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- Le 26 février 2021
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Portrait de diplômé : Nicolas Gumy (Bachelor 18)
Nicolas (Bachelor 18) est aujourd'hui Responsable du développement commercial et marketing à Greenfib. Retour sur son parcours... Quel a été votre parcours avant d’intégrer le Bachelor d’Audencia ? Avant d’intégrer Audencia Bachelor In Management, j’ai réalisé un BAC Economique et Social à la Roche-sur-Yon en Vendée. Pourquoi avoir choisi ce programme ? Qu’est-ce que vous a le plus marqué ? Après 3 années de lycée, j’avais envie d’expériences concrètes et internationales en entreprise. J’ai donc logiquement choisi de faire une école de commerce. Comme je ne me voyais faire une prépa, j’ai choisi de faire une école post-bac pour rentrer tout de suite dans le vif du sujet. L’une de mes expériences préférées pendant ces 3 ans au Bachelor a été mon stage de 1ère année à Londres, dans une agence immobilière, au cours duquel j’ai pu découvrir la culture anglo-saxonne, améliorer mon niveau d’anglais, et découvrir mon attrait pour le relationnel. Partir dans un pays étranger à 18 ans, loin de ses repères habituels, est une expérience incroyablement enrichissante, qui permet à la fois d’ouvrir les yeux sur le monde, d’apprendre la langue locale, et de découvrir le monde de l’entreprise. En 2017, j’ai également eu la chance d’être parachuté dans l’événement «The Bridge 2017», une transatlantique de Saint Nazaire à New York, sur le Queen Mary II, pour commémorer le centenaire du débarquement des soldats américains en 1917, lors de la 1ère guerre mondiale. Pendant 3 semaines se sont enchainés coupe du monde de basket 3x3, courses à la voile entre 4 trimarans ultimes et le QM2, concerts de jazz en l’honneur des américains, séminaire entrepreneurial à huit clos à bord sur l’écologie et le monde de demain, et une arrivée à New York au lever du soleil qui restera gravée dans ma mémoire. Cet événement hors du commun a nourri mon envie d’entreprendre et approfondi ma connaissance des problématiques environnementales, grâce aux nombreux experts du climat présents à bord. Enfin, je retiendrai d’Audencia la co-création avec Pierre Lebert du Bureau des Clubs, un mini-incubateur permettant à chaque étudiant de créer son association dans le domaine de son choix (surf, automobile, musique, danse, humanitaire) pour dynamiser la vie étudiante de l’école. Vous avez décidé de ne pas poursuivre vos études après le Bachelor. Pouvez-vous nous expliquer ce choix et nous raconter votre parcours post-Bachelor ? Après ma spécialisation entrepreneuriat à Audencia Bachelor, j’ai choisi d’entrer dans la vie active pour m’investir rapidement dans un projet lié à l’écologie. Jean Jouzel, alors président du GIEC, disait «Il nous reste 3 ans pour agir». Il n’y avait donc pas de temps à perdre ! En 2018, nous avons lancé avec 3 amis le projet Impuls’Tour, un tour d’Europe des initiatives durables en voiture électrique, pour montrer qu’au-delà des problèmes, il y a des solutions écologiques pertinentes qui se développent partout en Europe (cargos éco-propulsés, écoquartiers, fermes urbaines…). Sur le retour, nous avons rencontré un dernier projet baptisé Greenfib, une matière 100% biosourcée, durable, fabriquée en France et recyclable pour remplacer le plastique issu du pétrole. Trois mois plus tard, j’ai rejoint les 2 associés de Greenfib pour développer cette belle matière. Quel est votre poste actuel ? Actuellement responsable du développement de Greenfib, je suis chargé de promouvoir cette matière 100% biosourcée auprès d’industriels de divers secteurs (lunettes, stylos, montres, contenants alimentaires ou cosmétiques, objets électriques ou électroniques…) et d’accompagner les clients de Greenfib dans l’éco-conception d’objets durables, réparables, recyclables, et fabriqués au maximum en circuit court. Ce métier est passionnant car il me permet de concilier impact écologique, compétences commerciales et ouverture au monde industriel. En parallèle, je développe le projet Bloom Campers, qui vise à donner une seconde vie électrique à des combi Volkswagen mythiques, pour voyager durablement. Un mot pour les étudiants qui souhaiteraient rejoindre le Bachelor ? Le Bachelor d’Audencia est une formation très professionnalisante, tournée vers l’international, et permettant de se spécialiser efficacement dans de nombreuses compétences (entrepreneuriat, management commercial, communication, marketing, import-export, finance…). Le programme « Calypso » proposé dès la 1ère année est un outil intéressant pour questionner ses envies, ses compétences, et ainsi trouver sa voie.
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- Le 22 févr. 2021
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#Portrait - Clément Perrot (étudiant ing-man) - un pince-nez anti-buée
Je suis passionné, lorsque je me lance dans quelque chose, je m’investis à 100% En ces temps de crise sanitaire, qui n'a pas rêvé de pouvoir allier le port du masque et celui de lunettes, de vue ou de soleil, sans cette buée très inconfortable ? Etudiant ingénieur-manager à Centrale Nantes et Audencia, Clément Perrot vous aide à réaliser votre rêve en créant un pince-nez anti-buée. Il oscille ainsi entre ses cours, l’entreprise qu'il a lancé et ses entrainements quotidiens d’athlétisme, l'une de ses autres passions. Une vie à 100 à l'heure, parfaitement organisée, qu'il nous raconte... 1) Comment vous est venue l’idée de ce pince-nez anti-buée ? J’ai créé mon entreprise spécialisée en conception et en impression 3D en septembre 2020. J’avais déjà des machines et j’avais envie de faire partie de cette industrie naissante et encore trop méconnue. L’idée du pince-nez m’est simplement venue en marchant dans la rue, en allant au marché. Il se trouve que la majorité des personnes allant faire leurs courses au marché sont des personnes âgées, dont évidemment beaucoup portent des lunettes. Comme j’avais créé mon entreprise quelques mois avant, j’ai voulu essayer de créer un objet qui supprimait cette buée si pénible pour les porteurs de lunettes. J’ai appris que des solutions de pince-nez existaient mais apparemment rien qui ne s’adapte au plus grand nombre avec une efficacité maximale. J’ai planché quelques temps, et j’ai sorti un premier prototype, que j’ai entièrement dessiné moi-même. Ensuite, j’ai testé sur toutes les personnes de mon entourage, et j’ai amélioré au fur et à mesure le modèle. 2) Quelles sont les qualités / compétences qui vous ont été utiles pour créer votre entreprise ? Je suis passionné, lorsque je me lance dans quelque chose, je m’investis à 100%. J’essaie aussi d’écouter au maximum les gens qui m’entourent, savoir prendre en compte l’avis des autres est primordial pour moi. Je pense aussi que pour créer son entreprise, il faut avoir une vision globale. Il faut avoir un minimum de compétences techniques bien évidemment, mais également des softskills et une connaissance générale du monde qui nous entoure. C’est vraiment ce que m’apporte ce double-diplôme et c’est d’ailleurs pour ça que j’ai postulé à Audencia pour compléter mon cursus à Centrale Nantes. Audencia m’a apporté tout un tas de compétences qu’on ne voit pas ou peu en école d’ingénieur : la vision du produit et du marché, les bases en finance nécessaires… 3) Comment alliez-vous votre vie d’étudiant et celle d’entrepreneur ? Mon maître mot serait sûrement l’organisation du temps de travail. Une fois bien organisé, on se rend compte qu’une journée est plutôt longue et que l’on peut faire plein de choses, tout en gardant une bonne nuit de sommeil. En plus de ça, je me considère comme chanceux car je travaille de chez moi et qu’actuellement nous avons cours en visio. Je gagne donc tous les temps de trajet, ce qui n’est pas négligeable. Je suis en majeure Finance d’entreprise et il y a beaucoup de travail en autonomie. J’ai donc un emploi du temps très flexible et je peux tout concilier sans problème. Il faut juste accepter de devoir travailler le week-end quand il le faut, ou tard le soir lorsqu’il y a une urgence. 4) Quelle est votre ambition pour les années à venir ? Je ne m’impose pas de barrière. Je ne compte pas faire de mon entreprise d’impression 3D mon travail pour le moment. Je sens que je peux apporter d’autres choses et j’ai un attrait particulier pour la finance au sens large. Je veux commencer ma carrière et apprendre aux cotés de collaborateurs aussi passionnés que moi. Pour le reste, l’avenir me le dira. 5) Qu’est-ce qui vous fait vibrer dans la vie ? L’innovation sans hésiter ! J’ai envie de travailler dans un secteur qui se renouvelle, je n’aime pas la routine. Je mettrai également le dépassement de soi. J’adore courir et j’adore la compétition lorsqu’elle apporte du positif. Les valeurs du sport sont importantes et nous préparent à faire face à toute sorte de situation dans la vie.
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- Le 1 mars 2021
Autres actualités
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Les trésors cachés de l’entreprise : identifier, valoriser, protéger
Les actifs immatériels d’une entreprise, droits de propriété intellectuelle, données, méthodes, sont des avantages compétitifs souvent sous-exploités, négligés voire ignorés, de la valeur non-réalisée et méritent qu’on y prête attention. Ils peuvent constituer de véritables trésors et susciter bien des convoitises. Identifier ces actifs, savoir comment les utiliser et les protéger est un savoir-faire nouveau à développer. Quelles ressources générées par l’activité de l’entreprise peuvent être analysées pour en tirer de la valeur et quelles ressources doivent être maniées avec précaution, ou laissées de côté, sauf à faire courir un risque à l’entreprise ? Quels actifs gardés confidentiels perdent leur protection une fois divulgués… Quels outils permettent de les protéger contre les tentatives d’appropriation illégitimes de concurrents indélicats… Comment valoriser ces actifs au service de la stratégie de l’entreprise… ou pour faire émerger une nouvelle activité ? Nous vous invitons, le mardi 16 mars à 18h50, à une table ronde qui vous permettra de détecter les trésors cachés de votre entreprise en présence de : Jean-Daniel Bouhenic, Avocat au barreau de Paris et Associé du cabinet DDG Il représente des groupes français et étrangers principalement dans les domaines du luxe, de la mode, de l’agroalimentaire et des nouvelles technologies. Il conseille notamment ses clients en droit de la propriété intellectuelle, sur les stratégies de protection, de gestion et de défense des actifs incorporels dans le cadre de leurs projets ou de leur activité. Il nous éclairera sur l’aspect juridique de ces trésors cachés. Kathleen Randerson, PhD, Professeure Associée à Audencia Sa thèse (2012) et une partie de ses travaux de recherche portent sur l’entrepreneuriat organisationnel - comment les organisations créent des nouvelles activités et comment elles se transforment pour se renouveler. Elle publie régulièrement dans des revues scientifiques internationales reconnues sur des questions liées à l’entrepreneuriat organisationnel, l’entrepreneuriat familial et l’internationalisation. Elle nous éclairera sur l’aspect business de ces trésors cachés. ainsi que deux diplômés (noms à venir) qui témoigneront de leur expérience dans le domaine.
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- Le 24 févr. 2021
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#Portrait - Clément Perrot (étudiant ing-man) - un pince-nez anti-buée
Je suis passionné, lorsque je me lance dans quelque chose, je m’investis à 100% En ces temps de crise sanitaire, qui n'a pas rêvé de pouvoir allier le port du masque et celui de lunettes, de vue ou de soleil, sans cette buée très inconfortable ? Etudiant ingénieur-manager à Centrale Nantes et Audencia, Clément Perrot vous aide à réaliser votre rêve en créant un pince-nez anti-buée. Il oscille ainsi entre ses cours, l’entreprise qu'il a lancé et ses entrainements quotidiens d’athlétisme, l'une de ses autres passions. Une vie à 100 à l'heure, parfaitement organisée, qu'il nous raconte... 1) Comment vous est venue l’idée de ce pince-nez anti-buée ? J’ai créé mon entreprise spécialisée en conception et en impression 3D en septembre 2020. J’avais déjà des machines et j’avais envie de faire partie de cette industrie naissante et encore trop méconnue. L’idée du pince-nez m’est simplement venue en marchant dans la rue, en allant au marché. Il se trouve que la majorité des personnes allant faire leurs courses au marché sont des personnes âgées, dont évidemment beaucoup portent des lunettes. Comme j’avais créé mon entreprise quelques mois avant, j’ai voulu essayer de créer un objet qui supprimait cette buée si pénible pour les porteurs de lunettes. J’ai appris que des solutions de pince-nez existaient mais apparemment rien qui ne s’adapte au plus grand nombre avec une efficacité maximale. J’ai planché quelques temps, et j’ai sorti un premier prototype, que j’ai entièrement dessiné moi-même. Ensuite, j’ai testé sur toutes les personnes de mon entourage, et j’ai amélioré au fur et à mesure le modèle. 2) Quelles sont les qualités / compétences qui vous ont été utiles pour créer votre entreprise ? Je suis passionné, lorsque je me lance dans quelque chose, je m’investis à 100%. J’essaie aussi d’écouter au maximum les gens qui m’entourent, savoir prendre en compte l’avis des autres est primordial pour moi. Je pense aussi que pour créer son entreprise, il faut avoir une vision globale. Il faut avoir un minimum de compétences techniques bien évidemment, mais également des softskills et une connaissance générale du monde qui nous entoure. C’est vraiment ce que m’apporte ce double-diplôme et c’est d’ailleurs pour ça que j’ai postulé à Audencia pour compléter mon cursus à Centrale Nantes. Audencia m’a apporté tout un tas de compétences qu’on ne voit pas ou peu en école d’ingénieur : la vision du produit et du marché, les bases en finance nécessaires… 3) Comment alliez-vous votre vie d’étudiant et celle d’entrepreneur ? Mon maître mot serait sûrement l’organisation du temps de travail. Une fois bien organisé, on se rend compte qu’une journée est plutôt longue et que l’on peut faire plein de choses, tout en gardant une bonne nuit de sommeil. En plus de ça, je me considère comme chanceux car je travaille de chez moi et qu’actuellement nous avons cours en visio. Je gagne donc tous les temps de trajet, ce qui n’est pas négligeable. Je suis en majeure Finance d’entreprise et il y a beaucoup de travail en autonomie. J’ai donc un emploi du temps très flexible et je peux tout concilier sans problème. Il faut juste accepter de devoir travailler le week-end quand il le faut, ou tard le soir lorsqu’il y a une urgence. 4) Quelle est votre ambition pour les années à venir ? Je ne m’impose pas de barrière. Je ne compte pas faire de mon entreprise d’impression 3D mon travail pour le moment. Je sens que je peux apporter d’autres choses et j’ai un attrait particulier pour la finance au sens large. Je veux commencer ma carrière et apprendre aux cotés de collaborateurs aussi passionnés que moi. Pour le reste, l’avenir me le dira. 5) Qu’est-ce qui vous fait vibrer dans la vie ? L’innovation sans hésiter ! J’ai envie de travailler dans un secteur qui se renouvelle, je n’aime pas la routine. Je mettrai également le dépassement de soi. J’adore courir et j’adore la compétition lorsqu’elle apporte du positif. Les valeurs du sport sont importantes et nous préparent à faire face à toute sorte de situation dans la vie.
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- Le 1 mars 2021