Etre capable de s’adapter facilement pour travailler dans un environnement comme l’e-commerce
- Keep In Touch
- Le 8 avril 2016
Fonction actuelle: Trade marketing manager, Ebay France
Diplôme Audencia: GE - 2011
Nationalité: Française
Résidence: Paris - France
Mon conseil
« L’e-commerce est un environnement très concurrentiel et en perpétuelle évolution. Les priorités peuvent changer radicalement en peu de temps. Il faut donc savoir se remettre en question, être critique par rapport à son travail et s’adapter facilement. »
Mes missions et objectifs
- Définir et mettre en place l’animation commerciale et promotionnelle du site eBay France
- Optimiser la visibilité et les performances de l’offre B2C et C2C en fonction de la demande
- Définir un planning trade marketing : animation du site par trimestre
- Créer et mettre en place des campagnes commerciales et promotionnelles
- Définir des relais marketing adaptés (internes et externes, online et offline)
- Assurer le sourcing produit auprès d’une base vendeurs B2C (indépendants) ou gérés par les équipes commerciales d’eBay
- Faire évoluer le process de sourcing en fonction des besoins et ressources : prise de contact directe ou intermédiation (équipes commerciales ou plateforme d’échange de données avec les vendeurs)
- Optimiser la correspondance entre offre (B2C et C2C) et demande
En interne
- Équipes Marketing (Européens et internationaux)
- Responsables Grands Comptes (Européens)
- Direction France
- Équipes coordination produit/technique
- Clients et vendeurs
- Agences (marketing) : création
- Partenaires techniques
Savoir-faire
- Marketing
- Commercial/Relation client
- Connaissance e-commerce/Retail
- Sensibilité technique
- Créativité
- Rigueur
- Écoute
L’environnement (interne/externe) et la place laissée à la créativité et l’initiative.
Mon métier et le digital
Impact fort en raison de l’évolution des comportements d’achat sur Internet avec une part croissante du mobile. La concurrence est par ailleurs accentuée par la facilité qu'a le client de comparer les offres.
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Se rencontrer sur les bancs de l’école dans la majeure consacrée au Conseil aux entreprises
Noms: Benjamin Polle, Julien Le Net Fonction actuelle: Coréalisateurs de "Et Maintenant Nos Terres" Diplôme Audencia: GE 12 Documentaire sur la résistance à l’accaparement des terres en Afrique Benjamin et Julien se sont rencontrés sur les bancs de l’Ecole, dans la majeure consacrée au Conseil aux entreprises. Julien est alors ingénieur agro en double cursus et Benjamin, issu de classe prépa littéraire. Un bel exemple de diversité des profils au sein d’Audencia ! Sous forme de documentaire, ces deux passionnés d’Afrique racontent l’histoire des résistants à l’accaparement des terres africaines… ceux qui défendent leur droit à vivre du sol face à des investisseurs étrangers et nationaux sur un continent encore très majoritairement rural où les économies sont aux deux tiers agricoles. Pourquoi ce documentaire ? À la sortie de l’école, forts de deux expériences marquantes, au Cameroun dans la microfinance communautaire pour l’un, dans le journalisme au Sénégal pour l’autre, nous nous retrouvions dans le récit d’une réalité très fréquente dont nous pouvons témoigner : les conflits fonciers en Afrique. Devenus amis, nous voulions prolonger nos 3 passions -l’Afrique, la défense des droits, la vidéo - dans une expérience commune, une histoire, un projet... Nous avons ainsi pris le temps de rencontrer les acteurs qui agissent afin de dessiner ce que serait le contour de l’histoire que nous voulions raconter. Comment s’est porté justement votre choix sur ces 3 héros de la résistance paysanne ? Le fruit d’un lent et long travail de recherche, de multiples rencontres avec des experts, de fines revues de presse pour savoir où la résistance aux expropriations foncières prenait les formes les plus intéressantes et les plus abouties. D’où le long moment qu’il nous a fallu prendre pour préparer notre tournage. Comment réalise ton un film comme celui-ci ? Pendant trois ans, nous avons construit notre film. On y met beaucoup de son temps et de son argent personnels, on y associe plein d’amis, on trouve de nombreuses bonnes volontés sur sa route ‘big up’ aux compétences et aux matériels qui nous ont été apportés dans ce projet sans lesquels nous n’aurions rien fait. Le tournage s’est déroulé à l’été 2014 au Cameroun, au Bénin et au Sénégal voulant en filigrane dire de quoi l’avenir agricole de l’Afrique pourrait être fait et évoquer un sujet, fondamentalement dure et potentiellement violent, avec un œil dynamique et tourné vers l’avenir. Pourquoi cet angle précisément ? En 15 ans, 30 millions d’hectares de terres cultivables en Afrique ont fait l’objet de transactions foncières par des investisseurs étrangers la moitié des terres arables françaises. Une paille ! Ce qui a suscité des colères populaires parfois retentissantes. Qu’est-ce qui vous a le plus marqué dans ce reportage ? La force et le courage des personnes que nous avons rencontrées et la ténacité dont il faut faire preuve pour faire avancer son sujet hors des sentiers battus. A minima : la fierté que nous avons d’avoir contribué à porter la voix de ces résistants. Avez-vous rencontré des obstacles lors de cette réalisation ? Administratifs, logistiques, financiers et humains ! Et maintenant ? Et ‘Maintenant nos terres’ est diffusé depuis le printemps 2015. Il cumule une centaine de projections au travers de différents festivals pour lesquels il a été sélectionné. En 2016, une version web du documentaire de 30 minutes (avec des vidéos, des photos et des infographies inédites) est en préparation. Nous continuons de promouvoir notre travail, et surtout le sujet qu’il aborde : les paysans africains qui refusent d’abandonner leurs terres et se battent pour un autre modèle de développement agricole sur leur continent. Quels sont vos prochains projets ? Ils sont nombreux. Tout l’enjeu est de s’arrêter sur l’un d’entre eux et de lui donner corps. Merci Julien et Benjamin pour ce témoignage et bonne route… Le film peut être streamé en ligne (location à 5 euros) : Maintenant nos terres
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- Le 11 mars 2016
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Finding the right work-life balance as an entrepreneur is the toughest challenge of all
Name: David Souvannavong Current position: Entrepreneur and Associate, Caviar de Neuvic Degree earned at Audencia: GE 11 Nationality: French Residence: Bogotá - Colombia Professional path David’s internships during his studies at Audencia confirmed his suspicions that he didn’t feel cut out to be an employee in a large company. After graduation, David’s father, who has a Japanese restaurant in Paris, offered him the opportunity to test his entrepreneurial skills at the restaurant. For three years he managed the restaurant and his intuitions were correct. Not only was he able to see just how a business was run (finance, accounting, customer and supplier relations, etc.) but he was also realised that he was indeed ready to start his own business. David looked to Colombia as his brother had been working there for two years. He carried out an intensive study of the Colombian market which supported his conviction that there were great opportunities for entrepreneurs. Initially David wanted to go into tourism and open a youth hostel but the project would have taken too long to get off the ground as the site that he wanted to develop was classified national heritage and the special permits could have taken up to two years to obtain. Another project, however, was emerging as a result of the cross-pollination of family, friendships and networks. At the end of 2015, David and two other French entrepreneurs set up Caviar de Neuvic in Bogota. Neuvic is a French caviar producer based in the Dordogne and David and his partners are the official representatives in Colombia. David says the Colombians are fond of fine ingredients and gastronomy but that the tradition of eating caviar is almost non-existent; he and his two associates feel that there is a real opportunity for them to develop the Neuvic brand. Their association works well as they each have their strengths and specific skills set; for David it is finance, a second for communication and marketing and the third for sales. On becoming an entrepreneur To thrive in his professional life, David says he needed the challenge and, to an extent, what he calls the “adventure” of being an entrepreneur. He has discovered that being an entrepreneur means that he is 100% himself and that there is no camouflage for him to hide behind. Running his own business is certainly been a challenge and a lot of work. Finding the right balance between his work and personal life is what David has found to be the toughest challenge of all. He rarely stops working or thinking about work and has very recently set up a new rule of logging off on Sundays. Passions Spending time with friends, having a laugh Running, trekking, half marathons David loves Latin American music and feels that it truly reflects the culture and “alegria” (joy) of Latin American in general; it is so positive and always makes you want to smile. Most memorable experience at Audencia It was so long ago, but I remember coming back from my exchange semester in Monterrey (Mexico), I came back and I felt a really strong connexion with the Erasmus students in our marketing track. I met some wonderful people from all around the world and made some friends for life. Advice to international students looking to work in Colombia Colombia has excellent schools and universities and trains many skilled managers who are chasing the same kind of job as students and graduates from schools in Europe. David’s main piece of advice is to have a well-defined specialisation or skill. VIE positions in finance or logistics are also a good way of entering the job market in Colombia. For budding entrepreneurs, Bogotá has long been established as a business hub for Latin America and Colombia is an emerging economy which can be a stepping stone to expansion into other Latin American markets. Staying in touch with Audencia Since arriving in Colombia, David has taken on responsibility for the Audencia Alumni chapter in Bogotá. For him, this is a great way of keeping in touch with the School.
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