jouvence. C’est ainsi qu’est né mon blog opera-digital.com. En créant ce blog, j’ai ainsi découvert que le monde passionnant des starts-up de la musique était en train de naître. Je suis entré en contact avec les femmes et les hommes qui le font.  A l’époque, dans un de mes anciens cabinets, je tentais de développer une offre de conseil visant le mode du spectacle vivant à traverser les enjeux de la transformation digital. Mais sans mauvais jeux de mots, c’était sourde oreille. Le secteur était jugé non stratégique car ne présentant pas suffisamment de perspectives financières.   Une rencontre décisive permet à Ramzi de réaliser son rêve... Un jour à l’incubateur de la Gaîté Lyrique à Paris, j’ai interviewé celle qui deviendra ma future associée, Géraldine ALIBERTI qui venait de créer Sonic Solveig. Nous partagions la même vision de ce que pouvait être une expérience renouvelée de la musique classique grâce au numérique. Quelques temps, plus tard, Géraldine ALIBERTI m’a dit qu’elle recherchait un associé co-fondateur. J’ai bien réfléchi. J’ai perçu le potentiel de ce projet entrepreneurial et j’ai quitté le monde du conseil un peu trop formaté pour me lancer dans la réalisation de ce potentiel. Je ne le regrette pas. Etre son propre patron et bénéficier d’une grande autonomie s’agissant des prises de décision et du management m’apporte beaucoup. Par ailleurs, en dépit de semaines de travail très chargées, l’entrepreneuriat apporte une plus grande flexibilité dans la gestion de son emploi du temps. Cela m’a permis de dégager des moments précieux le matin pour m’occuper de mon fils et participer à l’éducation primordiale des deux premières années ! Luxe que je n’aurais pas pu avoir si j’étais resté salarié.       <<  (re)découvrez l'ensemble de votre CALENDRIER DE L'AVENT ici  >>     Découvrez les entreprises des entrepreneurs ici...  

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    • Le 17 décembre 2017

    Julie ROBINNE (GE 05), l'Envers

      - 17 DECEMBRE - Julie ROBINNE (GE 05) Fondatrice de l'Envers Offrez-vous des vêtements éthiques en cliquant ici   Julie a toujours souhaité étudier et travailler à l’étranger. Ce fut le cas avec des échanges universitaires et des stages à Bergen, Barcelone, Madrid et Buenos Aires. Son début de carrière aura pourtant lieu à Paris, en marketing chez Habitat pendant 3 ans. Déjà l’envie de repartir : elle continue sa carrière en passant au siège à Londres. La suite, c’est Julie qui nous la raconte…   Au pays des tapas… Après 5 belles années à Londres, on met cap avec mon mari sur le Sud de l’Europe direction Madrid, olé. Malgré le soleil, les tapas et la douceur de vie quotidienne, le paysage économique espagnol est très morose et trouver un job se convertit vite en traversée du désert. J’en profite alors pour prendre du recul sur ma carrière, quitter le monde de la grande multinationale et me lancer en solo dans une activité en freelance où je suis en charge de la distribution commerciale de trois marques de mode françaises renommées.   1ers pas dans la mode… 1ères désillusions ! Cet univers créatif me plaît beaucoup... et m’horrifie quand je comprends le fonctionnement (et les dysfonctionnements) de cette industrie, qui est la 2ème plus polluante au monde après l’industrie pétrolière ! Impact désastreux en matière environnemental mais aussi sociale avec une omerta sur les conditions de production des ateliers et opacité sur la traçabilité des matériaux utilisés.   Une mode RSE ? Cette prise de conscience ajoutée à un héritage familial lié à l’industrie textile depuis de nombreuses générations, m’ont fait avancer sur la réflexion de lancer une marque de vêtement éthique, durable, traçable, en petites séries limitées et respectueuse de l’environnement et des artisans qui participent à sa confection. Tout comme aujourd´hui il nous paraît normal de connaître l’origine de nos aliments j’ai souhaité ouvrir le rideau et donner à connaître l’origine de nos pulls et gilets, montrer l’envers du décor, et faire la part belle à ces petites mains qui filent et tricotent pour nous.   Un défi XXL 2 ans déjà que l’Envers est né. Doucement je gagne en vitesse de croisière, auprès d’un public français et international, sensible à notre discours d’une mode lente, locale, et humaine. La route est longue, remplie de challenges, il faut être patient et résilient, mais je cherche et trouve toujours des réponses à chaque défi. L’accueil très positif de nos produits et une communauté de clients toujours plus grandissante me réconfortent sur mes choix et la direction à  suivre, sans dévier de ma philosophie d’origine : allier éthique et esthétique. Et c’est un véritable sens que je donne aussi à mon quotidien, en apportant un travail à des artisans en Espagne et en France, qui ont un véritable savoir-faire et qui peuvent continuer à filer et tricoter.   Une serial entrepreneuse… En parallèle de l’Envers, j’ai également ouvert le 1er “Coffice” de Madrid avec mon amie et associée Estelle Marie (GE 04). Un espace collaboratif et flexible qui répond à l’évolution du marché de travail. Nous sommes de plus en plus de “sans bureaux fixes”, des travailleurs nomades à la recherche d’espaces physiques et de rencontres pour travailler et networker. A la Piscine (nom de notre espace) nous proposons donc de ré-enchanter le quotidien du  travailleur indépendant. Une superbe aventure humaine, très énergivore, mais qui, au quotidien, nous permet de tisser du lien et de créer des opportunités entre entrepreneurs.       <<  (re)découvrez l'ensemble de votre CALENDRIER DE L'AVENT ici  >>     Découvrez les entreprises des entrepreneurs ici...  

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    • Le 16 décembre 2017

    Christopher LEMOINE (GE 06), La Grande Dinette

      - 16 DECEMBRE - Christopher LEMOINE (GE 06) Co-fondateur de La Grande Dinette Offrez à votre bébé de délicieux repas en cliquant ici   "Avoir une idée ne vaut rien, c’est l’exécution qui compte ! " Il y a 10 ans, Christopher avait déjà pensé demander à ses voisins de cuisiner des portions supplémentaires de leur dîner, pour ceux qui n’auraient pas le temps de se mettre derrière les fourneaux en revenant du travail. Il s’est arrêté à l’étape du powerpoint... Dix ans plus tard, après un passage dans la communication (en agence de publicité puis chez Michel Et Augustin), il se lance avec 2 amis jeunes parents, avec une nouvelle idée qu'il concrétise cette fois. Il nous raconte...   Pourquoi l’entrepreneuriat ? C’est vrai ça : il y a plein de belles entreprises en France, de toutes tailles, alors pourquoi en créer une autre, avec en plus un risque très élevé ? Parce que j’en avais absolument envie ! Ça me trottait dans la tête depuis des années, sans avoir le courage de vraiment avancer sur un projet en particulier. J’avais un doc avec plein d’idées brillantes, mais rien de plus de 10 mots sur chaque. Puis, en 4 ans aux côtés du duo Michel et Augustin, le courage est finalement apparu. J’ai démissionné pour monter ma boîte.   Pourquoi cette idée de La Grande Dinette ? Ce n’était pas du tout la raison de mon départ ! Et ce n’est d’ailleurs même pas mon idée. Mon copain Marc m’a envoyé un SMS à sa sortie d’un cours de préparation à la naissance, il était dépité : il avait passé une heure et demi à écouter sa voisine parler de ses problèmes intimes, au lieu de se préparer avec sa femme à leur parentalité à eux. On a lancé une série de vidéos courtes sur les sujets liés à la naissance : les différents types de maternité, c’est quoi une sage-femme, choisir sa préparation à la naissance… Jusqu’à ce qu’on s’intéresse à l’alimentation infantile (quand nos enfants ont grandi), et voici La Grande Dinette ! Donc c’est avant tout un besoin personnel : on s’est dit qu’on aurait au moins 3 clients, les co-fondateurs ! Et en avançant, on a retrouvé ce besoin chez d’autres parents.   Donc vous aviez une équipe d’experts en nutrition et en logistique  Pas du tout ! Mais on s’est entouré d'experts et, petit à petit, on est en train de le devenir. On a commencé par aller au marché BIO et parcourir Paris à vélo sous la grêle. Aujourd’hui, et c’est encore le tout début de l’aventure, nous avons des premiers clients heureux, nous traitons pas loin d’une centaine d’ingrédients, notre répertoire contient 150 recettes, nous livrons à Paris et dans les départements limitrophes.   Et maintenant ? Nous venons de lancer une nouvelle offre pour les parents pressés, voire débordés, à base d’ingrédients préparés. Ils ont été épluchés, lavés, découpés, et précuits à basse température : une technique idéale pour la conservation des arômes et vitamines, et qui offre de chouettes textures, bien loin des purées industrielles. Plus besoin de faire les éternelles courses d’appoint, de réfléchir à de nouveaux menus, ni d’apprendre par cœur les quantités de féculents et de matières grasses nécessaires à chaque repas pour chaque tranche d’âge. En 5 minutes chrono (même le jambon-coquillettes peut aller se rhabiller), le dîner est prêt !     <<  (re)découvrez l'ensemble de votre CALENDRIER DE L'AVENT ici  >>   Découvrez les entreprises des entrepreneurs ici...  

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    • Le 15 décembre 2017

    Max MOOCK (GE 16), KIPIC

      - 15 DECEMBRE - Max MOOCK (GE 16) Fondateur de KIPIC Offrez-vous le souvenir de la naissance de votre bébé en cliquant ici   "Je suis tombé dans la marmite quand j'étais tout petit ! " Max, en fondant une start-up accélérée dans l’incubateur du groupe M6, permet aux parents de réaliser des albums photos personnalisés pour enfants très simplement avec des informations ludiques telles que la répartition du prénom de son enfant en France ou même les musiques passant à la radio le jour de sa naissance.   Avez-vous toujours eu une envie de créer votre entreprise ? Venant d’une famille d’entrepreneurs, j’ai depuis toujours envisagé de me lancer dans un projet de création d’entreprise. Je ne savais pas si j’allais réellement le faire, mais j’ai toujours eu cette idée dans un coin de ma tête. Le fait de côtoyer quotidiennement des entrepreneurs m’a permis de désacraliser la chose, d’être conscient de la complexité de la démarche mais aussi de comprendre l’épanouissement que cela pouvait procurer.   Quel rôle a joué votre formation dans votre décision ? Mon année de césure à Audencia a été déterminante dans ma décision de me lancer dans l’aventure entrepreneuriale. Mon premier stage dans un fonds de Venture Capital m’a permis de découvrir l’écosystème des start-ups et d’échanger avec de nombreux entrepreneurs. Rien de mieux que de discuter avec des créateurs d’entreprises pour ne penser qu’à une chose : entreprendre. J’ai aussi pu découvrir de l’intérieur le fonctionnement d’une petite entreprise dans mon second stage effectué dans une start-up. J’y ai découvert des problématiques nouvelles pour moi : comment lever des fonds, gérer sa croissance ou manager une équipe.  C’est véritablement cette année de césure qui m’a conforté dans ma volonté de me lancer dans un projet entrepreneurial.   À quel moment avez-vous décidé de vous lancer ?  Après avoir terminé mon cursus à Audencia, j’ai souhaité réaliser un album photo pour immortaliser une fête de famille. J’ai passé des heures devant mon écran à vouloir réaliser un album photo sur différents sites sans jamais être satisfait du résultat. Je me suis rendu compte que je n’étais pas le seul à faire ce constat : réaliser un album photo en ligne demande des heures de travail pour un résultat le plus souvent décevant. Pourquoi ne pas alors utiliser les nouvelles technologies afin de simplifier la démarche ? Je passe alors des après-midis dans des parcs à échanger avec de potentielles clients afin de comprendre leurs besoins, vérifier mes hypothèses et tester une première maquette du site internet.  Quelques mois plus tard la première version du site est en ligne et permet à Kipic de réaliser rapidement ses premières ventes. La start-up est alors rapidement sélectionnée par Paris&Co et bénéficie d’une subvention de la BPI. L'entreprise est lancée.   Des conseils pour un étudiant à Audencia souhaitant se lancer ? Je pense qu’il est important de profiter de ses études pour tester des choses, avoir des petits projets annexes. Apprendre à coder et développer des petits sites peut être par exemple très formateur. L’essentiel est de rester curieux et de faire des rencontres. N’hésitez pas à aller à des évènements « start-up ». C’est le meilleur moyen de découvrir l’entrepreneuriat. Si vous avez déjà une idée, parlez en autour de vous et testez-la rapidement. N’hésitez pas à me contacter si vous souhaitez échanger avec moi [NDRL : via sa page du Noël des entrepreneurs, en cliquant sur son nom]     <<  (re)découvrez l'ensemble de votre CALENDRIER DE L'AVENT ici  >>   Découvrez les entreprises des entrepreneurs ici...  

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    • Le 15 décembre 2017

    N'oubliez pas d'ouvrir vos cases du calendrier de l'Avent !

    Les ENTREPRENEURS vous offrent leur CALENDRIER de l'avent ! Découvrez chaque jour un portrait unique. (en cliquant sur les photos) Laissez-vous surprendre par le format. Et surtout, n'oubliez pas vos cadeaux de Noël ici ! 24 décembre "Faire de Paris la capitale mondiale des start-up" Fondateur de Free                                                 JOYEUX NOËL A TOUS !   Le calendrier de l'avent vous est présenté par :  

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    • Le 14 décembre 2017

    Isabelle BLISSON SEGOND (GE 96), Carpeto

      - 14 DECEMBRE - Isabelle BLISSON SEGOND (GE 96) Co-fondatrice de CARPETO Offrez à vos enfants des tapis de jeux en cliquant ici   De l'automobile aux tapis de jeu : itinéraire d'une maman comblée !   Fraichement sortie d'Audencia en 1996 avec l'envie d'avoir une expérience professionnelle à l'étranger, j'ai mis le cap sur l'Allemagne puis le Royaume Uni, chez Valeo, en tant que Chef de Produit Embrayages. 2 ans plus tard, la CCI du Havre m'ouvre ses portes pour prendre en charge la communication de l'aéroport et des ponts de Normandie et Tancarville.   Les années passant, 4 petites têtes plus ou moins blondes ont vu le jour et j'ai découvert de nouvelles occupations : jouer aux playmobils, aux légos, construire des tours en Kapla, passer des heures à construire puis à déconstruire des univers ... et me voilà en Bretagne, aux pays des korrigans ! Après une expérience de 3 années dans l'enseignement, je me suis lancée dans l'aventure Carpeto, avec le désir de proposer aux enfants des décors de jeux, leur permettant d'inventer des histoires pour leurs figurines préférées (legos, playmos, ...), et de stimuler leur imagination ! Avec des designs esthétiques et épurés, une matière novatrice, nos tapis de jeu ont très vite rencontré un vif succès auprès des enfants et de leurs parents, ainsi que des professionnels de l'enfance (écoles, crèches, cabinets médicaux).   De mon côté, je découvre les joies de l'entreprenariat et ses challenges au quotidien dans une ambiance "start-up"!       <<  (re)découvrez l'ensemble de votre CALENDRIER DE L'AVENT ici  >>     Découvrez les entreprises des entrepreneurs ici...  

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    • Le 13 décembre 2017

    Pierre VIMOND (GE 13), Goûte !

      - 13 DECEMBRE - Pierre VIMOND (GE 13) Fondateur de Goûte ! Offrez-vous l'histoire de vos fromages en cliquant ici   "J’ai « atterri » dans le fromage parce que je cherchais du contact et du concret !" Pierre a suivi un chemin qui n'était pas tout tracé, guidé par son goût des bonnes choses. À travers des ateliers de dégustation, il raconte avec passion l'histoire de vos fromages. Mais avant de vous délecter de ces délicieux moments, il vous donne 6 conseils pour une reconversion épanouie :   Sois heureux, pas le meilleur ! Il y a 10 ans, je suis entré en prépa et le directeur du lycée a dit à ma classe qu’on faisait partie de l’élite de la nation. Je n’avais pas la moindre idée de ce que j’allais faire de ma vie, et encore moins comment j’allais bien pouvoir mériter ce qualificatif. J’espère qu’on ne dit plus ça aux étudiants. Être le premier ou l’élite peut certainement booster la satisfaction sociale, mais pas vraiment le bien-être personnel.   Identifie ce qui rend ta journée agréable Dix ans ont passé et m’ont permis d’apprendre que j’avais mieux à faire : trouver une activité qui rende mon quotidien désirable. J’ai été diplômé d’Audencia en juillet 2013 et j’ai trouvé du travail dans une agence de com’ web. Il m’a fallu un an pour accepter que je n’étais pas un intellectuel, et que je ne réussirais pas à m’épanouir en consacrant mon temps à chercher des solutions à des problématiques abstraites. Je me suis tourné vers le commerce du fromage, j’avais fait ça un été quelques années plus tôt et ça m’avait plu. J’aimais beaucoup en manger, c’était on ne peut plus concret, et puis ça me permettait d’expliquer facilement à ma grand-mère ce que je faisais de mes journées.   Teste sur le terrain Pendant des mois, j’ai fait de la vente dans une boutique parisienne – la fromagerie Quatrehomme dans le 7è arrondissement – sans aucune forme de responsabilités, et ça m’a fait énormément de bien. La notion de stress au travail a disparu de ma vie. J’ai souri à des centaines d’inconnus qui voulaient un petit pot de crème, un camembert fait à cœur mais pas fort, ou juste un œuf, et ils ou elles me souriaient en retour. Je me suis cultivé sur le sujet, qu’on prend rarement le temps d’explorer quand on a une vie bien occupée.   Rencontre des passionnés J’ai rencontré beaucoup de producteurs en voyageant partout en France, c’était passionnant, souvent touchant, parce que ces gens font vivre notre patrimoine culturel de manière humble, sans demander grand-chose en retour. Et je me suis construit une culture et une sensibilité autour de thématiques brûlantes à côté desquelles je serais sûrement passé sans m’arrêter il y a quelques années : l’industrialisation de nos savoir-faire, la standardisation du goût, le respect des sols, de l’environnement et des animaux, la répartition des revenus sur la chaîne de valeur alimentaire. Envisage la reconversion comme un double-diplôme J’ai pris un peu de galon au sein de ma structure, coordonnant depuis un an l’activité de la boutique. Répartir les tâches, proposer un discours sur le produit, faire en sorte que notre espace et notre accueil soient impeccables pour les clients. Et gérer l’humain. C’est un laboratoire de management fantastique, aux profils variés en âge, expérience et ambition, avec ses micro-conflits propres à un travail prenant physiquement, et psychologiquement : il faut accepter d’avoir deux patrons, le vrai et le client, juge permanent de la qualité de notre travail.   Suis tes envies Aujourd’hui, j’ai envie de partager ce que j’ai appris et ce qui me fait vibrer par la dégustation. Expliquer le goût et comment trouver les bons fromages, les associer avec le vin, rendre hommage à ceux qui ont mis leur énergie dans le produit. Parler de tout ça demande du temps qu’on n’a pas souvent en boutique. D’où l’idée, à travers ma start-up ‘Goûte’, d’organiser des dégustations. Des thèmes sont possibles et il y en a pour tous les goûts : fromage & vin ou bière, focus régionaux, dégustation à l’aveugle, créations fromagères… Groupe par groupe autour d’un bon plateau, j’espère servir au mieux mes convictions, en faisant découvrir les bonnes choses qui ont un sens et une histoire.     <<  (re)découvrez l'ensemble de votre CALENDRIER DE L'AVENT ici  >>     Découvrez les entreprises des entrepreneurs ici...  

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    • Le 12 décembre 2017

    Pauline DUMAIL (GE 01), Feel By Smell

      - 12 DECEMBRE - Pauline DUMAIL (GE 01) Auteur du roman "La vie est un parfum, respirez-la !" Offrez-vous l'histoire d'une odeur en cliquant ici   "Après Audencia et quelques années passées dans des grandes entreprises, je me suis réveillée un matin avec la sensation d'être emprisonnée dans des cases qui ne me ressemblaient pas." Pauline décide alors de prendre sa vie en main. Tout déconstruire pour reconstruire ses propres cases, en écoutant son cœur et son intuition. Elle se met à écrire un roman original, se déroulant de 1980 à 6015, autour de 4 parfums incarnés par 4 personnages. Spécialiste en aromathérapie, olfactologie, parfums, fleurs de Bach, Pauline nous y entraîne dans un voyage initiatique, une sorte de socio-écolo-psycho fiction.   Racontez-nous cette reconstruction… Cela n'a pas toujours été facile. Beaucoup de doutes, de moments de galères financières, la sensation à plusieurs reprises d'avancer le pied dans un précipice, et à chaque fois, de découvrir, avec émerveillement, qu'une poutre invisible était là pour m'accueillir, mais qu'elle ne devenait visible qu'à partir du moment où j'avais fait le pas.   Depuis combien de temps écrivez-vous ? Depuis que je sais écrire ! Je me souviens d'un cadeau qu'on m'a fait pour mes 8 ans, un journal intime. Puis des cahiers que j'ai remplis, avec toujours la date à chaque billet, et, parfois d'une page à l'autre, des écarts de plusieurs années, en avant, en arrière… parfois j'écrivais moi-même des choses, parfois je notais certains passages de mes lectures qui m'avaient bouleversée.   Comment vous est venue l'idée d'écrire un roman ? Il y a une bonne dizaine d'année, c'était un matin de juillet à la chaleur torride… j'ai fait une rencontre dans le métro. Une rencontre très… olfactive. Et j'ai écrit cette rencontre, puis j'ai envoyé le résultat à mes proches. Si j'avais su où tout cela allait me mener…  Ce que j'ai écrit à ce moment-là est… la première scène du roman. Quelques années plus tard, alors que j'étais en pleine 'déconstruction", j'ai repris cette page d'écriture, et j'ai commencé à dérouler le fil, à construire une histoire. Mais je n'y connaissais rien en parfums, j'avais besoin de matière. Je me suis donc dirigée vers l'aromathérapie, puis les fleurs de bach, enfin, vers l'olfactologie. Là, j'avais la sensation qu'enfin, je trouvais le lien, je découvrais le pouvoir vibratoire des odeurs. Parfois, c'est l'envie d'écrire qui me faisait prendre certaines directions, et parfois, c'est l'apprentissage et l'expérience qui me donnaient la matière pour écrire.   Vous êtes-vous inspirée de personnages, lieux ou faits de la vie réelle pour l'écrire ? Aucun personnage ne correspond totalement à une personne de la réalité, et, la première matière première d'un écrivain étant lui-même, il y a un peu de moi dans chacun. De nombreuses recherches sur différents sujets comme la permaculture, la biodiversité, les plantes à parfums, la place du féminin dans notre monde, les systèmes de pouvoir, les inégalités, l'éducation, le symbolisme, la physique quantique, m'ont amenée à faire de belles rencontres qui ont nourri ma plume. Toutes ces personnes pour lesquelles je ressens une infinie gratitude sont citées à la fin du livre.   Que tenez-vous à faire passer dans votre roman ? Ce que je voudrais faire passer en une phrase ? Hum…. la vie est un parfum… respirez-la ! lol.  Il y a deux dimensions importantes pour moi qui me tiennent à coeur dans la vie, et que j'espère, je fais passer dans mon roman :  1) la sphère individuelle, la reconnexion à soi. Nous vivons dans une société très mentalisée, et sommes parfois, souvent, coupés de notre corps et de nos émotions. On peut avoir identifier des schémas, des causes de nos mal-êtres, mais si on ne descend pas dans le corps, il n'y aura pas de guérison possible. L'émotionnel et le corps, c'est l'instant présent, et c'est ce qu'il y a de plus difficile et… c'est magnifique.  2) la sphère collective et écologique, et les systèmes dans lesquels nous vivons qui parfois me laissent perplexes dans la déshumanisation et la désertification à laquelle ils aboutissent. Mais étant une incorrigible optimiste, je veux croire en l'être humain et en une prise de conscience collective quant à notre avenir et à notre pérennité, qui dépendent de notre capacité à sortir des égos matérialistes et à co-créer le monde que nous voulons laisser à nos enfants.   Avez-vous un rituel d'écriture, un lieu propice à cela ? Pas vraiment de rituel d'écriture, mais deux manières différentes de procéder :  - la manière rationnelle, qui vient faire la synthèse de mes recherches et connaissances, et qui nécessite d'abord une digestion, puis un environnement calme où les mots prennent forme dans un raisonnement construit.  - la manière émotionnelle, en mode "feu d'artifice", où les mots jaillissent, quelque soit l'endroit et l'environnement. Quand c'est là, j'arrête tout, je me mets derrière mon écran, il peut y avoir un brouhaha monumental autour de moi, cela ne change rien. je tape frénétiquement sur mon clavier, un sourire béat sur les lèvres, et rien ne peut me stopper. c'est un peu comme si la fée clochette était au dessus de mon épaule et me balançait de sa poudre magique. Ce sont des moments de grâce.  Dans tous les cas, ce ne sont pas des moments qui se programment.   Avez-vous l'intention d'écrire d'autres romans ?  Ouiiiiii. Je suis fascinée et me sens appelée par les civilisations mayas aztèques et incas. Si des personnes passionnées et aguerries sur ces sujets lisent ces lignes, j'aimerais beaucoup qu'elles se manifestent !       <<  (re)découvrez l'ensemble de votre CALENDRIER DE L'AVENT ici  >>     Découvrez les entreprises des entrepreneurs ici...  

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    • Le 11 décembre 2017

    Early Christmas visitor for alumni in Tokyo!

    On 9th December, Audencia Alumni in Japan got together at the Oyako Cafe Hokkuru in Asagaya for their traditional Christmas party. Santa began his rounds early and visited the gathering of alumni with gifts for children and adults alike. Audencia t-shirts and boxes of LU biscuits “made in Nantes” topped the list. Thank you everyone for coming all the way to Asagaya to enjoy a very nice Christmas party!

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    • Le 11 décembre 2017

    David VALLET (GE 95), Domaine de Valmengaux

      - 11 DECEMBRE - David VALLET (GE 95) Fondateur de Domaine de Valmengaux ! Offrez-vous des vins bios d'exception  en cliquant ici   "Comment donner du sens à mon travail ? En produisant les vins que j’aime boire et partager avec mes proches ! " Pour illustrer ce changement de vie, David nous présente son double portrait chinois : celui du salarié pendant près de 20 ans et celui du vigneron depuis cette année. "Si j'avais été [le salarié] / Si j'étais [l'entrepreneur]...   UN ANIMAL [le salarié] ...j'aurais été du jeune loup au dinausaure ! J’ai démarré dans la vie professionnelle avec l’insouciance et l’ambition du débutant. Après des débuts en contrôle de gestion puis en consulting ERP, j’ai développé mes responsabilités au sein de projets informatiques. Je n’ai pas vu passer les 10 premières années, sans me poser de questions. Les 10 suivantes m’ont vu revenir vers les problématiques budgétaires / contrôle de gestion. Avec, de plus en plus, le sentiment d’un déséquilibre entre le temps passé à travailler et la satisfaction que j’en retirais. Malgré un dernier poste stimulant, j’ai commencé à me sentir en voie de … « dinosaurisation » ! [l'entrepreneur] ...je serais un cheval de trait ! Celui qui travaillera mes vignes, un jour, peut-être ? D’un naturel placide, il trace son sillon à son rythme, sans en dévier, les pieds dans la terre.   UN ELEMENT [le salarié] ...j'aurais été l'air ! Comme celui brassé durant ces années à argumenter, challenger projets et budgets. [l'entrepreneur] ...je serais les 4 à la fois ! - La terre, mère nourricière, que j’arpente à longueur d’année dans mes vignes ; - L’eau et le feu (soleil) dont la vigne a besoin pour se développer et sous lesquels je travaille ; - L’air, avec lequel il faut jouer durant les fermentations et l’élevage du vin, celui que je respire dans mes vignes, plus sain (bio oblige) qu’à Paris.   UN OBJET [le salarié] ...j'aurais été un ordinateur portable !  Extension naturelle de mes mains et outil de travail quasi-exclusif à cette époque. [l'entrepreneur] ...je serais un sécateur électrique ! Nouvelle prothèse de ma main droite qui repousse chaque année de janvier à mars.   UNE PHRASE [le salarié] ...j'aurais été « La confiance n’exclut pas le contrôle » (Bernard MADOFF) !  [l'entrepreneur] ...je serais « Je préfère le vin d’ici que l’eau de-là » (Pierre DAC)   UN ADVERBE [le salarié] ...j'aurais été 'Laborieusement' !  [l'entrepreneur] ...je serais 'Humblement' !   Joyeuses fêtes… agrémentées de Valmengaux !   <<  (re)découvrez l'ensemble de votre CALENDRIER DE L'AVENT ici  >>     Découvrez les entreprises des entrepreneurs ici...  

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    • Le 10 décembre 2017

    Anne-Sophie VASSEUR (GE 04), LVB - PASSTIME NANTES

      - 10 DECEMBRE - Anne-Sophie VASSEUR (GE 04) Co-fondatrice de LVB - PASSTIME NANTES ! Offrez-vous des réductions exclusives en cliquant ici   Auditrice financière pendant 12 ans, Anne-Sophie s’est lancée dans l’aventure entrepreneuriale à la suite d’un bilan de compétence. Vous pensiez que l’envie de devenir entrepreneur était innée ? Pas toujours visiblement…   Se lancer… une évidence ? Non, pas vraiment au début. Pendant ma période d’audit, j’ai suivi un programme organisé par l’association Avarap, que j’avais connue par le biais d’Audencia. Je la recommande d’ailleurs dès que je le peux. J’ai passé un soir par semaine pendant 6 mois à travailler, en groupe, sur mes compétences et mes aspirations pour l’avenir. Parler librement de soi et de son boulot à d’autres professionnels qui se posent les mêmes questions, m’a permis de prendre du recul et de réaliser qu’en fait, je ne me sentais pas trop mal dans mon travail. Et puis le cabinet dans lequel j’étais s’est structuré davantage, je suis devenue maman, j’ai rénové une deuxième maison, bref, j’ai mis entre parenthèses mes réflexions sur la suite de ma carrière.   Plus d’entrepreneuriat alors ? C’est venu un peu plus tard, courant 2016. J’ai réalisé, ‘une fois de plus’, une mission complexe dans un calendrier serré. Ce matin-là, j’ai fermé la porte de mon bureau et j’ai répété ‘j’ai pas envie, j’ai pas envie, j’ai pas envie’. Et je l’ai fait. Plutôt bien semble-t-il… Le jour même, une opportunité de reconversion de créer le Passtime de Nantes vient à moi et je m’autorise à me dire : ‘pourquoi pas moi ? ça pourrait me plaire’. Eh oui, si je suis capable de bien faire quelque chose que je n’ai pas envie de faire, finalement ça ouvre tout un champ des possibles…   Les 3 choses essentielles à retenir de ces années ? 1- L’erreur n’est pas très importante : c’est la gestion de l’erreur, c’est assumer, c’est chercher les solutions qui importent. On peut sortir grandi d’avoir commis une belle boulette. 2- Le collectif prime sur l’individuel. 3- C’est quand même mieux de bosser dans la bonne humeur ! Aujourd’hui, je suis toujours en phase de lancement, l’activité n’est pas encore pérenne, mais je suis convaincue que le jeu en vaut la chandelle.   Des rencontres ? Ô combien ! Mon associée Isabelle : notre complémentarité présumée se confirme chaque jour. Armand, le responsable du Passtime de Quimper : sur le papier, nous n’avons pas grand-chose en commun et pourtant c’est un précieux allié dans cette aventure. On s’appelle 2 fois par jour pour partager nos stratégies, nos doutes, nos victoires.  Roger, un client chauffeur routier : il lit 6 à 7 livres en même temps (un différent par jour) : respect !   L’objet qui vous suit partout ? Mon sac à dos que ce soit en audit ou pour Passtime.       <<  (re)découvrez l'ensemble de votre CALENDRIER DE L'AVENT ici  >>     Découvrez les entreprises des entrepreneurs ici...  

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