Early Christmas visitor for alumni in Tokyo!
- Keep In Touch
- Le 11 décembre 2017
Santa began his rounds early and visited the gathering of alumni with gifts for children and adults alike.
Audencia t-shirts and boxes of LU biscuits “made in Nantes” topped the list.
Thank you everyone for coming all the way to Asagaya to enjoy a very nice Christmas party!
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David VALLET (GE 95), Domaine de Valmengaux
- 11 DECEMBRE - David VALLET (GE 95) Fondateur de Domaine de Valmengaux ! Offrez-vous des vins bios d'exception en cliquant ici "Comment donner du sens à mon travail ? En produisant les vins que j’aime boire et partager avec mes proches ! " Pour illustrer ce changement de vie, David nous présente son double portrait chinois : celui du salarié pendant près de 20 ans et celui du vigneron depuis cette année. "Si j'avais été [le salarié] / Si j'étais [l'entrepreneur]... UN ANIMAL [le salarié] ...j'aurais été du jeune loup au dinausaure ! J’ai démarré dans la vie professionnelle avec l’insouciance et l’ambition du débutant. Après des débuts en contrôle de gestion puis en consulting ERP, j’ai développé mes responsabilités au sein de projets informatiques. Je n’ai pas vu passer les 10 premières années, sans me poser de questions. Les 10 suivantes m’ont vu revenir vers les problématiques budgétaires / contrôle de gestion. Avec, de plus en plus, le sentiment d’un déséquilibre entre le temps passé à travailler et la satisfaction que j’en retirais. Malgré un dernier poste stimulant, j’ai commencé à me sentir en voie de … « dinosaurisation » ! [l'entrepreneur] ...je serais un cheval de trait ! Celui qui travaillera mes vignes, un jour, peut-être ? D’un naturel placide, il trace son sillon à son rythme, sans en dévier, les pieds dans la terre. UN ELEMENT [le salarié] ...j'aurais été l'air ! Comme celui brassé durant ces années à argumenter, challenger projets et budgets. [l'entrepreneur] ...je serais les 4 à la fois ! - La terre, mère nourricière, que j’arpente à longueur d’année dans mes vignes ; - L’eau et le feu (soleil) dont la vigne a besoin pour se développer et sous lesquels je travaille ; - L’air, avec lequel il faut jouer durant les fermentations et l’élevage du vin, celui que je respire dans mes vignes, plus sain (bio oblige) qu’à Paris. UN OBJET [le salarié] ...j'aurais été un ordinateur portable ! Extension naturelle de mes mains et outil de travail quasi-exclusif à cette époque. [l'entrepreneur] ...je serais un sécateur électrique ! Nouvelle prothèse de ma main droite qui repousse chaque année de janvier à mars. UNE PHRASE [le salarié] ...j'aurais été « La confiance n’exclut pas le contrôle » (Bernard MADOFF) ! [l'entrepreneur] ...je serais « Je préfère le vin d’ici que l’eau de-là » (Pierre DAC) UN ADVERBE [le salarié] ...j'aurais été 'Laborieusement' ! [l'entrepreneur] ...je serais 'Humblement' ! Joyeuses fêtes… agrémentées de Valmengaux ! << (re)découvrez l'ensemble de votre CALENDRIER DE L'AVENT ici >> Découvrez les entreprises des entrepreneurs ici...
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- Le 11 déc. 2017
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Beaucoup de doutes, de moments de galères financières, la sensation à plusieurs reprises d'avancer le pied dans un précipice, et à chaque fois, de découvrir, avec émerveillement, qu'une poutre invisible était là pour m'accueillir, mais qu'elle ne devenait visible qu'à partir du moment où j'avais fait le pas. Depuis combien de temps écrivez-vous ? Depuis que je sais écrire ! Je me souviens d'un cadeau qu'on m'a fait pour mes 8 ans, un journal intime. Puis des cahiers que j'ai remplis, avec toujours la date à chaque billet, et, parfois d'une page à l'autre, des écarts de plusieurs années, en avant, en arrière… parfois j'écrivais moi-même des choses, parfois je notais certains passages de mes lectures qui m'avaient bouleversée. Comment vous est venue l'idée d'écrire un roman ? Il y a une bonne dizaine d'année, c'était un matin de juillet à la chaleur torride… j'ai fait une rencontre dans le métro. Une rencontre très… olfactive. Et j'ai écrit cette rencontre, puis j'ai envoyé le résultat à mes proches. Si j'avais su où tout cela allait me mener… Ce que j'ai écrit à ce moment-là est… la première scène du roman. Quelques années plus tard, alors que j'étais en pleine 'déconstruction", j'ai repris cette page d'écriture, et j'ai commencé à dérouler le fil, à construire une histoire. Mais je n'y connaissais rien en parfums, j'avais besoin de matière. Je me suis donc dirigée vers l'aromathérapie, puis les fleurs de bach, enfin, vers l'olfactologie. Là, j'avais la sensation qu'enfin, je trouvais le lien, je découvrais le pouvoir vibratoire des odeurs. Parfois, c'est l'envie d'écrire qui me faisait prendre certaines directions, et parfois, c'est l'apprentissage et l'expérience qui me donnaient la matière pour écrire. Vous êtes-vous inspirée de personnages, lieux ou faits de la vie réelle pour l'écrire ? Aucun personnage ne correspond totalement à une personne de la réalité, et, la première matière première d'un écrivain étant lui-même, il y a un peu de moi dans chacun. De nombreuses recherches sur différents sujets comme la permaculture, la biodiversité, les plantes à parfums, la place du féminin dans notre monde, les systèmes de pouvoir, les inégalités, l'éducation, le symbolisme, la physique quantique, m'ont amenée à faire de belles rencontres qui ont nourri ma plume. Toutes ces personnes pour lesquelles je ressens une infinie gratitude sont citées à la fin du livre. Que tenez-vous à faire passer dans votre roman ? Ce que je voudrais faire passer en une phrase ? Hum…. la vie est un parfum… respirez-la ! lol. Il y a deux dimensions importantes pour moi qui me tiennent à coeur dans la vie, et que j'espère, je fais passer dans mon roman : 1) la sphère individuelle, la reconnexion à soi. Nous vivons dans une société très mentalisée, et sommes parfois, souvent, coupés de notre corps et de nos émotions. On peut avoir identifier des schémas, des causes de nos mal-êtres, mais si on ne descend pas dans le corps, il n'y aura pas de guérison possible. L'émotionnel et le corps, c'est l'instant présent, et c'est ce qu'il y a de plus difficile et… c'est magnifique. 2) la sphère collective et écologique, et les systèmes dans lesquels nous vivons qui parfois me laissent perplexes dans la déshumanisation et la désertification à laquelle ils aboutissent. Mais étant une incorrigible optimiste, je veux croire en l'être humain et en une prise de conscience collective quant à notre avenir et à notre pérennité, qui dépendent de notre capacité à sortir des égos matérialistes et à co-créer le monde que nous voulons laisser à nos enfants. Avez-vous un rituel d'écriture, un lieu propice à cela ? Pas vraiment de rituel d'écriture, mais deux manières différentes de procéder : - la manière rationnelle, qui vient faire la synthèse de mes recherches et connaissances, et qui nécessite d'abord une digestion, puis un environnement calme où les mots prennent forme dans un raisonnement construit. - la manière émotionnelle, en mode "feu d'artifice", où les mots jaillissent, quelque soit l'endroit et l'environnement. Quand c'est là, j'arrête tout, je me mets derrière mon écran, il peut y avoir un brouhaha monumental autour de moi, cela ne change rien. je tape frénétiquement sur mon clavier, un sourire béat sur les lèvres, et rien ne peut me stopper. c'est un peu comme si la fée clochette était au dessus de mon épaule et me balançait de sa poudre magique. Ce sont des moments de grâce. Dans tous les cas, ce ne sont pas des moments qui se programment. Avez-vous l'intention d'écrire d'autres romans ? Ouiiiiii. Je suis fascinée et me sens appelée par les civilisations mayas aztèques et incas. Si des personnes passionnées et aguerries sur ces sujets lisent ces lignes, j'aimerais beaucoup qu'elles se manifestent ! << (re)découvrez l'ensemble de votre CALENDRIER DE L'AVENT ici >> Découvrez les entreprises des entrepreneurs ici...
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Beaucoup de doutes, de moments de galères financières, la sensation à plusieurs reprises d'avancer le pied dans un précipice, et à chaque fois, de découvrir, avec émerveillement, qu'une poutre invisible était là pour m'accueillir, mais qu'elle ne devenait visible qu'à partir du moment où j'avais fait le pas. Depuis combien de temps écrivez-vous ? Depuis que je sais écrire ! Je me souviens d'un cadeau qu'on m'a fait pour mes 8 ans, un journal intime. Puis des cahiers que j'ai remplis, avec toujours la date à chaque billet, et, parfois d'une page à l'autre, des écarts de plusieurs années, en avant, en arrière… parfois j'écrivais moi-même des choses, parfois je notais certains passages de mes lectures qui m'avaient bouleversée. Comment vous est venue l'idée d'écrire un roman ? Il y a une bonne dizaine d'année, c'était un matin de juillet à la chaleur torride… j'ai fait une rencontre dans le métro. Une rencontre très… olfactive. Et j'ai écrit cette rencontre, puis j'ai envoyé le résultat à mes proches. Si j'avais su où tout cela allait me mener… Ce que j'ai écrit à ce moment-là est… la première scène du roman. Quelques années plus tard, alors que j'étais en pleine 'déconstruction", j'ai repris cette page d'écriture, et j'ai commencé à dérouler le fil, à construire une histoire. Mais je n'y connaissais rien en parfums, j'avais besoin de matière. Je me suis donc dirigée vers l'aromathérapie, puis les fleurs de bach, enfin, vers l'olfactologie. Là, j'avais la sensation qu'enfin, je trouvais le lien, je découvrais le pouvoir vibratoire des odeurs. Parfois, c'est l'envie d'écrire qui me faisait prendre certaines directions, et parfois, c'est l'apprentissage et l'expérience qui me donnaient la matière pour écrire. Vous êtes-vous inspirée de personnages, lieux ou faits de la vie réelle pour l'écrire ? 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Pas vraiment de rituel d'écriture, mais deux manières différentes de procéder : - la manière rationnelle, qui vient faire la synthèse de mes recherches et connaissances, et qui nécessite d'abord une digestion, puis un environnement calme où les mots prennent forme dans un raisonnement construit. - la manière émotionnelle, en mode "feu d'artifice", où les mots jaillissent, quelque soit l'endroit et l'environnement. Quand c'est là, j'arrête tout, je me mets derrière mon écran, il peut y avoir un brouhaha monumental autour de moi, cela ne change rien. je tape frénétiquement sur mon clavier, un sourire béat sur les lèvres, et rien ne peut me stopper. c'est un peu comme si la fée clochette était au dessus de mon épaule et me balançait de sa poudre magique. Ce sont des moments de grâce. Dans tous les cas, ce ne sont pas des moments qui se programment. Avez-vous l'intention d'écrire d'autres romans ? Ouiiiiii. Je suis fascinée et me sens appelée par les civilisations mayas aztèques et incas. 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