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    • Le 4 octobre 2021

    The search for jurors for the 2022 international admissions campaign has begun!

    With only one application via Join a School in France, potential students can apply for the Master in Management (Grande Ecole) programmes offered by five prestigious business schools including Audencia. Join the network of alumni jurors Four recruitment rounds (October, January, March and May) will be organised for the September 2022 intake and the search has begun for alumni to be part of the admissions process. Last year, alumni in 35 cities across the globe took part in recruiting the next generation of leaders. If you are an alum from Audencia and interested in becoming a juror (particularly if you are based in Lima, Manila or San Salvador) then please send a message to joinaschoolinfrance@cci-paris-idf.fr Join a School in France coordinates international admissions for Audencia, emlyon, SKEMA, ESCP and HEC Paris

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    • Le 29 septembre 2021

    #Portrait - Chloé Dasse (GE 13 ing-man) - Art & Entreprise

     J’ai toujours été passionnée par la culture, l’histoire et l’art  Un océan... c’est ainsi que Chloé Dasse (GE 13) définit l’art. Infini, surprenant, insaisissable… tout comme son parcours si riche d'audace, de nouvelles expériences. Ingénieure-manager, Chloé sort régulièrement des cases, que ce soit par le voyage, les milieux qu’elle fréquente, ses activités, pour ensuite intégrer ces nouveautés, ces points de vue différents, pour une vision sans cesse renouvelée. Structurée et organisée comme une ingénieure, décalée comme une commerciale ! En 2020, elle fonde, avec son amie Ayoko, MUSY, une société qui accompagne, conseille les entreprises et les particuliers dans l’acquisition d’œuvres d’art, originales ou personnalisées : investissements, défiscalisation, décoration, recherche d’œuvres particulières ou encore évènementiel. Tout comme l’océan est influencé par les vents et marées, les projets de Chloé sont animés par sa passion et les rencontres. 1) Comment passe-t-on d’un double diplôme d’informatique & génie civil à la création d’une société d’art ? J’ai toujours été passionnée par la culture, l’histoire et l’art. Pendant des années, j’ai écumé les musées d’Europe et me suis entourée d’artistes ou passionnés de culture. Quelques années après l’obtention du double diplôme ingénieure-manager, j’ai créé ma société d’architecture d’intérieur. Je travaillais à la décoration des bâtiments ou à la rénovation de monuments historiques, entre la France et l’Espagne. Nos activités regroupaient le travail des moulures, la peinture de décorations ou de trompe-l’œil. Les artisans avec lequels nous travaillions étaient pour la plupart artistes également. Bien sûr, il y avait d’autres enjeux que l’aspect artistique : les cahiers des charges étaient très complets concernant les techniques à utiliser, la pigmentation, la colorimétrie… Peu à peu, je me suis concentrée sur la dimension artistique. J’ai commencé par mettre de côté la partie gestion de chantier en fermant cette société. A l’occasion d’un weekend, je pars à Oslo visiter le musée Munch pour voir le fameux Cri. Aussi excitée que par la découverte de la Joconde, je me trouve face au tableau, et là… Je m’attendais à ressentir un tout autre sentiment. Je m'attendais à un tableau plus grand, plus impressionnant, plus saisissant. Je m’intéresse quand même à ce que le musée peut m’apprendre sur le tableau en scannant le QR code. J'atterris sur la page explicative de l’œuvre, extrêmement bien construite, et découvre tout du peintre, de son univers, du contexte personnel de la création de l’œuvre, du contexte historique, du tournant de l’histoire de l’art dans lequel elle s’insère… J’avais l’impression de dialoguer avec le peintre, et d’écouter son histoire qu’il me racontait lui-même. Grâce à cette grille de lecture, mon expérience s'est transformée. Après ce weekend, je retourne en Espagne et échange avec une amie Ayoko, aujourd’hui mon associée : la dimension humaine que m’a apportée le musée a totalement changé mon expérience, et combien elle me semble importante dans notre rapport à l’art. Elle s’est retrouvée face aux mêmes problématiques de relations humaines dans le domaine de l’art. Le concept de l’entreprise était né. Nous souhaitions remettre au centre des échanges l'Homme et accompagner de futurs acquéreurs ou collectionneurs dans leur démarche. 2) Que vous a apporté le double diplôme Audencia-Mines de Douai ? J’ai vu dans ce double diplôme deux lectures totalement différentes du monde, et pourtant tellement complémentaires. Mes études d’ingénieur m’ont appris à étudier une situation d'un point de vue technique, à y répondre sous forme de cahier des charges et de gestion de projet. Les solutions sont structurées et rationnelles.  Lorsque j’ai intégré Audencia, j’ai découvert tout ce qui entourait un projet technique. Un nouveau monde, très peu abordé jusqu’à présent en école d’ingénieur : le monde de la finance, du marketing, de la vente. J’y ai appris à déstructurer ma pensée, à la considérer à bien plus grande échelle, à y intégrer de nouveaux paramètres. De façon générale, cette formation conjointe a mis à ma disposition une boîte à outils pour une compréhension globale. J’en ai retiré cette capacité à apprendre, en permanence, à trouver des ressources, à vérifier mes sources, à en trouver de nouvelles, à chercher sans cesse à renouveler mon analyse, une appétence à comprendre, une flexibilité. Elles m’ont transmis le goût de la curiosité et de l’audace. Tout a une solution, il suffit de la trouver.   3) Qu’est-ce qui vous passionne le plus dans votre métier ? L’humain ?. Nous sommes une société de conseil. Nous apportons donc une réponse sur-mesure à chaque personne. Nous recevons et gérons des demandes très différentes, et comme l’art fait appel à l’émotion, ces demandes nécessitent souvent d’être décryptées. Il nous arrive par exemple très fréquemment d’être contactées par des sociétés sur des thématiques fiscales ou par des particuliers pour de l’investissement. Mais systématiquement, à un moment donné, le cœur reprend sa place et le financier se complète de l’émotion. Je trouve cette double lecture passionnante. La rationalité versus le plaisir. La raison versus l’identité personnelle. L’humain est l’élément central de notre travail : avec nos clients, les artistes avec qui nous collaborons, nos partenaires, nos prescripteurs… L’essence même de MUSY réside dans la possibilité de matérialiser le croisement des univers d’artistes avec les envies de chacun. C’est passionnant ! Le processus artistique devient une expérience, une démarche qui nous fait vibrer.    4) Si vous étiez un tableau, quel serait-il ? Quelle question complexe quand on est passionnée d'art ! Cela impliquerait de choisir entre l’art classique et l’art moderne ou contemporain, de rentrer dans une case et d’être une seule œuvre… J’ai souvent eu du mal à choisir, et donc à renoncer. Depuis que j’ai intégré Audencia, j’ai été slasheuse. Deux vies, deux métiers, des études en parallèle, plus de richesses ! Si je poussais un peu cette question, je dirais que la notion de choix est primordiale. C’est le fondamental de la liberté à mes yeux. Après réflexion, je ne serais pas un tableau, mais plutôt une performance, ou une structure d’art éphémère. Je préférerais être une œuvre en constante évolution, en transformation permanente, au gré de mon créateur ou de mon environnement, réinterprétable à l’infini, renouvelant sans cesse son existence.   5) Quel est votre meilleur souvenir à l'Ecole ? J’ai deux souvenirs qui m’ont particulièrement marquée : 1) Celui de l'entretien d’admission à l’Ecole. Plus qu’un entretien, c’était un moment de dialogue et d’échange avec l’interviewer. J'ai trouvé agréable d’être considérée comme une professionnelle en puissance et non pas pour une simple élève. C'est là que j’ai pressenti que j’allais apprendre beaucoup en intégrant Audencia, que j’allais devoir aller plus loin dans l’articulation de ma pensée, mes opinions et mon processus de décision. Dès le départ, l’Ecole s’est positionnée comme la dernière ligne droite avant le monde professionnel, bien plus que comme une formation académique.  2) Celui de mon acceptation à Berkeley. C’était avant tout un objectif personnel tant Berkeley me semblait la destination la plus prestigieuse des summers schools proposées à l’époque. C’est donc là-bas que je devais aller, point. Entre les notes générales et le niveau d’anglais, j’ai fait en sorte que mon dossier soit à la hauteur pour partir. C’était ma victoire personnelle que de pouvoir y aller. En effet, je savais que je serais entrepreneuse. Je travaillais d’ailleurs, à l’époque, à aider un membre de ma famille dans le développement de sa société. J’ai même dû faire un aller-retour San Francisco – Madrid sur 4 jours car nous avions gagné une compétition organisée par Siemens. San Francisco représentait l’El Dorado des entrepreneurs. Je souhaitais découvrir cet environnement, la mentalité associée et m’en nourrir. C’est en effet un positionnement très différent de l’Europe. J’y ai beaucoup appris, notamment une façon d’appréhender les challenges que je gère au quotidien.    

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    • Le 20 septembre 2021

    L'Eloquence du Bégaiement 2021

    Depuis maintenant 3 ans, Mounah Bizri (GE 17) organise avec un groupe d'amis, un concours d'éloquence pour personnes qui bégaient. Ce concours a pour objectif de donner espoir aux personnes qui bégaient et à toutes les personnes différentes, en montrant que nos rêves ne sont jamais loin. Dès lors qu'on ose sortir de sa zone de confort et montrer sa vulnérabilité, tout semble possible. L'éloquence du bégaiement est une aventure unique au monde et il reste encore des places pour une dizaine de candidats. Le projet est ouvert à tous, une seule condition, être une personne qui bégaie. Date: du 2 octobre au 23 novembre Lieu: Paris L'idée est simple; en 4 à 7 semaines, oser l'un des plus grands défis des personnes qui bégaient (et de n'importe qui) : prendre la parole en public. "La vérité est que l'éloquence du bégaiement est bien plus que cela, c'est une épopée, où nous apprenons à nous dépasser et à nous accepter avec nos forces et nos différences." C'est également une aventure de groupe, où tout le monde s'entraide vers un but commun: bien vivre le bégaiement au quotidien et montrer que même si on bégaie, nous avons tous un énorme potentiel. "Alors si vous aussi, vous vouez vivre l'épopée d'une vie, inscrivez-vous, nous vous attendons de pied ferme avec notre super équipe pluri-disciplinaire (professionnels de l'éloquence, orthophonistes, personnes qui bégaient, psychologue, étudiants, anciens lauréats de concours d'éloquence)." Les inscriptions c'est par ici!

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    • Le 17 septembre 2021

    Estelle Nze Minko (SCom 15), championne olympique de handball et Chevalier de la Légion d’Honneur

    L'équipe de handball féminine a ramené l'or des jeux olympiques de Tokyo et parmi les joueuses se trouvait Estelle Nze Minko, diplômée SciencesCom et fondatrice de the Vbox. Le 13 septembre dernier, Estelle était reçue à l'Elysée avec ses coéquipières où le Président Macron l'a promue au grade de Chevalier de la Légion d’Honneur.   Toutes nos félicitations Estelle!   Pour en savoir plus sur le parcours sportif et entrepreneurial d'Estelle, decouvrez son portrait dans la première collection "Iconic Alumni" d'Audencia  

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    • Le 15 septembre 2021

    Victoria Mandefield (GE Ing-Mgr 18) élue au conseil d’administration de la Croix Rouge Française

    Victoria Mandefield (GE Ingénieur-Manager 2018) n'en croyait pas ses oreilles lors de l'annonce qu'elle venait d'être élue au conseil d’administration de la Croix Rouge Française. "Quel honneur de pouvoir contribuer à cette grande et belle maison !"   Victoria a fondé Solinum, start-up social, qui agit depuis 2016 dans la lutte contre la pauvreté en développant: Soliguide.fr, la plateforme en ligne qui référence les lieux et services utiles et accessibles aux personnes en difficulté. Merci pour l'invit', un réseau d’hébergement citoyen pour femmes sans-abri part du principe que la condition N°1 vers la réinsertion est la tranquillité d’un hébergement stable. Solilab, dont la mission est d'apporter une connaissance quantitative et qualitative sur les sujets clés de la précarité.  Son élection au conseil d'administration de la Croix Rouge Française, vient s'ajouter à un palmarès déjà impressionnant: Les trente espoirs 2020 de moins de 30 ans de Vanity Fair Top 100 women in social enterprise du réseau Euclid Les lauréats des Trophées des Ingénieurs du Futur 2020 d'Usine Nouvelle Top 50 de l'entrepreneuriat à impact de Carenews "En rentrant par le biais de l'accélérateur 21 | Croix-Rouge Française, j'ai été accueillie en 2019 aux côtés des entrepreneurs et intrapreneurs de ma promo. C'était déjà une aventure formidable, et les valeurs portée par la Croix-Rouge, sa capacité d'innovation malgré sa taille, sa volonté d'amélioration continue m'ont tout de suite parlé. Mais jamais je n'aurais cru que 2 ans plus tard, j'entrerais au CA ! Dans les 4 années à venir, j'espère pouvoir contribuer autant que possible à l'impact social de la Croix-Rouge aux côtés de l'ensemble du CA et de notre nouveau président Philippe de Costa."  

    • Business
    • Le 13 septembre 2021

    Pour Sylvain Grisot (EuroMBA 17) il va nous falloir laisser des choses de côté

    Il va nous falloir laisser des choses de côté. C’est désormais clair, on ne s’en sortira pas juste en pissant sous la douche, en interdisant les cotons-tiges en plastique et en misant tout sur l’avion à hydrogène (vert bien entendu). Il nous faut donc accélérer l’achèvement du XXe siècle pour enfin commencer à répondre sérieusement aux enjeux de celui-ci. J'aime bien parler de ce triple A du changement. Ils sont trois et pas un ne doit manquer. Le premier A pour « adapter ». C’est la somme de ces transformations nécessaires de nos pratiques individuelles et collectives : produire plus propre, construire moins sale, moins s’étaler, jeter moins, voler peu, faire plus de vélo, construire moins de SUV, manger moins de viande… autant de changements à accepter, organiser et pérenniser. Pas simple, mais pas mystérieux non plus : on sait ce qu’il nous reste faire, et on a même (un peu) commencé. « Adopter » ensuite, c’est le deuxième A, et ça on sait très bien faire. Enfin, on maîtrise bien le début du processus : du plus petit service compta au sommet de l’Etat, nous produisons un volume considérable de plans d’action plein de nouvelles choses à faire sous Excel©, PowerPoint©, Post-it© ou Velleda©. C'est sans doute une part mesurable du PIB tant cela mobilise de ressources en séminaires de hauts niveaux et consultants de tous poils. Mais pour mettre en œuvre et évaluer ces actions, c’est autre chose. Car nous n’avons pas le temps, pas la place pour nous engager dans de nouvelles voies. Il manque en effet le troisième de A, pour « abandonner ». Que laisse-t-on de côté pour faire de la place ? Quels sont les renoncements nécessaires pour pouvoir engager les grandes transformations ? Ce n’est pas qu’une question de grands projets soudainement devenus inutiles. Pour nous faiseurs de villes, c'est aussi celle du quotidien qui est questionnée : arrêter de construire ce nouveau contournement routier, d’aménager ce lotissement, d'étendre ce parc d'activité, d’acheter des canons à neige, de renforcer cette digue, d’arroser ce golf, de construire ce nouvel équipement public... Ce n’est pas toujours dans l’addition que sont les solutions, mais aussi dans la soustraction. Ne pas faire et même défaire est sans doute nécessaire pour avancer vraiment. Pousser cette « écologie du démantèlement », même si manifestement les « dé- » ont du mal à passer en ce moment — preuve qu’ils posent de bonnes questions. Alors faut-il tout arrêter ? Certainement pas, mais faire le tri entre ce qui relève du siècle qui s’achève et ce qui est à la hauteur de celui qui s’ouvre. Nous n’avons pas besoin d’images de synthèses pour rêver la ville du futur, elle est déjà là : 80% de la ville de 2050 nous entoure déjà. Une ville qui est moins à construire qu’à réparer pour répondre à nos besoins futurs comme aux enjeux du siècle, mais pour cela il faudra en laisser des choses derrière nous. Sylvain Grisot (EuroMBA 2017) est urbaniste (circulaire) et fondateur de dixit.net, agence de conseils et de recherche urbaine. Il est basé à Nantes.

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    • Le 10 septembre 2021

    Nantes Digital Week - Digitalisation de la fonction achats : l’art de choisir les bons outils

    Dans le cadre de la 8ème édition du Nantes Digital Week, qui se déroulera du 16 au 26 septembre 2021, découvrez les différents événements en lien avec Audencia. Le 17 septembre, nous vous accueillerons pour un webinar sur la thématique suivante : Digitalisation de la fonction achats : l’art de choisir les bons outils Malgré la crise du Covid-19, la transformation digitale des achats demeure une priorité des entreprises. En théorie, les acheteurs ont accès à de nouvelles solutions digitales et des capacités d’analyse allant de la réduction des risques de sourcing jusqu’à disposer d’une visibilité jamais atteinte quand il s’agit d’identifier un fournisseur distant. Or, ces nouveaux outils digitaux apportent leur lot de contraintes et de limites. Les données manipulées par les acheteurs restent peu structurées, les SI achats sont quelquefois complexes à intégrer, certains même à utiliser. Les acheteurs ont dû adapter leur quotidien à ces outils innovants rempli de promesses, mais pas toujours avec les résultats attendus. Cela crée un taux d’adoption souvent faible, parfois décevant. Le ratio coût/bénéfice en devient douteux, et le choix de la solution digitale achats à installer une décision stratégique critique. Pour ajouter à la complexité, les directions achats font maintenant face à un offre pléthorique d’outils, dont la diversité, la maturité et l’hétérogénéité menacent la pertinence des choix du système le plus adapté. Quand on regarde de près, on trouve aujourd’hui plus de 600 SI achats sur le marché en 2021, parmi lesquelles des solutions innovantes, hyper-agiles et hyper-spécialisées, mais peu visibles par les potentiels utilisateurs finaux. Les éditeurs font aussi souvent preuve de créativité quand il s’agit de sur-promettre les capacités de leurs outils. La solution de facilité consiste à se tourner vers les SI achats connus, les « grandes suites » de SAP/Ariba, Coupa ou Ivalua. Ces monstres de technologie couvrent l’ensemble du processus achats par une myriade de modules adressant toutes les typologies d’activités achats, configurables « à la carte ». D’autres SI achats, plus spécialisés, sont connus pour leur positionnement de SI expert dans un champ précis d’activités et peuvent constituer une alternative aux grandes suites.   Informations & Inscriptions

    • Business
    • Le 7 septembre 2021

    Salon de l'emploi franco-chinois 中法双语人才招聘会

    Le 30 septembre à Paris aura lieu la 6ème édition du Salon de l'emploi "88JOBS DAY 2021", dédié aux étudiants et alumni franco-chinois. Bank of China, China Unicom, China Mobile, Dahua Technology, Savoye (Noblelift), Business France... y proposeront des postes dans le domaine de la logistique, du marketing, du commerce, de la finance, des ressources humaines et du management. Des opportunités en France, en Chine et en Afrique seront présentées, sous forme de : stage, CDD, CDI, et VIE. >> En savoir plus : https://88jobsday.com 第六届《中法双语人才招聘会》将于9月30日在巴黎举行。四十多家国际知名企业将出席此次活动,包括但不限于:中国银行、中国联通、中国移动、大华科技、诺力机械、法国商务投资署。 活动当日将提供数以百计的工作机会,涉及物流、营销、商业、金融、人力资源、管理等多个领域。您可以借此平台申请法国、中国和非洲的职位,形式包括:实习、定期合同、长期合同和VIE。 >> 前往活动页面了解更多   ATELIER   Gratuit et réservé aux étudiants et Alumni d'Audencia Audencia vous invite à l'atelier participatif "How to find an internship or a job in France?", animé par des consultants experts en recrutement de profils bilingues chinois. Il vous permettra d'échanger sur votre projet professionnel avec des experts. >> Inscription gratuite et obligatoire : https://88jobsday.com/#candidate en mentionnant le code "AUDENCIA" dans le formulaire pour avoir accès à l'atelier participatif. 研讨分享会 (仅限Audencia学生及校友参加,需提前报名。) 招聘会当日,Audencia为其广大学生及校友策划了一场关于《如何在法国求职》的互动式分享会,双语人才招聘领域的专家将与您面对面沟通,回答您可能会有的各种疑问。 >> 报名方式:点此填写报名表,在<赞助代码>一栏中注明"AUDENCIA"。  

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    • Le 29 juillet 2021

    Audencia Alumni vous souhaite un bel été !

    Où que vous soyez dans le monde (hémisphère nord ou hémisphère sud), c’est le moment pour Audencia Alumni de faire une petite pause estivale. On vous souhaite un excellent été et on se retrouve en semptembre, à la rentrée ! Bonnes vacances à tous ! L'équipe Alumni  PS : Restons en contact ! Si besoin, écrivez-nous à audenciaalumni@audencia.com 

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    • Le 28 juillet 2021

    Deux alumni à la conquête du Mont Blanc

    Sahin Oba et Pierre Allain, deux alumni - et amis - Executive MBA 2018, ont profité de la pause estivale pour relever un défi personnel et physique: ils viennent de grimper le Mont Blanc. Et puisqu'une image en dit plus long que des mots, ils ont eu envie de partager la vue depuis le sommet avec, en bonus, une dédicace pour la communauté Audencia. Bravo à eux!     #MBA_Community  

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    • Le 12 juillet 2021

    Audencia en immersion... au cœur de l'écosystème Mediacampus !

    Un nouveau format d'événement a vu le jour le 6 juillet dernier. Les Alumni se sont installés confortablement dans leur fauteuil, ont allumé la chaîne « Audencia en immersion » et c'était parti pour une plongée d’une heure au sein du Mediacampus, un lieu unique en son genre, en plein coeur du quartier de la création. "La création et l'utilisation de technologies et d'information responsables est l'un des trois défis que s'est fixée Audencia dans le cadre de son nouveau plan stratégique ECOS" assure Christophe Germain, Directeur Général d'Audencia. Et Sylvie Chancelier, Directrice Audencia SciencesCom, de compléter : "L'ensemble des enseignants [de l'Ecole], de ses intervenants et de ses étudiants peuvent venir, un peu comme un bac à sable, tester de nouvelles façons d'acquérir du savoir ou de faire des expérimentations." ​ Visionnez le replay >   Information responsable "On essaie de faire en sorte que nos étudiants, futurs managers responsables de stratégie de communication, aient une démarche responsable dans les stratégies qu'ils déploieront par la suite. Quand on parle d'aller sur le terrain de l'éthique, cela implique 2 choses : de la compréhension de ce qui se passe -les mécanismes informationnels- et de la fabrication", nous indique Julien Pierre, enseignant-chercheur en Sciences de l'Information et de la Communication à Audencia. L'éducation aux médias est devenue un sujet de société ! "Au Mediacampus, au-delà de la partie étudiante, pédagogique, on souhaite mettre en place des dispositifs à disposition des salariés, des citoyens et aussi des entreprises. A la rentrée par exemple, on va créer des formations à destination des managers et décideurs pour les aider à mieux maîtriser leur information" annonce Estelle Prusker, enseignante-chercheuse en Sciences de l'Information et de la Communication à Audencia et pilote du Mediacampus.   Communication responsable Marion Andro (SCOM 99), co-présidente de l'Agence B Side, place la réflexion de stratégie responsable au coeur de leur modèle : "Pour les entreprises qu'on accompagne, l'impact, [...] c'est à la fois la façon dont on pratique notre métier et aussi le type de projets, le type de clients qu'on va aller chercher." Enseignante-chercheuse en Sciences de l'Information et de la Communication à Audencia, titulaire de la Chaire Impact Positif et auteure de "Marketing, les illusions perdues", Florence Touzé insiste sur l'aspect "indispensable de recréer de la confiance dans un contexte de défiance. Le syndrome de la multinationale a perdu la confiance de son public. Ca ne veut pas dire qu'elles font tout mal. On les voit en ce moment mener beaucoup de chantiers vers de belles transformations et pour autant elles ne sont pas forcément encore crédibles. Il va falloir du temps. [...] La confiance, ca ne se décrète pas. [...] On a beaucoup parlé de petits pas sur les questions de projets à impact positif. Les petits pas, c'est bien, mais il va falloir les faire assez rapidement maintenant. Il faut trouver des leviers assez forts."   Nouvelles pratiques, nouveaux formats Claire Champenois, enseignante-chercheuse à Audencia en entrepreneuriat et management, a expérimenté un tout nouveau format pédagogique avec ses étudiants de dernière année en utilisant le plateau TV du Mediacampus pour présenter les résultats de leur projet. "Il y a avait plusieurs avantages : en terme d'attention [...] et tous les apprentissages que cela peut avoir pour eux en termes de communication en public et communication devant la caméra." En tant que coordinateur du blog Mediafactory, Pierre-Adrien Roux a éprouvé un terrain de jeu numérique qui rassemble les étudiants et les professionnels de la communication et des medias. Son objectif est de "permettre la rencontre entre des professionnels des medias, des communicants, des journalistes, des producteurs de contenu et des étudiants autour d'un objet de travail qui va être travaillé tout au long de l'année entre ces étudiants et ces professionnels." Ce blog leur permet également "de produire des contenus, d'expérimenter et de renforcer, de muscler leurs connaissances de la sphère communication medias, de l'actualité dans cette sphère là." "La Mediafactory, au-delà d'être une expérience professionnelle enrichissante, c'est aussi une expérience humaine.", témoigne Marie Lemaire, étudiante en 1ère année d'Audencia SciencesCom. "J'ai appris comment gérer de A à Z un blog [...] On est en contact permanent avec des professionnels du milieu de la communication et des medias. C'est enrichissant parce qu'on développe nos compétences, mais on développe aussi un réseau." Au sein du Mediacampus, de nombreuses collaborations ont été réalisées avec France Télévision par l'intermédiaire du Studio A, l'un de ses habitants, dont l'enregistrement, le montage son et le mixage du documentaire de France 5 sur Marguerite Duras. Comme le précise Johan Chiron (SCOM 03), co-fondateur et producteur de l'Incroyable Studio, le Studio A, plateau de production de contenus, notamment les podcasts,  est "un espace disponible pour les professionnels en location ou pour s'installer aussi pour accompagner l'une de leur création audiovisuelle."   Des formats engageants "Assez vite le Mediacampus s'est imposé comme un lieu de création qui nous semblait adapté, nous pour nos formats Audencia mais également pour les entreprises qui se sont elles-mêmes tournées naturellement vers le Mediacampus", indique Marion Tardivel, Responsable de communication événementiel. "Une émission comme celle-ci se prépare en amont, elle s'écrit. Ce sont des techniques particulières sur lesquelles TéléNantes vient nous appuyer. On fait aussi parfois appel à des partenaires extérieurs comme des agences événementielles qui viennent aussi apporter leur pierre à l'édifice pour créer une émission à la hauteur des ambitions des entreprises." Robin Behnam, responsable Communication interne Groupe et Communication RH de Manitou Group, confirme ce véritable atout après avoir organisé sa traditionnelle convention annuelle. "Cela a été un succès parce que les équipes du Mediacampus ont été réactives, force de propositions. Elles nous ont accompagnés, conseillés. Et puis le jour J, il n'y a eu aucun couac technique. Tout s'est déroulé comme on l'avait imaginé et on a réussi à embarquer les équipes et à atteindre les objectifs qu'on s'était fixés."    Vous êtes convaincus ? Vous aussi, venez vivre l'expérience Mediacampus !

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    • Le 9 juillet 2021

    Besoin d'apprenti en Master Grande Ecole ?

    Recrutez en finance ou marketing-commercial ! Le programme Grande Ecole d’Audencia est une formation d’excellence en management, validée par le Grade Master en management et triplement accrédité. Afin de professionnaliser leur parcours, les étudiants sont la recherche d'entreprises les accueillant en apprentissage pour leur cycle master en finance ou en marketing / commercial dès la rentrée 2021. Vous souhaitez renforcer vos équipes et recruter un apprenti ? Contactez-nous. Nous vous proposerons des candidats correspondant à votre besoin.    Les atouts du programme Finance Un contenu visant à réaliser des missions relatives aux fonctions de responsable middle office, responsable back office, gestionnaire, d’actifs, banquier conseil en investissement, gestionnaire de trésorerie, analyste risque crédit, consultant M&A.  Des expertises développées telles que la gestion d’un portefeuille de titres, le pilotage d'une trésorerie, l'analyse de données, la négociation. Découvrez la formation et son calendrier   Les atouts du programme Marketing - Commercial Une formation permettant aux étudiants d'accéder aux fonctions de responsable marketing opérationnel, responsable marketing  relationnel et CRM, chargé d’affaires, business developer, category manager, brand manager, chef de produit, responsable réseau, digital project manager entre autres. Un programme où les expertises marketing et commerciales sont acquises aux côté de principes de responsabilité, d'innovation et de coopération.  Découvrez la formation et son calendrier   >> Contactez-nous pour nous transmettre vos offres <<

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    • Le 5 juillet 2021

    Succès du Fonds de solidarité : merci !

    Chers diplômés, Un grand merci à vous tous qui avez largement pris part à la 2e édition du Fonds de solidarité. Grâce à votre soutien, vos dons, vos messages, nous avons collecté plus de 76 000€, et largement dépassé l'objectif de 70 000€.  Nos étudiants qui se retrouvent dans des situations économiques difficiles pourront désormais trouver un peu de réconfort grâce à vous ! Regardez les témoignages des étudiants :  Notre réseau est notre plus grande force ! Au nom de l'école, des élèves et de la Fondation, merci d'avoir renvoyé l'ascenseur.

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    • Le 2 juillet 2021

    Agence de communication et RSE : un combo détonnant ?

    2 écoles, 1 ONG, 1 média : une synergie de talents qui signe le point de départ d’un beau projet solidaire initié par l’agence Antigel ou exerce Stéphanie Gonot (SCOM 18), désormais cheffe de projet. L’idée naît de l’envie d’une agence de communication nantaise d’aider les jeunes talents de la communication dans cette période de crise sanitaire et de se retrouver, d’échanger, autour de thématiques qui donne du sens à cette année chaotique.   Tout commence en 2020, alors que l’agence Antigel se lance le défi de répondre au concours pour jeunes créatifs #STOPAUXINFOX, lancé par l’Union Francophone sur le thème des fausses informations liées au Coronavirus.   « J’ai tout de suite pensé à Audencia SciencesCom pour répondre de manière créative à la campagne #STOPAUXINFOXCOVID19. Mes souvenirs d’études étant ponctués de projets solidaires, de micro-agences où nos énergies étaient mobilisées pendant 1 semaine complète, à fond sur un sujet, à espérer remporter le titre de meilleure campagne. J’adorais ça, et pouvoir être à l’initiative de ce type de format était pour moi très valorisant ! Et malgré la distance imposée par le confinement, ça a été un véritable succès, tant au niveau humain que sur le plan du rendu stratégique et créatif ! Nous avons même eu un prix ! On a donc eu envie de renouveler l’expérience en 2021, mais en montant notre propre projet ».   Premier défi : trouver une ONG pour embarquer une nouvelle promotion de Sciencescomiens dans cette 2ème aventure. PLAN INTERNATIONAL nous accorde ainsi sa confiance pour la création d’une campagne digitale nationale sur le programme Safer Cities. Avec pour but de sensibiliser la jeunesse française aux obstacles majeurs à l’accès à l’éducation pour les jeunes filles dans certains pays du globe, notamment dû à l’insécurité des villes (transports, harcèlement de rues…), le sujet nous semble porteur de sens, et les étudiants sont au rendez-vous. En mode Agence, ils seront encadrés et suivis pour les étapes clés de la réussite du projet pendant 2 mois.     « Pouvoir apporter une expérience professionnelle aux étudiant(e)s de l’école dont je suis diplômée, à un moment où l’accès à celle-ci est plus complexe, a dupliqué l’effet positif du projet. » Stéphanie était motivée pour ouvrir les portes (virtuellement) du monde de l’agence et de montrer le rôle qu’elle peut jouer dans des problématiques sociétales telles que celles que peut traiter Plan International. « Pour moi, malgré tout ce qu’on entend au sujet des agences, participer à un engagement concret en Pro Bono, pendant cette période si particulière a pris un sens particulier. On parle beaucoup de RSE, d’engagement, on l’explicite dans nos communications mais là on a pu le concrétiser ! »   « Revaloriser l’image des métiers de l’agence et de la publicité, qui est pas mal mise à mal, c’est un peu mon cheval de bataille du moment !  Même si je débute dans ma carrière, je suis convaincue par mon métier en agence et du pouvoir créatif qu’elle embarque. Alors si on peut le mettre au service d’une cause, c’est valorisant. » Au fil des rencontres professionnelles accélérées par ce projet, Stéphanie confirme que dans les agences la majorité des collaborateurs pensent les métiers de la communication comme porteurs de messages, au service de causes nobles. « Sans révolutionner le monde, je suis heureuse de faire un métier où on contribue à faire évoluer les choses, à faire comprendre les enjeux contemporains. »   Retrouver bientôt les créations des étudiants sur la campagne Safer cities sur les réseaux Plan International !   Le travail des étudiants sur la campagne « safer cities » a bénéficié du concours de La Croix, journal édité par Bayard et leur a permis de voir leur travail diffusé dans ce Media. À cette occasion, La Croix vous propose de recevoir gracieusement chez vous le journal et d’avoir accès au site la-croix.com durant 3 semaines. Pour en bénéficier, cliquez ici 

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    • Le 1 juillet 2021

    Cybersécurité, l’affaire de tous !

               Le 23 juin dernier, nous avons pénétré, le temps d’une soirée, dans les coulisses de la protection contre les cyberattaques lors d’un table-ronde initiée par la communauté ingénieurs-managers d’Audencia Alumni. Deux experts -et remarquables vulgarisateurs- ont bousculé les idées reçues les plus tenaces et fait connaître des pratiques qui peuvent avoir un impact considérable sur la stabilité d’une entreprise, quelle que soit sa taille et sa nature. Avec en fil rouge : la mise en lumière d’enjeux multiples, tant humains que technologiques et financiers.   Corentin Le Reun (GE 15), spécialiste de la cybersécurité chez Cisco est intervenu depuis son bureau de New-York. En charge de la sécurité des 5 plus grandes banques américaines - qui comptent parmi les sociétés les plus ciblées au monde, il vit au quotidien la prévention de la menace et la gestion des crises cyber. Emerson Gautier a permis aux participants de découvrir les dessous d’une société familière à tous, lui qui est I.T. Operations and Security Manager d’Audencia et à l’origine de la cellule cybersécurité de l'Ecole. C’est à la Londonienne Katia Hérault (GE 01), auteure des portraits "Iconic Alumni", qu’a été confié le soin d’animer les échanges et de poser les questions qui taraudent les novices. Pour placer le sujet dans son contexte, Katia a commencé par partager quelques chiffres. La donnée particulièrement vertigineuse est celle qui évalue l’économie de la cybercriminalité à l’aune des PIB nationaux : si elle était un pays, son PIB la placerait 3ème rang mondial après les US et la Chine !   Corentin a tout de suite posé les jalons en catégorisant les différents types d’attaque et leurs modalités, démystifiant des termes tels que « spear phishing », « ransomware », et « les attaques DDoS ». Emerson a, quant à lui, entrepris un exposé fascinant sur les enjeux auxquels sont confrontées les entreprises. Si on imagine facilement les risques économiques liés à l’interruption forcée d’activité ou les demandes de rançon, on soupçonne peu les risques juridiques encourus par les pertes de données, et encore moins ceux qui impactent l’humain, lorsque des régions entières se voient privées d’électricité, ou que des hôpitaux sont contraints d’annuler des opérations essentielles.  Alors que les auditeurs étaient sur le point de se laisser gagner par l’angoisse d’avoir toujours un train de retard sur les hackers, nos deux experts les ont conquis par leur savoir-faire combiné à une bonne dose d’optimisme. A grand renfort d’exemples personnellement vécus, ils ont présenté tout un panel de mesures que les entreprises peuvent mettre en place pour sécuriser leurs systèmes. A été soulignée l’importance de la sensibilisation des maillons faibles, à savoir les utilisateurs … humains donc faillibles. Emerson a par exemple révélé comment son service met en place des campagnes de prévention anti-phishing, dont la dernière a réussi à piéger pas moins de 40% des utilisateurs d’Audencia ! Les intervenants ont conclu en expliquant comment se profile la vision moderne de la sécurité. Spoiler alert … elle signera bientôt la fin des mots de passe alambiqués notés sur une mosaïque de Post-It.   Replay de la table-ronde - - - Les recommandations de nos experts - - -  Livres :           Film, série télévisée, documentaire :  

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    • Le 28 juin 2021

    #Portrait - Julie Barret (GE 19 ing-man) - industrie du packaging

     L’industrie du packaging innove constamment face aux enjeux RSE*  Curieuse de la vie, Julie Barret (GE 19) aime les défis, qu'ils soient personnels ou professionnels… En parallèle de son double diplôme ingénieur-manager, Julie effectue son premier trek de 4 jours en Argentine avec sa colocataire, 10kg sur le dos chacune, parcourt l’Asie en ‘backpack’ avant de courir le semi-marathon de Paris en mars 2019. Son prochain projet ? Le GR20 en Corse ! C’est précisément après ce dernier exploit parisien que cette acheteuse en packaging intègre MAKE UP FOR EVER (groupe LVMH). Un défi professionnel que Julie nous raconte... 1) Vous avez différentes expériences dans le domaine du luxe (Cartier, Burberry, groupe LVMH). Quelle est votre vision de ce secteur ? Travailler dans le secteur du luxe, c’est tout d’abord être entouré de beaux produits au quotidien ! Le luxe est pour moi un secteur exigeant et très orienté sur l’expérience et la satisfaction du client. C’est un secteur en pleine mutation pour répondre aux nouvelles attentes des consommateurs (RSE* et digitalisation). Il demande une grande rigueur et une polyvalence. 2) Quelles sont les spécificités de votre métier ? Je suis acheteur packaging. Ma mission globale est d’acheter le packaging sur des catégories variées (métal et plastique, carton et verre) avec des objectifs de coût, délai, qualité et RSE*, afin de répondre au brief du marketing et au brief technique du développement packaging. Pour rentrer plus en détails, ma mission principale est de participer aux lancements de nouveaux produits. À la suite du brief fonctionnel du marketing, et du brief technique du développement packaging, j’élabore le panel fournisseurs, je prépare et envoie les appels d’offre aux fournisseurs, j’analyse les offres et négocie les conditions d’achat (coût, délai, qualité, RSE*). Nous validons ensuite un coût d’achat et une rentabilité associée avec le service finance et avec notre direction.  En parallèle, je gère un panel de fournisseurs internationaux, pour lesquels j’effectue un reporting des KPIs achats, et je mets en place des actions afin de sécuriser le business. Enfin, je représente l'équipe Achats dans la task force MAKE UP FOR EVER pour promouvoir la RSE* et l'éco conception.   3) Votre double diplôme vous a-t-il été utile pour mieux appréhender votre poste ? Dans mon poste, je fais beaucoup de gestion de projet et de négociation, compétences que j’ai développées notamment à Audencia. Au quotidien, j’ai aussi de nombreux enjeux marketing et financiers, que j’arrive à mieux appréhender grâce à ma formation en école de commerce.  Mon poste a également un aspect très technique. Ma formation à Centrale (avec une spécialisation en Ingénierie de Produit) m’a permis de mieux comprendre les contraintes techniques liées au développement et à la conception d’un produit. Mon double diplôme m’a permis d’être plus agile et polyvalente.    4) Comment l'industrie du packaging allie efficacité et RSE* ? L’industrie du packaging innove constamment face aux enjeux RSE* et de nombreuses actions sont menées : sourcing de matériaux vertueux (recyclés, biosourcés, compostables), développement de packaging mono-matériaux afin de favoriser le recyclage, études de réduction du poids des packaging, mais aussi production plus « green ».   5) Quel est votre meilleur souvenir à l'Ecole ? Mon meilleur souvenir à Audencia reste bien entendu les campagnes BDE effectuées en première année. Les activités et soirées organisées par chacune des listes étaient toutes plus créatives les unes que les autres. Les campagnes sont vraiment un bon moyen de fédérer tous les élèves et de forger de belles amitiés ! En vraie ‘foodie’**, j’ai d’ailleurs intégré l’association du Banquet. Depuis, je teste tous les nouveaux restaurants et partage mes impressions sur un compte instagram dédié à mes meilleures trouvailles.      *RSE : Responsabilité Sociale des Entreprises **Foodie : passionnée de cuisine

    • Get Involved
    • Le 25 juin 2021

    Assemblée Générale Audencia Alumni : Ouverture des votes !

    Chère diplômée, Cher diplômé, Comme vous en avez été informé(e), vous êtes invité(e) à participer à l’élection des membres du Conseil d’Administration d’Audencia Alumni, à la validation du rapport moral et financier, ainsi qu’à la mise à jour des statuts (autorisation de l’AG en ligne, autorisation du vote en ligne, augmentation du nombre d’administration).   Le vote se fera uniquement en ligne par la plateforme Euro-vote : solution hébergée en France, accessible sur tous les supports et respectant les réglementations en Data Privacy. Votre adresse électronique a été déposée chez un huissier de justice qui en garantit sa non-divulgation et sa non-utilisation à d’autres fins que celles utiles à l’organisation des élections. Pour vous connecter à la plateforme d’authentification de l’huissier, sur laquelle vous devez saisir l’adresse de courrier électronique utilisé pour votre connexion Together : https://audencia-21-auth.secure-vote.org Vous remerciant par avance de votre participation. Flavie Lorre Présidente d’Audencia Alumni

    • Career Center
    • Le 23 juin 2021

    New content in Audencia's webinar library

    Following its launch nearly three years ago, Audencia's webinar library continues to offer career-focused content for students and alumni. This library features world-class management thinkers like Steve Dalton, Dorie Clark and Julian Birkinshaw and offers an excellent opportunity to go back to the topics that were missed during the live broadcasts. Three new webinars are now accessible: Feel Good about Networking (and do it well) with Nicolas Constantinesco Networking is critical for successful job hunting. But many of us find the process uncomfortable, unethical or just too difficult. It does not have to be so. In this webinar Nicolas Constantinesco explains a different networking approach that he has successfully used to train students and mid-career professionals alike. How to Make Your Work More Meaningful with Monique Valcour Finding meaning in work is not a “nice to have”. It is a critical component of a good life. In this webinar we explore and identify the conditions that give rise to meaningful work and the strategies we can use to achieve them. How to Win Over Potential Employers with Gabriella Snoeck & Nicolas Constantinesco Most of us look for a job only every few years. Lacking experience, It is easy to misunderstand what potential employers are looking for. In this webinar, Gabriella Snoeck (life sciences headhunter) and Nicolas Constantinesco (former McKinsey hiring manger) share their experiences of hundreds of interviews and thousands of candidates.   Audencia offers a limited number of free and unlimited access to the webinar library. Students & alumni who are interested in advice on job-hunting and interviewing, international careers, being a better boss, to name just a few of the subjects covered, should set up their individual account here      

    • Keep In Touch
    • Le 18 juin 2021

    #Iconic_Audencians: Claude-Michel Schönberg, GE 67, music as a raison d'être

    Claude-Michel Schönberg, Grande Ecole 1967, Composer When the world-renowned composer welcomes us to his Chelsea home, his frustration is palpable. We meet during a phase of respite between two lockdowns, but theatres remain closed and he admits to being as restless as a caged tiger. “If I’d have felt tired or if success had started to fade, now would be a good time to call it a day. But last year was one of the best years I’ve ever had!” At 76, Claude-Michel Schönberg still has new shows to bring to the stage, and productions to oversee on all continents. He is an accomplished and revered artist, so it is intriguing to find out exactly what it is that still keeps him going. He wrote a song which has sold over one million copies. He composed Les Misérables – the longest-running musical in the West End (the second longest worldwide), which critics have often cited as one of the greatest musicals ever made. His shows have been produced on Broadway and on hundreds of stages over the world. He has received a Golden Globe, been nominated for an Oscar, and has won every possible accolade in the industry including the Laurence Olivier, Tony and Grammy awards. Millions of people have been moved to tears by his music, and one of his songs has become a protest anthem for oppressed people around the world. But it is not money, fame, or the desire to leave his mark and change the world that drives Schönberg. In the course of this interview, we discover a man wholly consumed by the need to create music, who confesses that he had little merit in choosing his career, because music is the only way he knows how to live.   Read the full article here     Audencia's Iconic Alumni To mark Audencia’s 120th anniversary in 2020, we have launched our very first iconic alumni collection. Each year we will showcase the amazingly diverse profiles and career paths of Audencians from around the globe. The ten alumni that you will discover in the following pages have very generously given up their time for an interview with fellow alumna, Katia Hérault (GE 2001), for which we are immensely grateful.   Discover the first 10 portraits here  

    • Keep In Touch
    • Le 16 juin 2021

    Camille Guezennec ou le voyage d’une goutte d’eau

    La référence à la mini-série écologique pour enfants est assumée : le trajet de Camille Guezennec (GE 16) ressemble à ces gouttes d’eau qui s’unissent pour former les grandes rivières, voguent au gré des épisodes climatiques et se régénèrent dans les rencontres, jusqu’à celle, déterminante, dont est né Little Big Impact.   Il faut dire que la jeune Lot-et-Garonnaise a bien navigué, de Bordeaux à Paris, de Nantes à Seattle, portée par cet attrait pour l’humain, l’environnement, la société qu’elle n’a cessé, depuis, d’aiguiser. « J’ai toujours eu envie de m’engager au service des Hommes et de la société, confie Camille. Dans d’autres écoles, on m’a dit que ce n’était pas un projet de carrière. A Audencia, au contraire, j’ai trouvé une oreille attentive à cette idée et ça m’a mis le pied à l’étrier. En mixant les stages dans des structures RH, le parcours RSE de l’école et la majeure Conseil, je me suis construit un bagage solide mais il faut du temps, de l’expérience et un peu d’introspection pour bien se connaître. Il faut se rencontrer. » La découverte de cette vérité personnelle passe par des choix parfois audacieux, comme celui de s’éloigner des gros cabinets de conseil dans lesquels elle apprécie avantages et qualité de vie au travail mais manque de sens. « Je me sentais seule, un peu décalée, pas dans mon environnement » explique Camille qui recherche alors son équilibre dans le bénévolat. En parallèle, elle découvre l’Économie Sociale et Solidaire qui réconcilie impact et business. Mais le secteur en plein développement est difficile à pénétrer. Alors Camille rejoint Alter&Go, un petit cabinet de conseil faisant la part belle à l’intrapreneuriat et aux enjeux RSE. Pendant deux ans, elle accompagne la dynamique de changement de ses clients, travaillant avec les équipes pour comprendre des politiques venues d’en haut jusqu’à les intégrer dans leurs procédures quotidiennes. « Les fusions ou les rachats sont des moments délicats où chaque collaborateur doit faire sienne une nouvelle culture, s’adapter à de nouveaux modes de management et redéfinir son pacte avec l’entreprise pour laquelle il travaille. Ce n’est jamais simple. » Camille participe aussi à l’élaboration d’une offre destinée aux Directeurs RSE des grandes entreprises et au design d’un programme d’incubation pour les entrepreneurs sociaux, qui sème la graine d’une question désormais au cœur du projet Little Big Impact : comment mieux utiliser les stratégies d’accompagnement du changement sur les enjeux sociaux et environnementaux tant dans les organisations qu’auprès des individus ? C’est en effet poussée par l’inconfort d’une transition professionnelle – le rachat de son cabinet par une grosse structure – que Camille se lance avec trois anciens collègues dans l’aventure entrepreneuriale avec à cœur, l’idée de lier l’humain et les transitions environnementales et sociales. En mars 2020, quelques jours avant le début du premier confinement, naît donc Little Big Impact, nouvel acteur de la transition écologique et sociale qui accompagne les individus et les organisations pour passer à l’action en faveur d’un monde plus responsable. « Chance ou obstacle supplémentaire ? On ne le saura jamais vraiment. Les plus et les moins se mélangent, comme souvent. Les enjeux sur lesquels nous travaillons sont au cœur de toutes les préoccupations dans cette crise mais les budgets des entreprises ont tendance à geler et les individus à patienter. Cela nous oblige à être agiles dans nos propositions. » A travers un bilan de compétence ou des ateliers sur l’impact positif, Little Big Impact aide chaque participant à se découvrir, se libérer d’un contexte anxiogène et identifier son propre terrain d’action et d’engagement. « La crise écologique peut être paralysante tant qu’on n’accepte pas que chaque goutte d’eau est utile. Peu importe la manière dont on l’incarne, on a tous un rôle à jouer. » Le parcours demande le courage d’exposer une part de vulnérabilité et il est accessible à tous les âges. D’ailleurs, beaucoup de trentenaires se tournent vers Little Big Impact à titre individuel : la crise sanitaire n’y est sans doute pas étrangère. « C’est aussi une question de fond, note cependant Camille. La quête de sens est présente très tôt dans les parcours aujourd’hui mais elle tarde à se formaliser. Il faut du temps et une certaine maturité. Le coaching engagé pourrait être plus présent dès l’école, surtout au retour de l’année de césure. Mais il y a peut-être aussi une proposition à formaliser pour les alumni trois à cinq ans après leur diplôme. »   « Si j’avais un conseil à donner ? Je dirais aux étudiants comme aux jeunes diplômés qu’ils ne sont pas seuls à se questionner, conclut-elle. Et que c’est OK de le faire. C’est OK et c’est sain de traverser des périodes d’instabilité et de se montrer plus vulnérable. Ce sont des moments qui permettent d’aller plus vers soi. »  

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