#Iconic_Audencians: Sorachna Honn, IMM 08, banker and Buddhist
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- Le 23 avril 2021
Sorachna Honn, International Master in Management (IMM) 2008, CEO and MD of Prince Bank
Like all Cambodian boys, Sorachna Honn was raised to respect his elders and his teachers, work hard and with integrity, provide for his family and remain humble and compassionate. At the age of 40, he still embodies the traditional Cambodian values which are steeped in age-old Buddhist traditions. What sets Sorachna apart and explains his success in setting up one of the best-performing banks in South-East Asia, is an additional set of qualities. Endowed with maturity and good observation skills, over the years he has developed a sense of curiosity for human behaviour and for the world, that has encouraged him to look beyond his own backyard.
In 2015, Sorachna set up a microfinance institution from scratch. Just three years later, it was awarded a commercial banking licence. It isn’t just the sheer speed of development that is impressive. The accumulation of international accolades is a testament to Sorachna’s belief in corporate citizenship. These include “Asia’s Top 100 Best Employer Brands for 2019” by the Employer Branding Institute, “Cambodia’s Best Employer Brand for 2020” by World HRD Congress, and “Cambodia’s Best Commercial Bank 2020”, from International Banker. And for Sorachna, “there’s no stopping here”. His ambition is very much to play in the big league, with his sights set on the world stage.
In this interview, Sorachna recalls his journey and especially his fond memories of his time at Audencia. He explains how joining the IMM programme was pivotal in shaping his career...and in creating a lifelong aversion to sausages!
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#Iconic_Audencians: Dominique de Font-Réaulx, GE 82, a contagious passion for culture
Dominique de Font-Réaulx, Grande Ecole 1982, Director of the Louvre's Interpretation & Cultural Programmes Dominique de Font-Réaulx has held a succession of high calibre positions within the most prestigious museums in France. She was curator of the Musée d’Orsay when, in 2008, she had the opportunity to oversee the Louvre Abu Dhabi project; and in 2013, she became director of the Musée Eugène Delacroix. Since 2018 she has been chief curator at the Musée du Louvre, where she is the director of interpretation and cultural programmes. Always with her fingers in many pies, she not only organises world-acclaimed exhibitions, but also collaborates on a large number of art history books and catalogues. In addition, she is the editor of the “Histoire de l’art” magazine, and also teaches at the École du Louvre and at Sciences-Po. Dominique was a precocious child who taught herself to read at the age of 4, discovered Balzac at 9, and in her teenage years, developed a fascination for 19th-century literature and the history of art. What is perhaps even more surprising is that she joined Audencia. Far from the cliché of the recluse hiding in the library all day, she threw herself full throttle into the school’s social scene and even got elected as president of the student association. After earning an MBA in the US, followed up by 4 years in the automotive industry, her passion for art caught up with her. She didn’t let motherhood impede her efforts and passed the selective entrance exam for the Ecole du Louvre, sometimes taking her toddlers along with her. We discover an endearing woman who combines a taste for the classical arts with a modern outlook on culture. She is devoted heart and soul to sharing her passion for the arts and is constantly coming up with attractive ways of drawing new audiences into the museums. Read the full article here Audencia's Iconic Alumni To mark Audencia’s 120th anniversary in 2020, we have launched our very first iconic alumni collection. Each year we will showcase the amazingly diverse profiles and career paths of Audencians from around the globe. The ten alumni that you will discover in the following pages have very generously given up their time for an interview with fellow alumna, Katia Hérault (GE 2001), for which we are immensely grateful. Discover the first 10 portraits here
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- Le 19 avr. 2021
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Lutter contre les pratiques sexistes en entreprise
Nous avons tous pu nous poser les questions suivantes à un moment ou à un autre : Mon comportement et celui des personnes de mon équipe sont-ils appropriés ? En tant que manager, comment écouter, accueillir, orienter, les personnes qui me signalent des faits problématiques ? Quels sont les outils à ma disposition pour agir ? Comment réagir et reprendre la main face à des situations ou des personnes qui sont hors-jeu ? Antoine LAMBERT nous propose ce mardi 8 juin à 18h de nous retrouver en ligne pendant une heure trente pour comprendre la loi, les enjeux et explorer les postures qui font évoluer les pratiques en interne. Par l’analyse de situations vidéos malheureusement communes, nous chercherons à identifier, reconnaitre avec précision les comportements hors-jeu, tant au niveau de la loi, qu’en terme de management. Collectivement, nous explorerons les leviers disponibles pour faire évoluer les situations en interne. Nous partagerons nos expériences vécues, nos tentatives, qu’elles soient couronnées de succès ou non, nos obstacles persistants. Et puis nous nous pencherons sur les trucs concrets pour pouvoir répondre facilement aux situations suivantes : Comment bannir les blagues lourdes sans condamner la légèreté et l’humeur joyeuse ? D’après Antoine, aucun souci, bien sûr que c’est possible !!! Comment transformer les pratiques quand le sexisme est incarné au plus haut niveau du management ? Comment accueillir les signalements, en faire quoi, pour protéger qui ? Comment réagir quand je ne suis ni victime, ni agresseur, et que les rapports hiérarchiques me sont défavorables ? Si tout se passe bien, nous trouverons le temps trop court, nous aurons envie d’approfondir encore davantage, et ce sera tant mieux ! Pour s’inscrire au webinaire : C'est par ici ! A propos d’Antoine : Avec 2 associés, il créé la Belle Boîte en 2012, et s’attache alors à dynamiser les pratiques managériales, réveiller la vie en entreprise en s’appuyant en grande partie sur les techniques du théâtre et de l’improvisation. Conférencier, formateur, animateur de nombreux évènements d’entreprise, il revendique un engagement militant au service d’une transformation des entreprises vers un modèle plus responsable, plus moderne… moins chiant !
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- Le 2 juin 2021
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Justine Sarkadi (GE 14), un parcours audacieux dans le luxe
Nous nous sommes croisées sur Teams, comme prosaïquement nous nous rencontrons tous depuis maintenant plus d’un an. C’était un vendredi soir. Justine Sarkadi (GE 14) venait d’apprendre son détachement sur une mission de Cheffe de projet Coordination des traductions pour CHANEL, une nouvelle étape dans un parcours audacieux mais très cohérent. Quand elle pénètre au ’19 Cambon’ le flagship de CHANEL, ouvert fin 2018 au pied de chez Coco, Justine Sarkadi se demande souvent comment définir son rôle de Conseillère en Mode, un miroir aux mille facettes dans cette antre de la mode, une boutique autant qu’un musée, un lieu d’art et de vie où les cultures s’embrassent au nom du beau. C’est une question qui lui est d’ailleurs posée régulièrement, avec une bienveillance à géométrie variable : pourquoi avoir fait Audencia pour finir vendeuse ? « La plupart des étudiants d’école de commerce ont un projet défini, moi ce n’était pas mon cas, explique Justine. J’aimais beaucoup la finance et le contrôle de gestion. Je me débrouillais bien dans ces matières-là mais je ne me voyais en aucun cas vivre ma carrière entière dans un bureau. Les gens qui ne comprennent pas mon parcours ne connaissent pas bien le secteur du retail et du luxe. » Sans doute a-t-elle raison, Justine. Qui imaginerait le 19’ Cambon comme une belle PME, avec sa centaine de collaborateurs venus d’une dizaine de pays différents, des gestionnaires de caisse aux stockistes, en passant par les équipes de management, de marketing, de communication ou d’événementiel ? « Un environnement incroyable, une sorte d’écosystème qui bouillonne du matin au soir, qui marche à l’humain et à l’envie d’avancer tous ensemble » comme elle le souligne avec fierté. Elle-même est une drôle de femme avec son double-diplôme Audencia – ESIT (École Supérieure des Interprètes et Traducteurs). Elle parle anglais, allemand mais aussi russe qu’elle a parfait en semestre d’études à Saint-Petersbourg pendant ses années audenciennes. Cette envie d’un environnement de travail multiculturel ne l’a jamais quittée : à l’école, elle hésitait entre les secteurs du retail et de l’hôtellerie. « Les stages m’ont aidée à décider. C’est peut-être mon seul conseil pour les étudiants d’aujourd’hui : n’ayez pas peur de vous tromper, essayez. Savoir ce que l’on aime ou pas dans la vie relève d’une approche empirique. » Les équilibres de vie comme l’environnement dans lequel on baigne au quotidien sont, pour Justine, des préoccupations essentielles. « Quand on est dans les études, on réfléchit surtout à l’avenir et l’avenir, c’est le travail, la carrière. Mais il ne faut pas oublier les loisirs, les à-côtés, les amis, tout ce qui fait la beauté d’une vie d’une manière générale. On a souvent une vision un peu compliquée de la relation entre loisirs et performance. Quand j’étais en prépa, je faisais de la peinture. J’ai arrêté parce que je manquais de temps, parce que je n’allais pas vendre mes toiles, en faire mon métier. Et je me suis rendue compte récemment, pendant le premier confinement en fait, que la couleur me manquait énormément. Alors j’ai commencé à la réintroduire autrement, avec des fleurs, des murs colorés… » A parler d’avenir et de confinement, nous ne pouvions pas échapper à cette question du sens qui nous taraude tous un petit peu dans cette période compliquée. « Tout va bien de ce côté-là. CHANEL est une entreprise ultra-engagée pour ses collaborateurs, avec un mode de management très positif, encourageant et bienveillant. Et mon activité s’aligne sur mes valeurs, l’idée de consommer moins mais mieux. C’est un des grands enjeux du luxe d’ailleurs, de se réaligner avec les préoccupations des consommateurs d’aujourd’hui. Et CHANEL est plutôt leader dans ce domaine. » Les consommateurs sont en effet toujours plus conscients de l’impact de leurs achats sur l’environnement et la société dans son ensemble. Et si elle est un peu dubitative face au nombre de diplômés d’écoles de commerce qui lancent des petits business – boulangeries, épiceries, librairies… - Justine se dit qu’ils sont certainement les mieux placés pour réinventer le retail de proximité en intégrant le digital, l’écologie, les valeurs éthiques et sociales, l’humain tout simplement au cœur du projet commercial. D’ailleurs, pourquoi pas, Justine se verrait bien revenir à Nantes, sa ville de cœur depuis ses années étudiantes. Elle y monterait un projet d’épicerie zéro déchet, peut-être exclusivement consacré aux cosmétiques éco-responsables. Mais ça, c’est pour plus tard, un jour, quand l’aventure CHANEL s’achèvera.
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- Le 21 avr. 2021
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Deux diplômés Audencia dans le classement Challenges
Pour la douzième année, le magazine Challenges a publié sa sélection des « 100 startups où investir » avec parmi elles Hera-MI, cofondée par Sylvie Davila (Exec-MBA 10) et Les Petits Bidons, fondée par Cyril Neves (GE11). Une belle reconnaissance pour envisager de futurs développements. Le classement Challenges des « 100 startups où investir » est un dossier de référence publié chaque année, lu et ausculté par tous les professionnels de l’écosystème. Il s’accompagne d’un rendez-vous incontournable : le Sommet de l’innovation et des startups qui s’est tenu le 24 mars dernier avec des centaines d’entrepreneurs et d’investisseurs. Pour candidater à la sélection 2021, toutes doivent répondre aux critères suivants : Avoir son siège social en France Avoir moins de 4 ans (>2017) Faire du chiffre d’affaires (sauf biotech) Ne pas avoir été lauréates des éditions précédentes Chercher des fonds d’ici mars 2022 Etre indépendant d’un grand groupe et non coté 700 dossiers ont été déposés entre le 4 janvier et le 7 février ! Parmi les sélectionnés, Hera-MI, cofondée par Sylvie Davila (Exec-MBA 10) et Les Petits Bidons, fondée par Cyril Neves (GE11). Secteur Medtech & Biotech L’objectif d’Hera-MI est de mettre l’intelligence artificielle au service de l’évaluation radiologique du cancer du sein, afin de faciliter et accélérer son diagnostic. Créée en 2017, la startup permet une optimisation de la prise en charge thérapeutique des patientes, grâce à son logiciel qui améliore la qualité et la précision du diagnostic du cancer du sein, tout en diminuant le temps d’interprétation du radiologue. La solution brevetée Breast-SlimView, développée par Hera-MI, permet une lecture innovante et simplifiée où seule l’information pertinente est affichée, facilitant ainsi la prise de décision en mammographie 2D/3D. Après 3 ans d’incubation, la startup nantaise vient de quitter l’incubateur Centrale-Audencia-Ensa pour s’installer à Saint-Herblain. L’équipe d’Hera-MI est désormais composée de 12 salariés. Deux recrutements sont prévus en 2021, notamment pour développer la filiale créée aux Etats-Unis en 2020. Sylvie Davila est également lauréate du Sommet de l’innovation et des startups 2021. Retrouvez son interview dans le magazine Challenges : https://bit.ly/3thQL0J Secteur Greentech & Impact Les Petits Bidons sont nés en 2018 sous l’impulsion de Cyril Neves, son ambition: apporter des solutions écologiques, durables et faciles à utiliser pour laver sans tout salir ! La jeune entreprise, basée à Paris, met au point des produits naturels, fabriqués en France, sans substances controversées, efficaces et pratiques pour prendre soin du linge et de la maison, tout en prenant soin de sa santé et de la planète. Convaincus qu’on ne changera pas les habitudes avec une alternative compliquée à prendre en main, surtout s’agissant des tâches ménagères, Les Petits Bidons prônent des solutions saines et simples. Leur devise: « plutôt que de faire toujours plus, et si on essayait de faire mieux ? ». En levant des fonds, Cyril Neves compte étoffer ses équipes, aujourd’hui d’une dizaine de personnes, notamment dans le digital et la R&D. Retrouvez son parcours dans le magazine Entreprendre : https://bit.ly/2QopcEe
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- Le 26 avr. 2021